marcus jeremiah pickleburry. FEATURING. cory monteith

Je m'appelle Marcus Jeremiah Pickleburry , je suis né Melbourne le 17/09/1991, et oui, il y a bien longtemps dis comme ça. Mais c'est bon de se rappeler tout ses bons souvenirs. J'étais en fac de droit parce que mon père m'y oblige . J'étais à cette époque célibataire. Mon orientation sexuel ? Bien qu'à cette âge là, on ne sache pas vraiment encore qui on est réellement, j'étais hétérosexuel. Pour terminé, parce que bon on va pas s'éterniser ici, j'ai une courte histoire à raconter, mais j'habitais dans une chambre pas loin du campus. Dans le groupe sport man.

Dans les plus beaux jours de Perth ,
Je m'amusais à empiler des blocs de différentes tailles et couleurs, comme la plupart des enfants de mon âge. C'était un jeu assez amusant et qui avait pour qualité de me faire reconnaître plusieurs types de formes et activer mon intelligence et mon imagination pour en inventer de nouvelles. Mais ce n'était pas ça le plus important. En effet, j'entendais mes parents qui pour une énième fois, étaient en train de se disputer dans le salon. Je mettais les mains sur mes oreilles en essayant d'oublier même leur existence. Je n'aimais pas les entendre se chamailler encore une fois car j'avais déjà donné et que je n'étais encore qu'un enfant, et que je rêvais plus que tout au monde qu'ils s'entendent comme deux adultes relativement normaux. Quand j'allais à l'école, je voyais toujours les autres parents avec leurs enfants qui semblaient s'aimer et aimer leur progéniture. A la maison, ce n'était pas ça du tout. Je ne faisais que passer de main en main avec toutes les nounous qui défilaient, et qui faisaient honneur à tous mes désirs comme si j'étais l'enfant prodige. Mon père était toujours en déplacement pour son travail quant à ma mère, je devais supposer qu'elle ne voulait tout simplement pas s'occuper de moi. J'étais un enfant absolument insupportable, avec un égo gros comme ça même à un âge aussi petit, et j'éloignais par conséquent toutes les autres personnes comme la peste. C'était une certaine qualité chez moi, cette aura qui émanait de ma personne, et qui faisait s'enfuir toutes celles autour. « Je ne veux plus jamais te revoir, quitte cette maison ! » « Tu oublies sans doute que c'est chez moi ici, que j'ai tout payé pour toi pendant que tu restais allongée dans ton lit gonflable à boire des cocktails ! » J'entendais quelque chose s'éclater contre le mur et me bouchais les oreilles encore une fois, décidé à ne plus entendre toutes ces chamailleries. Si seulement tout cela pouvait s'arrêter .. Et puis au bout d'un moment, je voyais une chevelure brune s'élancer vers la porte. Elle l'ouvrit et la claqua si fort que je croyais voir les murs trembler. Je croyais que c'était ma mère. Et en effet, elle ne passa plus le pas de la porte. Jamais.

[...]

Il me fallut l'aide de mon père pour ajuster le nœud papillon qui faisait maintenant le tour de mon cou menu. C'était un grand jour aujourd'hui, celui du mariage de mon père, et rien ne pouvait se passer différemment que la manière dont tout était prévu. J'étais grincheux, affreusement grincheux. Et on pouvait me comprendre, je n'avais imaginé qu'un jour comme celui là arriverait dans ma vie. Je n'avais que six ans et déjà mon père se remariait avec une femme que je ne connaissais pratiquement pas, alors que ma mère était partie il y a moins d'un an. Elle me manquait affreusement et je n'aimais pas cette bimbo qui prétendait l'avoir remplacée, sur ses talons aiguille de trois kilomètres et avec ses seins siliconés. Elle n'était pas ma mère, et elle m'achetait des cadeaux comme si cela allait me faire l'aimer. Elle était abjecte, ou en tout cas elle semblait prendre un malin plaisir à le paraître aussi bien que possible. « Tu es retard mon bonhomme ! » Je protestais silencieusement et me mettais en marche, jetant des pétales de roses derrière la longue traine de la mariée. Je vous épargne tous les détails sordides du mariage le plus parfait et le plus blanc possible, toujours était-il que je me retrouvais embarqué dans une cérémonie à laquelle j'aurais préféré ne pas assister et au bras d'une fille que je ne connaissais même pas, à danser autour du joyeux couple. Je lançais des regards noirs à mon paternel comme s'il avait fait quelque chose de mal, et finalement, je me trouvais à danser à ses côtés. « Je ne l'aime pas la madame. » « Tais toi et souris, tu l'aimeras, que tu le veuilles ou non. »

[...]

