OCTOBER ET KATE

Comme tous les jours je subissais la haine de l’une de mes filles et la guerre mère et fille me blessais au plus profond de mon être. Depuis tout ce temps j’avais caché à mes enfants les lettres de leur père. Pour les protéger mais ils l’ont appris et pour l’instant les a jamais encore eu la chance de les lire. La chance est surement pas le mot bien au contraire ces lettre décrivais juste de la méchanceté a mon égard et a l’égard de mes enfants aussi. J’avais préférer ne jamais les donner a October, Antigone ou Steven pour pas les meurtrir comme je l’ai été auparavant. Mais maintenant il était peut être temps que je sois honnête avec eux et que je les donnes ces maudites lettres. Mais les donner entraineras surement encore plus de malheurs concernant mes relations avec mes enfants. Je décidai quand même d’appeler October à venir à la maison concernant les lettres. Elle ne m’avait pas répondu alors j’avais laissée un message vocal. Je sortis par la suite la boite ou contenais les lettres. Et m’installa sur le canapé en posant cette boite sur la table du salon. October allais surement venir si elle voulait avoir des explications ou juste avoir encore une dispute avec moi. Je n’étais plus sa mère à ses yeux ou je le ressentais comme cela. Voyant qu’elle n’arrivait pas je soupirai et décida de monter a l’étage pour faire un peu de ménage. Quelques heures plus tard j’entends des talons dans le salon. Ce n’était pas moi vu que j’étais à l’étage. Je devinai que c’était elle qui était enfin venue. J’hésita à descendre un moment puis commença a descendre doucement.

La famille et moi ca a toujours était compliqué, et ca depuis petite, enfin du moins depuis que notre père à quitté la maison. Je ne sais pas, j’ai toujours eût l’impression d’être le vilain petit canard des trois parce que Steven soutenait dans tous les cas ma mère, et d’ailleurs on s’est toujours disputés à propos de ca parce que quoi que je pouvais dire, ben j’avais tord. Pour le cas de ma mère, on s’engueuler à longueur de temps, et sans jamais que ca ne cesse. Et puis il y avait Antigone. Enfin bon je l’aime de tout mon cœur malgré que parfois on se dispute, mais c’est la petite dernière de la famille et donc la petite princesse. Elle a toujours était adulée par ma mère et bon à côté moi je faisais tâche. Et depuis certains temps ca s’empiré. Je venais d’apprendre que ma mère nous avait caché des lettres de mon père qu’il nous avait envoyé après qu’il soit partie. En apprenant qu’il avait cherché à nous contacter et que nous n’en soyons même pas prévenus, au moment où je l’avais découvert j’étais dans une rage folle. Du coup, pensant bien faire Steven nous conduit à l’adresse de l’expéditeur puisqu’à l’époque il vivait encore à Perth. Mais bien entendu depuis notre père avait changé d’adresse et donc quand je vis ce couple de vieux ouvrir la porte, lorsqu’on partie je m’en pris à mon frère.

Bref, les jours passèrent et je ne parlais plus à aucun d’entre eux tellement toute cette histoire me dégoûtée. C’est alors que lorsque je buvais un café avec Billy, je reçu un appel provenant de ma mère qu’après une légère hésitation je filtrais. Je n’avais pas vraiment envie de lui parler. Je reçus quelques minutes plus tard son message vocal que j’écoutais en revanche. Elle me prévenait que si je voulais lire les lettres et bien je n’avais cas venir la voir à la maison ou je pourrais les récupérer. Voyant la tête que je faisais, Billy me demanda ce qu’il se passait et je lui expliquais la situation en détail. Après une très longue hésitation, je décidais d’allée voir ma mère et voir enfin ce que ces lettres contenaient. Donc après dix minutes de voiture, je me garais dans l’allée des Hannigan, fermant ensuite la voiture pour rentrer dans la maison. J’entrais dans le hall mais personne en vue. J’allais ensuite dans la cuisine puis dans le salon mais rien. Elle se foutait de moi ou quoi ? Elle me demandait de venir la voir et elle n’était même pas là.

