HOW I MET MYSELF
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 « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann

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MessageSujet: « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann   « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann Icon_minitimeSam 5 Mar - 0:36


« Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann Sans_t27

« Jaycee & Johann ♥ »


    Un regard, un sourire, quelques mots échangés, une étreinte, un baiser et l’amour. L’amour. Cette « chose », ce sentiment plus communément appelé, m’était tombé dessus, sans crier garde. Elle m’avait assommé, aveuglé, j’étais foutue. Et cela rien qu’en la présence d’un seul homme : Johann. Je n’avais jamais été préparée à ça. Mon entourage m’avait toujours dit que l’amour était la plus belle chose qu’il pouvait nous arriver. Je n’y croyais pas jusqu’à ce qu’il entre dans ma vie. Toutes mes croyances s’étaient effondrées à ce moment là. La plus belle chose qu’il pouvait nous arriver… Belle connerie oui ! Personne ne m’avait mit en garde, l’amour est vache, garce, sadomasochiste. On cherche tous l’amour, pour à la fin souffrir à en crever. C’était ce qui m’était arrivé, et ça il y a un mois. J’avais créé mes repères pendant 1 an avec lui, et tout s’était effondré lorsqu’il était partit. Lorsque j’avais décidé de rompre. Et tout ça à cause de ces conneries qui le conduirait directement vers la tombe. Je lui disais sans arrêt, mais trop têtue il ne m’écoutait pas. Et le pire ? C’est que j’aimais ce côté de lui. Il faut dire que j’aimais tout en lui. J’aime tout en lui. L’indifférence qu’il montre à tout le monde, alors que ses yeux le trahissent à chaque fois. Je le connais par cœur, il ne peut me mentir.

    Il devait être aux alentours de 10h lorsque j’ouvrais les yeux. Les rayons du soleil s’étaient immiscés dans ma chambre, par les volets entrouverts. Je me redressais alors sur mon lit. J’observais ma chambre. J’étais arrivée à Perth il y a deux semaines et je n’avais pas encore trouvé la force de décorer mon petit appartement. Peut être car je ne me sentais pas encore à mon aise ici. J’avais tout quitté, ma famille, mes amis, mes habitudes, pour un homme. Jamais je n’aurai pensé ça de moi. Personne n’aurait pensé ça de moi. Ma fidèle acolyte Jud’, avec qui je buvais presque tous les soirs, avait même crût à une caméra caché lorsque je lui annonçais mon départ. J’étais un peu la fille intouchable avant de rencontrer Johann. Celle qui brisait les rêves et les réputations des mecs, celle qui rien n’atteignait, une fille forte, avec un trop gros caractère pour se faire mettre en bouillie par n’importe qui. Mais il n’était pas n’importe qui, et je m’en étais vite rendue compte. Un reniflement me sortit de mes songes. Un homme était allongé à mes côtés, et il venait de se réveiller.

    « Hey beaut… »
    « La ferme ! Pas de surnoms affectifs débiles, d’accord ? C’était juste de la baise, juste ça ! D’ailleurs je ne comprends même pas ce que tu fous encore dans mes draps, tu ne pensais tout de même pas que j’allais t’inviter à déjeuner ? »
    « Attend, tu sais qui je suis ? Les autres filles rêvent de m’avoir, et se damneraient pour être à ta place. »
    « Oui, mais je ne suis pas les autres filles, je me suis juste tapé le premier qui me venait sous la main. Donc maintenant tu prends tes cliques et tes claques, et tu dégages, okay ? »
    « Pff salope va, tu mérites que ça, te faire baiser ! »

    Je ne répondis rien, et il s’en alla furieux. Ouf, enfin seule. C’était devenue mon jeux ça. Humilier les hommes avec qui je passais la nuit, le lendemain. Oui, c’était digne d’une garce, mais cela me faisait du bien de les descendre de leur piédestal un peu trop haut pour eux. Et puis cela m’avait permit d’évacuer un peu le stress. Oui j’étais stressé ce matin, une boule au ventre. Je devais passer voir Johann. Se serait la première fois que l’on se retrouverait en tête à tête depuis 1 mois, et j’avais vraiment peur de la tournure qu’allait prendre les évènements. Je n’étais jamais sûre de rien avec lui, il était tellement imprévisible. Au moins on ne s’ennuyait jamais avec lui, il fallait le reconnaitre. J’allais alors prendre ma douche et me préparer. Pendant plus d’une heure, j’hésitais sur mes tenues, ma coiffure ou même mon maquillage. Je me sentais idiote, ridicule. On était séparés, mais je voulais toujours lui plaire. Peut être parce que j’espérais qu’au fond de moi il arrêterait la drogue pour moi. Ce qu’on est con quand on aime ! Ce qu’on est niaiseux, mielleux, fleur bleue, inactif, improductif, égoïste, aveugle et sourd ! Je me détestais. Je pensais qu’une fois que j’aurai rompu, je n’aurai pas mal, je redeviendrais comme avant, et finalement cela m’allait bien. Mais je m’étais trompée. Quand un truc comme ça vous tombe dessus, vous ne pouvez l’oublier, vous êtes changé à jamais.

