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| Sujet: JAY ♪ harmful poison Sam 18 Déc - 17:46 | |
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Amalia Jayleen Kennedy FEATURING. KristenBell
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Je m'appelle Amalia Jayleen Kennedy, je suis née à Canberra le 13/03/1991, et oui, il y a bien longtemps dis comme ça. Mais c'est bon de se rappeler tout ses bons souvenirs. J'étais en fac de médecine parce que j'avais aimé à l'époque devenir médecin légiste . J'étais à cette époque célibataire bien que tout était compliqué. Mon orientation sexuelle ? Bien qu'à cette âge là, on ne sache pas vraiment encore qui on est réellement, j'étais hétérosexuelle à quelques tendances bi je dois bien l'avouer. Pour terminer, parce que bon on va pas s'éterniser ici, j'ai une courte histoire à raconter, mais j'habitais dans une chambre pas loin du campus. Dans le groupe I'm rebel
Dans les plus beaux jours de Perth , ❧ PAST NEVER DIES.
« Voici donc toute mon histoire d'antan ; de ma naissance jusqu'à mon adolescence. Je pense qu'il n'est pas préférable de parler du présent (...) Sauf si vous apprécierez les propos d'une femme allant sur la quarantaine. »
« Par un beau mois d'avril est née A. Jayleen Kennedy, jeune fille promit à un brillant avenir. Fille unique, je profitais de la fortune de mon père, compensant dès mon plus jeune âge son absence ainsi que celle de ma mère - ayant quittée le domicile familial pour raison inconnue lorsque j'eus six ans - par l’argent.
Kennedy, ce nom de famille semblait être attribué qu’au père et à moi, sa fille car je n’avais jamais entendu parler d’une grand-mère, d’une tante ou même d’un cousin. Tout droit plongée dans le monde des gens riches et célèbres, j'ai toujours mené une vie facile, comparable à celle d’enfants de star. Mon père bien que celui-ci s'avérait froid et hautain en ma compagnie me battait régulièrement. En apparence, il ne paraissait guère violent ni même méchant mais ce côté sombre et déplaisant, il ne le montrait qu'à sa fille. Je me faisais effectivement rouée de coups par mon paternel - de temps en temps, lorsque mon père rentrait de ses longues semaines passées à l'étranger - Âgée seulement de treize ans je me remémorai tant bien que mal ce qu'il se produisait chaque semaine, le week-end - généralement lorsque mon père rentrait las et épuisé de son métier, à vrai dire il avait encore une petite ressource d'énergie pour assouvir ses sauts d'humeur - dans leur vaste maison où ils s'étaient installés ) Canberra, en Australie. Tous les soirs, je me décidais à écrire tout le mal enduré par la faute de mon père dans une sorte de carnet personnel, un journal intime ; mon père savait-il au moins qu'il risquait de tuer sa fille, sa propre fille ? Peut-être était-il ignorant .. ou tout simplement un père trop occupé à voyager à travers le monde. - Citation :
Journal de AJK le 13 Octobre 19** ;
« Cher X, voilà maintenant un mois jour pour jour que mon anniversaire est passé. J'ai eu treize ans le treize mars 19** et on peut dire que j'en suis fière enfin, une partie seulement en est fière. A vrai dire, l'autre partie de moi-même n'en peut plus. Je ne peux supporter ces conditions et surtout cette vie qu'on m'a donnée. Je suis jeune, mais tellement las de tout cela. Je ne veux plus faire parti de ce monde, je le clame haut et fort. Pourquoi mériter des coups de la part de son paternel ? Pourquoi se faire battre tout simplement parce que son père en marre des conditions dans lesquelles il travaille ? Ce dernier ne semble pas avoir accepté le fait que je sois sa fille. Il est vrai qu'il aurait tant préféré avoir un garçon. De même que ma mère je suppose .. bien que je ne la connaisse pas vraiment. Mon père me dégoute, il est pitoyable ... je le déteste. » Jusqu’à ce que j'ai quinze ans, je ne me posais pas trop de questions sur la vie que mon père menait, lequel prétendant œuvrer dans les « affaires ». Par ailleurs, je n’étais que peu attaché à lui, froid et silencieux lorsqu’il était présent à la maison et qu'il cessait de tant à autres de vouloir à tout prix s'acharner sur mon pauvre corps. Je m’occupais donc comme je le pouvais ; les premières années de ma vie, une nounou prenait soin de moi 24h/24, quand je suis entrée à l’école, je me consolais de la solitude et du désespoir qui régnait dans la grande maison vide, en sortant avec des amis que je charmais avec mon caractère sociable et la vie qui m’animait. Aussi, je pris longtemps des cours de piano, une de mes activités favorites, pour passer le moins de temps possible à la maison.