Je regardais un peu partout et trouva un boite en carton rempli de lettres, mais j’hottais vite mon regard de là en l’entendant descendre les escaliers. Je croisais les bras, tout en l’a regardant lorsqu’elle s’approchait de moi. « Bon je t’écoute, qu’est ce qu’il y a ? »

Nos histoires de famille me prenais la tête et je voulais que pour une bonne fois pour toute on essaye d’arranger les choses. Alors j’avais contacté October celle ou on était toujours en froids de mes enfants pour qu’on essaye de mettre toute les choses sur le tapis et repartir sur de bonne bases. J’avais sortit les lettres et attendais October mais comme elle ne venait toujours pas je croyais qu’elle ne voulait pas essayer de comprendre et surtout d’essayer de s’expliquer a fin de peut être se retrouver comme une vrai famille soudé. Voyant qu’elle ne venait toujours pas je montai en haut faire du ménage. Puis 10 minutes plu tard j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir je devinai facilement que c’était elle alors je commence à descendre. Voila elle arrive pour m’agresser déjà, elle ne veut vraiment pas qu’on essaye d’arranger les choses. Sérieusement pourquoi fallait qu’elle ait le caractère de son père. Je soupirai et m’avança vers elle puis m’approcha pour lui faire la bise mais comme toujours elle se recula.
Bonjour October moi aussi ça me fais plaisir de te voir. Je vois que tu vas bien…October je t’aie appelé pour te donner les lettres et aussi pour te donner l’adresse actuel de ton père. Et essayer qu’on parle pour enterrer la hache de guerre car cette histoire me détruit petit a petit. J’ai besoin de mes enfants. Je sais que j’ai fais des erreurs mais je les ai fait dans l’idée de vous proteger. Maintenant si tu ne veux pas essayer de parler avec moi pour qu’on mette les choses au clair la porte et ouverte….
Je m’installai sur le canapé et laissa une place a October pour lui remettre les lettres ainsi que la dernière lettres qui datais d’aujourd’hui et que je n’avais pas ouverte comme cela ma fille aurais pas pu me reprocher cela en plus. Je prit toutes les lettres et les tends a October puis rajouta la lettre de ce jour par-dessus. J’avais peur qu’une dispute éclate encore mais je ne pouvais pas faire mieu de mon oté si elle fesais pas un pas non plus pour essayer de calmer les histoires.
Voila maintenant tu as tous. Et comme tu peux le constater cette lettres est adresser a toi Stevens et Antigone donc je ne l’ai pas ouverte. Je voulais vous la donné a vous 3 en même temps mais vu que c’est impossible je te charge de la lire et après de la remettre a tes frère et sœur. Maintenant est ce que tu veux bien prendre sur ton temps libre pour essayer qu’on parle.

Une fois dans la maison, je cherchais ma mère mais ne la trouvais pas au premier abord. Je soupirais me disant que j’allais surement devoir poiroter comme d’habitude, et l’attendre sagement comme lorsque j’étais petite et qu’elle oubliée de venir me chercher à l’école. Enfin bref, j’hottais cela de mon esprit la voyant arriver. Même pas un bonjour, ni des embrassades chaleureuses, non pas du tout. Je commençais directement par lui demander ce qu’elle me voulait. Je sais je ne suis pas la plus docile et la plus sage des filles que toutes les mères rêvent d’avoir, mais j’ai laissé se rôle là à Antigone il y a bien longtemps et ca, ma mère le savait. En revanche, celle-ci me salua et me donna la raison de ma présence et ayant vu les lettres un peu plus tôt, je me doutais bien de quoi il s’agissait. Je savais parfaitement que si elle m’avait demandée de venir ce n’était pas pour que l’on boit un café ensemble tout en se racontant chacune notre petite vie. Ca n’a jamais était comme ca, et je crois que ca ne le sera jamais. Ma mère me confirma tous ceux à quoi je pensais en me disant qu’elle voulait me donner les lettres ainsi que l’adresse actuelle de là où habiter mon père. Elle voulait également qu’on parle, mais pour ajouter quoi d’autre à tout ce qu’on avait pu se dire quelques jours plus tôt ? Je levais les yeux au ciel l’espace d’une seconde en entendant tout ceci. Je crois que ce qui me fit le plus mal c’est lorsqu’elle me sortie « J’ai besoin de mes enfants. » Je pouffais d’un léger rire jaune en croisant les bras, essayant de ne pas trop me mettre en colère. « Tu as besoin de tes enfants, tu rigoles là ?! Et tu crois vraiment qu’en me disant ca je vais me mettre à tes pieds et être là aussitôt pour toi ? Je ne suis pas Steven je te rappel ! T’étais où toi quand moi j’avais besoin de ma mère hein ?! »