    Il était maintenant 14h. J’avais avalé une pomme, but plusieurs cafés, j’étais habillé d’un jean simple, d’une chemise kaki ample, légère et ouverte, et un débardeur blanc. J’avais attachés mes cheveux en une longue tresse qui tombait sur le côté. Niveau maquillage, un trait de crayon et un coup de mascara avait suffit. Je pris une petite caisse dans laquelle était disposée toutes les affaires qu’il me restait de Johann. Toutes ? En faite non, j’avais décidé de garder quelques souvenirs. A vrai dire je ne voulais pas lui rendre ses affaires, c’était admettre que c’était définitivement finit. Ceci n’était finalement qu’un prétexte pour le voir. Mais ayant trop de fierté, je ne pouvais lui dire ça, que je voulais simplement le voir.

    Sur le chemin qui menait jusqu’à notre point de rendez-vous j’avais fumé une cigarette, qui finalement ne m’aidait pas vraiment. J’avais décidé de lui donner rendez-vous au parc, trouvant son appartement trop personnel, et où j’aurai été trop mal à l’aise. 14h15, l’heure de notre rendez-vous. Aucune trace de Johann à l’horizon. Je me laissais alors tombée un banc, posant le petit carton à mes pieds. Les gens me dévisageaient, mais je m’en fichais. La pression montait un peu plus. Tout ce que j’espérais c’est qu’il n’allait pas me faire attendre comme il avait pût le faire, la veille de son départ…
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MessageSujet: Re: « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann   « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann Icon_minitimeSam 5 Mar - 13:28

« Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann Tumblr_lakvh3tohe1qakskdo1_r1_500
Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé
« putain.. » son bras m’gênait, m’encombrant entièrement le visage, et sa jambe qui était passer par-dessus moi. J’me demande pourquoi je ne l’ai pas laisser dormir avec mon frère, après tout c’est pas mon problème s’il se passe quelque chose entre eux, c’est à eux, et eux seuls. Leur unique faute, leur unique responsabilité. Mais, après tout October a toujours été ma meilleure amie quand nous étions petits, alors je ne vais pas la laisser entre les bras du grand méchant loup, ça non. Je prend délicatement son bras, que je déplace, et essaie de mon mieux de ne pas trop bouger pour ne pas la réveiller, mes malheureusement je donne un coup de coude dans mon réveil qui se met à sonner. On va dire que la journée commence mal. Je ferme les yeux et me mord les lèvres « fait chié ! » puis ramasse le réveil, et tape dessus pour qu’il s’éteigne. October ouvre un œil, puis un deuxième, et me sourit légèrement après avoir froncé les sourcils et s’être correctement réveiller. « J’suis désolé, j’ai.. Pas fait exprès. » elle fronce un sourcil, et je m’assoit dans mon lit en la regardant manquant de pouffé de rire. « hey, c’est d’ta faute ok ! Tu bouges dans tout les sens, j’ai quasi plus de place, et tu t’permets de m’grimper dessus, c’est pas la fête du string oh », nous nous regardons un instant comme deux ados qui passe la nuit ensemble, entre meilleurs amis, puis ne nous retenons plus de pouffé de rire. « toi tu fais des bruits bizarre quand tu dors ! » me dit-elle en me dévisageant du regard, et en me regardant me levé et mettre mon pantalon de jogging. « hmm.. Qui t’dit qu’à ce moment là je dormais ? » elle fronce une fois de plus les sourcils, puis ferme les yeux et se cache sous la couette « hurk, t’es dégoutant ! » et moi comme un imbécile je m’met à rire. Je n’prends pas le temps de mettre un tee shirt, je suis chez moi, alors à l’aise. Mais met mon gilet gris, de survêtement, sans le fermer. « hey j’rigolais. », je dévale les marches pour aller déjeuner.

