Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore.
[George Gordon]

Sebastie B.Z. Ainsworth && Taylor A. Hooper

Il faisait beau. Le temps était idéal pour passer la journée dehors, mlahereusement d'autres projets moins réjouissant m'attendaitent . Bien que j'avais fini mes cours pour la journée, une montagne de travail m''attendais. Afin de me changer les idées, je décida de faire un petit détour à la cafétéria. Contrairement à d'habitude la pièce était loin loin d'être bondée de monde. Rien de plus réjouissant que de passer un petit moment au calme. Après avoir commandé un capuccino comme je les aimaient, je passais devant une table ou quelques étudiants étaient en train de discuter avec vivacité.Au sein de se groupe, une fille au cheveux blond platine se détachait des autres. Elle était la physiquement sans portant l'être mentalement. Le regard vague, on pouvait voir qu'elle ne se sentait nullement à sa place parmis les personnes avec qui elle se trouvait. A force de la dévisager du regard, nos yeux finirent par se croiser. A cette rencontre j'eu comme un choc. Son visage m'était si familier mais pourtant, je n'arrivais pas à mettre un nom dessus. S'en était tellement frustrant. Ses yeux, son nez, ses traits de visage, ses cheveux je savais qu'ils auraient du me rapeller quelqu'un mais qui ? C'est donc plongée dans es réfléxion que je me dirigeais vers la table qui faisait face à la sienne. Je n'arrivais plus à la quitter du regard et d'après ce que je pouvais voir elle non plus. Cette situation aurait du me gêner, mais à mon grand étonnement ce n'était pas le cas. Cette jeune fille m'inspirait confiance et en même temps je ne pouvais m'empêcher de me méfier d'elle. Comme si elle pouvait me faire replonger à tout moment. Comme ci en l'espace de quelques instants j'aurais pu redevenir celle que j'étais auparavant. En avais-je envie ? La question ne c'était jamais réellement posée à moi jusqu'à maintenant mais cette fille refaisait surgir tellement de choses en moi qu'il m'était inévitable de me la poser. Qui était-elle réellement. Pourquoi tant de questions à son sujet alors qu'elle n'était autre qu'une simple inconnue parmis tant d'autres ? Après quelques temps à hésiter je décidais de prendre min courage à demain et d'aller m'assoir à ses côtés afin d'engager une conversation et tant pis si je me faisais passée pour une parfaite idiote. Excuse moi, tu vas peut-être me prendre pour une folle mais tu me dis vaguement quelque chose. On ne serait pas déjà croisées quelque part ? Et voilà, je venais d'être l'actrice d'un énorme cliché de cinamé digne des studios hollywoodiens. Après un silence en attente d'une réponse qui ne semblait pas venir, je jugeais bon de rebrousser chemin, voyant que je devais surement déranger ma pseudo interlocutrice. Désolé de t'avoir dérangée. Néammoins, je sentis une pression s'exercer sur mon bras. C'est donc avec surprise que je me retournais vers ma jeune inconnue aux cheveux blonds.