Populaire dès la petite école, je me distrayais avec ce que je pouvais : De petits amis, par exemple. À quinze ans ce n’était pas très sérieux, mais je multipliais les relations avec les garçons. Qu'aimaient-ils réellement chez moi ? Mon côté mystérieux et séducteur ou bien ma sociabilité et mon manque de tact ? Je n'en savais rien mais tout ce que je ne pouvais nier était qu'à cet âge-là j'avais essayé plus de choses que la plupart des jeunes filles de mon âge; l’alcool, bien sûr, la cigarette, ainsi que les drogues que j'essayais quelques fois simplement pour voir si ce qu’on disait était vrai. Il ne fallu qu'un jour, qu'une seule nuit pour que tout bascule : le 12 novembre 2000 ; en rentrant chez moi comme à mon habitude, un affreux spectacle se dressait devant mes yeux: Des voitures de police encerclaient mon immense maison, et une limite interdisait l’accès au terrain. Les cris, les sirènes, les pas pressés; j'avais les yeux remplis de larmes, je pleurais en sachant, mais sans le savoir... Je parvins à me faufiler entre tous ces gens en uniformes, entre ces curieux qui observaient la scène avec une expression qui trahissait leur avidité de savoir. J'entrais, tout en percevant une voix hurler mon nom et en sentant un policier me prendre par le bras pour tenter de m’entraîner hors de portée de la scène que j'avais sous les yeux ; Le corps de mon père gisait, inanimé, dans un coin, appuyé contre une commode, transpercé de la lame d’un couteau. Cette image restera gravée pour toujours dans ma mémoire, mais il m'évoque toujours des sentiments opposés; Le déni d’abord, semblable à la première étape qu’affrontent tous les autres face à la mort. Je ne pouvais le croire, c’était trop irréel, horrible ... Mais le sang dans lequel baignait l’homme avec qui j'avais vécu durant toutes ces années était là, rouge, écarlate ... La tristesse ensuite, déception d’avoir perdu un être « proche », « cher », après tout c’était mon père, n’est-ce pas ? Puis la culpabilité de ne l’avoir jamais appelé « papa », de l’avoir négligé ; Tout comme je l’avais fait, mais tout de même. Finalement la colère, la colère de comprendre tout ce que j'avais repoussé de mon esprit jusqu’à présent. Cette colère contre lui, mais contre moi-même aussi. On ne m'avait rien dit, on avait refusé de parler. Mais les pièces du puzzle s’assemblaient dans ma tête; j'eus le temps de réfléchir à cette énigme qui m’opposait à l’accomplissement de moi-même, les deux longues années qui suivirent.
De suite, je fus déplacée de famille d’accueil en famille d’accueil, qui laissaient à désirer d’ailleurs, me comportant sans cesse de façon négligente et indépendante. Je n’agissais qu’à ma tête, faisant ce que je voulais. Je ne comprenais plus ce qui m'arrivait. A présent que j'avais atteint la majorité, je quittais la famille d'accueil qui avait été si accueillante envers moi alors qu'à l'inverse, je n'avais même pas dénié les remercier et encore moins leur gratifier d'un sourire. Je me sentais tellement .. seule et effondrée suite aux précédents évènements qui s'étaient déroulés dans ma vie. Mais ce fut au bout de quelques mois que je recommençais mes études ne voulant pas gâcher ma vie. De part mes résultats brillants quelques années auparavant, on m'admit sans peine dans le campus universitaire de Perth. Dès lors, je m'étais mis un but : ne jamais renoncer.