Quatorze heure il était, et quatorze heure je devais partir. Mais.. Non. Etant donner ce stress qui m’collait à la peau depuis hier soir, quand j’ai vue la notification « Jaycee Sixtine Woods a publié sur votre mur. » je ne fais que penser à elle, que penser à notre passer, à ce que j’ai tout clairement brisé. Oui j’ai tout gâcher, et je le sais. J’en suis conscient, et je ferais n’importe quoi pour revenir en arrière, et retrouver cette femme que j’ai dans la peau, et a qui appartient mon cœur, mais mauvaise tête comme je suis, je n’en fais rien. Je ne prend même la sage décision d’aller vers elle, il faut que ce soit à elle de venir vers moi. Où est l’homme que j’suis ? On se le demande. Je suis là devant mon Pc, complètement étaler sur ma chaise un crayon dans la bouche, en passant mon temps sur facebook, et mon cœur me dit de me bouger, mais je n’en fais rien. J’entends des pas descendre les escaliers à toute allure, et une main se pose sur mon épaule, je lève la tête pour regarder mon frère, et retourne sur l’écran d’ordinateur en mode geek. « bouges toi, tu vas encore tout foutre en l’air. » je fais comme-ci tout allait bien, et répond à Maxx sur facebook « Non, t’inquiètes. J’gère. Et mets la en veilleuse sur l’sujet. » il soupire et baisse l’écran du pc, avant de tirer ma chaise « aller bouges. ». Sa façon de faire me plait vraiment pas, mais je veux pas me prendre de tête avec mon frère pour un truc aussi minable, et puis c’est de ma faute, et sur se point il a entièrement raison, alors autant que je m’bouge, et maintenant. Je me lève du siège, et court dans ma chambre mettre un baggy, un tee shirt blanc, et remet mon gilet gris. Mes basket, et hésite même à mettre la casquette NY.. Non j’blague. Je met ma capuche légèrement sur la tête, et met les mains dans les poches en partant. Direction, le parc.

Mon iPod dans les oreilles, je marche en trainant des pieds, et en regardant le sol. Je sais que je vais être un peu en retard, mais le stress fait que je prends mon temps. J’ai peur de la voir. Elle va me rendre mes affaires, et tout sera enfin officiel, notre histoire prendra fin. Je ne veux pas que ça s’arrête comme ça, et à dire vrai-je n’ai jamais voulu que ça se termine aussi vite. Je voulais la garder près de moi, parce qu’elle faisait ma joie de vivre, mon bonheur. Mais j’ai tellement été con que j’ai continuer à me droguer, et me droguer, et m’droguer. Chose que je fais de moins en moins maintenant. En général quand je fume, c’est de temps en temps, parce que mon frère est lui-même dealer, alors bon. Mais je vais plus à toute ses fêtes faya, j’essaie de m’abstenir, ayant perdu la femme que j’aime. J’arrive les mains dans les poches, et la voit sur un banc. Je m’approche d’elle, puis me met debout devant elle, et relève la tête pour la regarder, après avoir enlever mon casque d’iPod. « hey.. », j’essaie de lui sourire, mais la seule chose que j’fais, c’est se regard désolé. « J’suis en retard, je sais. »

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MessageSujet: Re: « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann   « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann Icon_minitimeDim 6 Mar - 18:40

    Notre vie est dirigée par les choix que l’on fait. Et c’était vrai. Quelques fois j’aimais imaginer ce qu’aurait été ma vie aujourd’hui si je n’avais jamais rencontré Johann, et cela se passait toujours de la même façon. Tout d’abord j’imaginais si je ne m’étais pas rendu à sa fête où je l’avais rencontré, si j’étais arrivée plus tard, ou même si je ne m’étais pas retrouvée en face de lui à se moment précis. A cette heure-ci je serais sûrement dans un appartement dont je ne connais pas le propriétaire, et qu’on se serait approprié comme étant notre squatte avec mes pseudos amis. Je serai certainement en train de décuver avec une bouteille de bière à la main, en train de me faire tripoter par un mec qui était tellement de fois passé sur moi que ça en deviendrait lassant. Mais ne connaissant que ça, je me serais laissé faire encore et encore, sans plus éprouver le moindre plaisir. J’aurai certainement perdue goût au plaisir. Mon regard serait devenu vide, avec les litres d’alcool que j’aurai ingurgité. Je serais devenue un cadavre animé. Et plus je pensais à cela, plus cela me faisait prendre conscience qu’il m’avait construit un monde, notre monde, un monde meilleur, un monde réel. Il m’avait en quelque sorte sortie de mon quotidien qui ne mènerait à rien. Mais moi je n’avais jamais été capable d’en faire de même pour lui, de le sortir de cette spirale de la drogue qui le bouffait. Et aujourd’hui je m’en voulais. Que je le quitte ou non n’aurait en faite rien changé sur sa consommation. Et j’ai été trop stupide pour penser le contraire.