Je la fusillais du regard, essayant de me contrôler pour ne pas être encore plus agressive et méchante à son égard même si d’un côté elle l’avait mérité. Mais bon, ca reste quand même ma mère et ce genre de relation avec elle avait le dont de m’agacée, malgré que je m’y étais faite et ca depuis des années. Quelques instants après je l’a vit s’asseoir sur le canapé et me fit signe de la rejoindre, mais je préférais rester debout donc je restais plantée là devant elle. Ma mère me donna toutes les lettres ainsi qu’une autre qui venait d’arriver récemment. Sur le coup j’étais déstabilisé. Franchement, je ne savais vraiment pas comment elle avait réussi à nous caché tout ca depuis toutes ses années sans avoir un seul remord, même moi j’en aurais si j’aurais été à sa place. J’avais limite les larmes aux yeux de colère et en partie de chagrin. Enfin, comme d’habitude j’essayais de me montrer forte et cacher tout ca, tout ce que je ressentais. Je tenais à présent tout entre mes mains et je ne savais pas vraiment quoi faire. Je regardais un instant l’enveloppe, son écriture parfaite. Je relevais les yeux vers ma mère et lui lâcha d’un ton sec « Et qu’on parle de quoi ?! On ne s’est pas déjà tout dit ?! » Je soupirais et posais tout sur la table basse qui se trouvait à côté de moi. « Purée mais des fois je te jure je me demande comment t’arrives à te regarder dans un miroir ! Comment t’as pu nous cacher tout ca pendant toutes ces années, et faire comme si de rien était ! Okay, il t’a fait souffrir je peux bien le comprendre, mais ca ne te donner pas le droit de le faire sortir de nos vies également ! »

Encore une fois ça partait en dispute. Et j’étais épuisé par cette guerre interminable avec October. Certes je l’avais bien mérité. J’avais fait des erreurs en voulant cacher ces lettres a mes enfants. Et j’avais des remords mais façon october était bornée et même si elle était en colère et aussi chagriner qu’est ce que je pourrais dire pour me justifier ? Rien de toute façon tout est fait et rien ne pourras être réparé. On peut juste repartir sur de bonne base et encore cela n’était pas gagner.
Je sais que j’ai été conne sur ce coup la. Et après j’ai continué a garder le secret car je pense je suis égoïste et je voulais plus avoir a faire avec votre père. Je me suis rendu compte que c’était une belle grosse erreur et façon maintenant je ne peux rien réparer. Je sais que j’ai mérité ta colère. Je sais que je n’ai pas assuré en tant que mère. Mais façon le mal est fait alors je ne peux pas réparer mes erreurs. Maintenant j’essaye juste d’être une meilleure mère qu’avant en étant franche avec vous. Même si je sais que façon maintenant entre nous il y a quelque chose de casser.
L’émotion commençais a se montré dans mes yeux mais je n’avais pas le droit de flancher devant October car c’était elle qui avait raison et c’était mes enfants les victimes de mes conneries.