WHO'S BEHIND THE SCREEN ? » Prénom ou pseudo Alexia / Lexia » Qu'est-ce qui t'a plus sur le forum ? Le contexte ainsi que le design ♥ » Quel niveau de rp t'estimes-tu ? 14/20 mais je préfère que vous me notiez (: » Fraise ou chocolat ? Du chocolat sur une fraise, ça marche aussi ? » Le petit code ? Ok by Liam =) » Petit mot de la fin ☺ Bravo aux admins pour le travail qu'ils ont fais
- Spoiler:
« Par ici, installez-vous(...) Doucement, ne vous bousculez pas ! Vous là, mademoiselle Hupston, la prochaine fois je vous renvoie de ce cours, compris ? » maugréa M. Chadwick. Son regard, noir, semblait me percer de toute part alors que je levais machinalement mes mains en signe de capitulation. Mon professeur -et directeur du secteur médical de l'établissement- n'avait jamais pu m'apprécier, allez savoir pourquoi, ma tête ne semblait pas lui convenir. M'asseyant donc à table, un peu plus reculée que celles des autres, je fis signe à quelques amis de venir me rejoindre. « Vous, Creekson et Roberts, venez plutôt vous installez par ici.» Dès lors, mon sourire s'estompa lorsque mes camarades furent dans l'obligation de s'installer au premier rang. Qu'avais-je bien fais au bon dieu pour que l'on me punisse de la sorte ? Tapotant nerveusement le bois de la table, je lançais des éclairs à cet enseignant qui vint à se positionner face à la salle de classe désormais pleine. Une séance spéciale avait été aménagée pour nous, et quelques représentants d'une grande chaîne pharmaceutique se devaient de promouvoir leurs produits. Des rumeurs disaient même que le représentant en personne viendrait nous rendez visite - croyez le ou mais cet homme s'avérait riche et le seul millionnaire que j'avais connu dans le passé n'était pas capable de différenciez une boite d'aspirine d'une boîte de pilules ♥ - Me redressant de mon dossier, j'écoutais en vain les propos de notre directeur. « Nous accueillons donc ... » je lâchais un énième soupir. « monsieur Thorburn, président de la compagnie pharmaceutique. » Je déglutis. Mes yeux s'écarquillèrent violemment tandis que mes mains se crispèrent sur la table. Avais-je bien entendu « Thorburn » non, impossible. Et dire qu'il y a quelques instants, j'osais le critiquer. Lui, président d'une compagnie pharmaceutique ? Laissez moi rire. Seulement, je ne pus contenir mon anxiété dès lors qu'un grand brun accompagné de deux maigrichons vinrent à franchir le seuil de la porte. Et dire que je connaissais cet homme, celui avec qui j'étais sortie il y a moins d'un an. J'avais rompu tous contacts, absolument tout. Alors, le fait de le revoir face à moi ne faisait que me détruire davantage. Mais j'avais tourné la page et l'avais oublié comme tous les autres.
Son regard croisa le mien et un frisson m'envahit. Croisant mes jambes, je ne cessais de faire naviguer mes pupilles en sa direction mais également vers l'enseignant qui reprit la parole. Je ne l'écoutais même pas, me focalisant sur les gestes du brunet. Ce dernier finit donc par reprendre la parole, débutant son speech. J'osais le scruter une nouvelle fois avant de détourner mes pupilles. Mais qu'est-ce qu'il me prenait ? J'avais l'air tellement gaga devant cet homme que j'en oubliais tous mes autres sens. Je devais me reprendre. Comme toutes élèves sérieuses et consciencieuses, je pris des notes, de nombreuses notes sur la présentation que ces experts nous fit. Leur exposé dura près de trente minutes et je m'étais étonnée à remplir une feuille double sur la commercialisation de ses médicaments et sur leurs efficacités. Finalement, j'avais totalement oublié la présence d'Hallam. Je finis par reposer mes doigts endoloris, alors que Thorburn reprit. « (...)J'aimerais que quelqu'un me dise son estimation, sur la valeur totale qui se trouve sur ce chariot ! » mon regard scrutait l'ensemble de la classe, patientant jusqu'à ce que quelques mains ne viennent à se dresser. La valeur globale de ce chariot était de dix-mille dollars ... Dix-mille dollars. Si j'avais eu pareille somme ne serait-ce qu'un jour, qui sait tout ce que j'aurai pu dépenser. Cette pensée me fit esquisser un sourire, l'argent et moi une grande histoire d'amour. Hallam pouvait en témoigner puisque, passé un temps je lui avais demandé de m'acheter toutes sortes de cadeaux qui pourraient me faire plaisir. Seulement, n'étant pas original pour ce qui est de la donation de cadeaux, il m'avait prêtée sa propre carte bancaire -du moins, l'une de ses nombreuses- pour que je dépense ce dont j'avais besoin. Je crois que, cette carte-là, il ne l'avait jamais revue.