    Déjà 5 minutes que j’attendais Johann, assise sur mon banc, les jambes croisés, et ce carton à mes pieds. J’aurai pût l’attendre 11h si il l’avait fallut, et je n’aurai certainement pas changé de position. Le temps de fumer une autre cigarette, et je le vis arrivé au loin. Sa démarche je la connaissais par cœur, et donc je pus le reconnaitre de loin. A sa vue, mon cœur commença à battre plus rapidement que d’habitude. Et plus il se rapprochait, plus les battements s’intensifiés. Un mois sans le voir, et il me faisait toujours le même effet, rien qu’à sa présence. Je me rendis compte qu’il me manquait plus que je ne pouvais le penser. Il s’approcha alors de moi, s’excusant du regard pour son léger retard. Alors qu’il se tenait en face de moi, j’avais cette envie de le prendre dans mes bras, et de le serrer tellement fort et tellement longtemps que son parfum se mélangerait au mien. Je levais la tête, et je trouvais enfin le courage de plonger mon regard dans ses yeux bleus. Un léger sourire au coin des lèvres, je répondis simplement :

    « J’ai pris cette habitude maintenant, de t’attendre je veux dire… »

    Ce n’était certainement pas comme ça que nos retrouvailles se passeraient bien et sereines. Mais qu’importe. Je ne voulais pas qu’elles se passent bien de toute façon ! Je ne voulais pas qu’on fasse tout deux semblant que tout va bien dans nos vies, que notre page est tourné, et cette rupture ne nous affectait pas. Je ne voulais pas de ça, se serait baissé les bras trop facilement. Je l’avais déjà fait une fois en rompant et c’était sûrement une de mes pires erreurs. Je baissais tout à coup la tête vers le carton contenant des fragments de notre histoire, en me mordant légèrement la lèvre inférieur. Je pris ce carton dans mes mains, et hésita quelques instants avant de lui donner. Non, je voulais le garder. Mais c’était à lui de me prouver si il tenait réellement à le récupérer, à me considérer comme faisant partie de son passé. J’avais fais le premier pas, en lui donnant rendez-vous cet après-midi.

    « Tiens, c’est tout ce que j’ai trouvé pendant mon déménagement. J’ai pensé que tu aurais aimé les récupérer. »

    Mon déménagement d’ailleurs. J’avais peur qu’il me pose la question, de ce que je faisais à Perth depuis deux semaines. Qu’est-ce que j’aurai pût lui répondre ? Qu’il me manquait tellement que j’aurai fait n’importe quoi pour rester un peu auprès de lui, même si j’étais désormais réduite au troisième plan et non au premier comme avant ? Ou lui mentir en disant que je ne voulais plus vivre à Sydney et que Perth avait les loyers les moins chers de la côte ? De toute façon même si je lui sortais cette excuse je sais qu’il ne m’aurait pas crut. J’avais peur de lui en quelque sorte. Peur de tout ce qu’il était le seul à voir dans mon regard, peur qu’il voit à quel point j’étais perdue sans lui, à quel point j’étais accro, comme il l’était à ses joints. Pourtant j’essayais de me reprendre, et de faire comme si de rien n’était. Ce n’était pas la meilleure des solutions, mais c’était la plus facile, la plus lâche.