Attablé à mon bureau, j'exécutais mes devoirs avec une précision impressionnante. Détrompez vous, je n'étais pas tellement orienté écoles, devoirs et toutes ces choses là, mais à ce moment précis, j'avais décidé de me prendre en main pour pouvoir avec des notes excellentes et entrer dans une bonne université de droit. L'idée de qui ? De mon père, bien évidemment. Rien ne venait jamais de moi et je devais suivre ses pas, devenir un grand avocat comme il l'avait été et mettre mes rêves de côté. A l'autre bout de la salle se trouvait ma batterie et je rêvais de m'y mettre et de chanter en essayant de couvrir le fort son des tambours, mais non, il fallait que je travaille, que j'apprenne par cœur, que je fasse cette saleté de travail qui me pourrissait la vie. Je n'avais jamais vraiment aimé faire des choses de ce genre, car même si j'aimais avoir un panel impressionnant de choses à mon actif l'école n'en faisait pas partie, et qu'en plus de ça, j'avais une très mauvaise mémoire qui faisait que j'avais beau relire cent fois la même phrase, elle ne voulait pas s'imprimer dans mon cerveau. Tout à coup, une rafale dans ma chambre et je voyais une forme passer à toute vitesse et me chiper mon papier, avant de repartir tout aussi vite. Je me relevais bruyamment. « AIDEN ! REVIENS ICI TOUT DE SUITE ! » S'en suivit une course poursuite dans les couloirs et escaliers de la maison qui se solda par un coup de poing en plein dans sa face qui me libéra d'un poids incroyable. C'était ma saleté de demi-frère qui me tapait sur les nerfs, comme d'habitude. Il semblait vouloir à tout prix faire de ma vie un enfer, soit pour m'embêter tout simplement, soit juste pour se rendre intéressant. En tout cas, il ne pouvait pas s'empêcher de m'interrompre dans de graves affaires (bon d'accord, faire ses devoirs n'était pas SI grave que ça, et alors ?). « J'ai besoin de cette feuille. Merci ! » Je lui tordais un peu le bras pour qu'il relâche la pression sur mon devoir et le récupérais, il fallait le dire, un peu chiffonné. Un petit coup de pied pour la route et je repartais dans ma chambre. Je le haïssais.

[...]

Je me baladais dans les couloirs du lycée. Une activité plutôt normale pour le lycéen que j'étais, étant un élève relativement comme les autres. J'étais quand même populaire, sportif, et artiste tout ça à la fois, ce qui faisait que j'étais la cible de bien des personnes méchantes, des loosers, mais également de toute la clique des populaires d'une manière beaucoup plus plaisante. J'aimais les compliments, et je reconnaissais que j'en avais besoin pour vivre, comme un lézard avait besoin de la chaleur. Ou du froid. Je ne savais plus. Je n'étais toujours pas aussi bon que ça dans mes études ce qui baissait un peu mes compétences dans tout ce que je faisais, mais puisque j'étais si bon dans mes activités extrascolaires, cela remontait un peu tout cela et je n'étais pas trop lésé. Au détour d'un couloir, j'effleurais l'épaule d'une jeune fille et pour m'excuser, je me retournais, me retrouvant face à Antigone. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Je l'aimais cette fille, c'était fou, mais en même temps, je ne pouvais tellement pas la supporter ! Je me sentais obligé de lui lancer des paroles abjectes pour qu'elle me laisse tranquille. Elle n'était pas exactement en train de me coller mais .. Bref. C'était physique. Elle m'attirait et me répugnait à la fois. « Regarde devant toi, Hannigan ! » Elle me lança un regard noir et je fis de même, avant de me retourner et de reprendre mon chemin dans les couloirs. Mon visage se fit plus chaud et je me tâtais les pommettes pour assurer d'une chose ; j'étais bien brûlant. Surement de désir pour la jeune femme qui me faisait un effet fou à chaque fois que je la croisais, sans que je n'ose jamais le lui révéler.

WHO'S BEHIND THE SCREEN ?

» Prénom ou pseudo Fantine (prénom) Bou ou fangtastic.taste (pseudo)
» Qu'est-ce qui t'a plus sur le forum ? Le contexte, le design, le css ...
» Quel niveau de rp t'estimes-tu ? Je ne saurais pas en juger.
» Fraise ou chocolat ? Chocolaaaat
» Le petit code ? Ok by Billy !
» Petit mot de la fin ☺ JE VOUS AIME LES PATATOUILLES

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