Cinq bonnes minutes venaient à nouveau de défiler. Instinctivement, je pliais mes affaires, les rangeant discrètement dans mon sac pour pouvoir sortir d'ici le plus vite possible. La présence de Hallam me gênait. Je ne l'avais pas vu depuis de nombreux mois et voilà qu'il surgissait à nouveau dans ma vie, alors que j'arrivais enfin à avoir une vie des plus normales et des plus saines. Manque de chance, il avait frappé fort en m'annonçant publiquement son post de directeur d'une grande firme pharmaceutiques. Lui qui m'avais dis qu'il désirait abandonner ce domaine là pour se concentrer sur un tout autre secteur, je m'étais bien laissée berner par de telles paroles. Pourtant, nous avions formé un beau couple tel que je me l'imaginais. J'avais souffert lors de notre rupture mais peut-être avais-ce été mieux ainsi ?
« Pour mettre fin à notre présentation, j'aimerais savoir si certains ont des questions ? Ne vous gênez pas, nous sommes là pour ça. » Sa question me fit soudainement comprendre que la sonnerie n'allait pas tarder à résonner. Je me devais d'être suffisamment discrète pour qu'il ne puisse pas s'apercevoir de mon absence. Des mains se levèrent une nouvelle fois et des réponses vinrent à fuser dans les quatre coins de la salle de classe. Je devais avouer que leur présentation avait été des plus agréables et j'en appris davantage sur l'assemblage de tels procédés. Hallam m'avait une fois de plus, impressionnée par toute sa culture et son intelligence. J'eus peine à croire qu'en quelques mois il s'était métamorphosé. Mais à mon humble avis, il avait probablement rencontré une demoiselle qui avait changé son état d'esprit. Après quoi, la sonnerie retentit enfin. Des bruissements de chaises se firent entendre tandis qu'une foule d'élèves se dirigea rapidement vers la sortie. Certaines demoiselles ralentissaient leur démarche pour pouvoir jeter quelques regards intéressés auprès de Hallam. Or, ce dernier vint à me fixer et m'invita à le rejoindre. Déconfite, je me redressais tout en prenant mon sac entre mes mains. Les derniers étudiants quittèrent la salle en et le brouhaha incessant s'estompa. Même mon enseignant -après avoir remercié vivement les trois professionnels- vint à laissé la salle vide. Désormais, il n'y avait plus que lui et moi, réunis. Me mordillant plus férocement la lèvre inférieure, je finis par effectuer quelques enjambées en sa direction. Gardant mon sac fermement agrippées entre mes doigts, je laissais une distance relativement importante entre nos deux corps. Puis, me raclant machinalement la gorge, j'osais entamer la conversation, faussement enjouée.
« Salut Hallam ! Ta présentation était vraiment bien. Je ne savais pas que tu étais devenu le représentant d'une grande marque de médicaments(...) Bravo en tout cas. »
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Dernière édition par A. Jayleen Kennedy le Sam 18 Déc - 18:28, édité 5 fois |
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•••••••••••••••••••••••••••••••••• J. Billy Summers
Messages : 1246 A Perth depuis : 20/11/2010 Age du perso : 34 Localisation : J'habite maintenant, avec mon amoureux, alors ne pas me chercher. (A)
| Sujet: Re: JAY ♪ harmful poison Sam 18 Déc - 18:01 | |
| KRISTEN B. ♥♥♥ Je t'aime déjà toi ! *O* Bonne chance pour ta fiche =) |
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