    « Hum…Tu veux t’asseoir ? Ou tu es attendu quelque part peut être ? »

    J’espérais qu’il me dise oui. Qu’il s’assoit, et qu’on parle, un peu. Je voulais savoir comment il allait, ce qu’il faisait de ses journées, je voulais savoir ce qu’était devenue sa vie sans moi durant ce mois entier.
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MessageSujet: Re: « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann   « Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé. » {Johann Icon_minitimeDim 20 Mar - 10:16

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Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé
Debout devant elle, toujours les mains dans les poches, et la capuche sur la tête, je mordille un des cordons avant de le jeté de ma bouche, et de la regarder les sourcils froncés. Je reste debout devant elle, et met un pied sur le banc pour m'occuper puis le repose par terre voyant le carton installer par terre à ses pieds, et ne trouve aucun mot à dire. « J'ai pris cette habitude maintenant, de t'attendre je veux dire... », je la regarde puis tourne le regard vers la verdure qui se trouve derrière elle. Je m'mord les dents, pour jouer avec ma mâchoire, « Désolé. C'est que c'était pas facile mentalement de m'dire que j'marchais pour venir te voir. ». Je retourne mon regard pour croisé le sien, et finis par lui sourire légèrement. La voir assise devant moi, et en me disant que je ne peu ni la prendre dans mes bras, ni l'embrasser, ni la toucher, me rendait fou. J'avais l'impression d'être dans un rêve. C'est vrai quoi, comme-ci on ne s'était jamais séparer, comme-ci tout cela était un pur cauchemar. Et la bonne blague, c'était vraiment un cauchemar rationnel.

Elle finit par me tendre se fichu carton qui était nous. Oui toute ses choses m'appartenait, mais quand on était ensemble, ce sont des choses qui ont marqué notre vie de couple. Je n'en revenait pas qu'elle me tende se carton. C'est comme-ci tout était réellement terminer. Comme-ci elle me disait adieu. Je ne voulais pas de se carton, qu'elle le garde. Je la regardais, et les nerfs me monta à la vitesse maximum à tel point que je pris le carton et j'le relâcha sur le banc, à coté d'elle. Je fis un pas en arrière, et me mis dos à elle. Je sortis une main de ma poche, et la mis devant ma bouche en fermant les yeux. Je me retenais de frapper sur tout ce qui bouge, car la violence ne me la récupérerait pour rien au monde. Et une fois légèrement calmer, je me retourne et rouvre les yeux. Je remet la main dans ma poche, et revoit le dernier soir. Celui qui a mis fin à notre relation. J'avais pour mission d'aller chercher à la pharmacie la pillule du lendemain, et après de lui ramener. Et tout cela à une date précise. J'avais malheureusement oublier de passer à la pharmacie, et était arriver en retard chez elle. Car malheureusement un pote du nom de Aby, qui d'ailleurs était une personne à ne pas fréquenter, m'avait proposer de passer chez lui, et j'ai fumer comme un pompier. Ce qui fait que j'ai complètement zappé. Et cette erreur était une de trop, c'était comme la cerise sur le gâteau.

Je m’efforce de recroisé son regard et ne sait plus quoi dire. J'ai été con de A à Z, et voilà que je m'comporte mal devant elle, à nos retrouvailles. J'expire, et enlève ma capuche. « Je les veux pas, tu peux les garder. Désolé de la réaction, c'était le temps que j'encaisse ça. », je lui montre le carton d'un geste et la regarde alors en souriant. Je finis par accepté son invitation à m'assoir, en m'assayant à coté d'elle. Je pose mes coudes sur mes genoux, et ma tête dans mes mains, et la regarde de temps à autres. « Jay, j'pense qu'il faut qu'on parle. Sincèrement. J’appréhendais les retrouvailles, mais y a aucune raison pour que tout se passe mal de toute façon, ou peut-être à cause de moi.. bref. Il y a plusieurs choses que j'dois t'dire donc si tu permets. », je la regarde posément et m'étale sur le banc pour mettre une main dans ma poche pour sortir ma boite à shit. Je la tourne dans ma main en la regardant. « Ça c'est ce qui seime le chaos dans notre couple. J'ai toujours été comme ça moi, à fumer, parce que j'suis pas un grand soulard, mais j'aime ma dose de shit, ou de beu. J'en suis désolé, j'aurais dû y passer moins de temps après que notre relation est commencée à devenir sérieuse. Mais ça n'empêche en rien.. » je commence à m'bloqué. Je relève les yeux pour la regarder, je lui souris, et essaie de retrouver mes mots. Ce qui est assez dur après un mois et demi sans la voir. « que je t'aime. J'pourrais le crier sur tout les toits de Perth si tu veux. Je tiens à toi, j'ai fait le con, je l'avoue, mais j'regrette. Je t'ai perdu, et c'est ce qui m'a fait réagir. ».
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