Ce jour là avait été une journée totalement normal, je m'était levée tôt pour pouvoir réviser mes leçons avant de me préparer afin d'allez en cours, j'avais une épreuve écrite que je ne voulais vraiment pas ratée , alors même si j'avais passé une grande partie de la soirée à réviser après le départ de mon rendez-vous du soir, je préférais revoir encore mon cours pour être sûre de tout connaitre par coeur . Puis après avoir fini je m'étais préparer comme je l'ai toujours fait, un petite déjeuné bien consistant, une douche bien chaude et m'habilla d'un Jean blanc avec une chemise à carreau rouge , Blanc et noir. Je m'étais coiffé d'une queue de cheval en hauteur, avec quelques mèches bouclé qui dépassait et enfin pour finir la préparation un petit coup de maquillage et de Parfum et voilà que je fut totalement prête pour ma journée de Cours .

A L'université encore une fois tout c'étais passé comme à mon habitude, à mon premier cours j'avais passer mon épreuve que j'étais certaine d'avoir réussi, j'avais suivi mes autres cours normalement en les écoutant tous, j'avais pris quelques rendez-vous avec certains garçons et avait manger le midi avec Andrew, mon meilleur ami . C'était une journée qui n'avait rien de spéciale, une journée Banal mais comme je l'ai aime.

La plus part des personnes pensent que ceux qui passent beaucoup de temps pour travaillé doivent avoir une vie ennuyeuse et sont souvent insulté or je ne suis pas du tout d'accord avec ce qu'ils se dit , étant très motivée à devenir avocate pour aider les jeunes, je passais énormément de temps à travaillé en cours car bosser durement est le seul moyen d'arrivé à ses fins et pourtant ma vie est loin d'être ennuyeuse, je sort, je couche et le plus important je sais m'amuser.

Après la fin des cours je m'étais diriger à la bibliothèque afin d'emprunté un livre pour un de mes cours et e rentra ensuite directement chez moi et après avoir pris un goutter qui était principalement constituer de tartines de Nutella, je rentra dans ma chambre, mis la musique et m'étais posé sur mon bureau pour pouvoir travaillé .
Alors que j'effectuais un exercice , je vis la tête de l'une de mes petite soeur Billy regarder ma chambre et qui étais ensuite partit vers la sienne

Billy ? Tu voulais me parler ?

J'avais dit ces quelques mots de façon assez fortes pour qu'elle m'entendent mais avec une voix pleine de compassion , car même si sans forcément le vouloir je privilégiais mes cours à ma famille je voulais qu'elle sache que parfois j'étais là, même si ce n'était pas souvent

« Je t’aime. », ses trois mots qui me faisait tant trembler auparavant, cette fois-ci, il ne m’avait rien fait. C’était tellement bizarre pour moi. De ne rien ressentir. Que j’en eus presque la nausée. J’eus regardé Morgan une seule fois, avant de détourner les yeux, mais je savais bien que si je ne lui disais pas que moi aussi je l’aimais, il trouverait ça bizarre, et suspect. Et je ne peu pas dire que je ne l’aimais pas, ou plus, mais c’était étrange à cette époque. J’ai finis par reprendre mes esprits, j’ai retrouver son regard, et je lui ai souris, avant de lui répondre « moi aussi je t’aime, et tu le sais. », à ma grande surprise il avait décider d’entamer la dispute. Je levais les yeux, pour le suivre du regard, étant donner qu’il venait de se relever du lit, là où nous étions allonger. « Ecoutes, Billy, j’aimerais bien que ça soit comme avant, comme à la première fois, au premier baisers, à nos premiers je t’aime. Tu comprends ? J’arrive plus à te cerné, tu me fuis, m’évite, me jettes, me manque de respect. Mais bordel, je dois faire quoi pour retrouver la place que j’avais il y a aller.. Un an. Dans ton cœur ? ». Je dois dire que ses paroles avaient été très blessante pour moi. Je perdu son regard, les larmes montaient. Elles n’avaient pas encore prisent l’initiative de s’évader, et rendaient ma vision trouble, mais assez visible pour que je le vois s’asseoir à coté de moi, au bord du lit, la tête dans ses mains. Je me mordis les lèvres, ne sachant pas quoi dire, ni quoi faire. J’en restais carrément muette. J’étais peut-être reine du lycée, mais la plus sensible, et moins diable. Et là j’avais comme une blessure au cœur, mais qui m’était irréparable. Je posais ma main sur son dos, puis déposais un baiser sur sa joue avant de ne commencer à prendre mes affaires pour rentrer chez moi. « Billy, s’il te plait, on peut parler.. » je ne le regarda même pas, j’avais trop peur de me mettre à pleurer, mais il vint fermer la porte de sa chambre, pour m’empêcher de partir, et déposer ses lèvres sur les miennes. « On parlera de tout ça demain.. Je dois y aller. » , baissant le visage pour attraper mon sac, il me laissa filer.

Une fois assise dans ma voiture, je m’étais mise à regarder le volant, pleurant comme jamais. Je me revoyais entrain d’embrasser Andrew, durant un de ses devoirs qu’on avait décider de faire ensemble. Et quand j’y repense, c’est vraiment horrible de lui faire subir cela, et même s’il ne le sait pas, le jour où il le saura, il ne voudra même plus m’adresser la parole, et m’en voudra toute sa vie. Un peu comme Steven je pense. Et j’en ai tellement souffert. Mais bon, le passé restait le passé, il fallait que je me reprenne, et je me suis reprise. J’ai pris le volant en direction de chez moi, et une fois arrivée j’ai sécher mes larmes, et me suis remis du gloss, pour paraître des plus normal, comme toujours. Puis je suis descendu de la voiture, et suis rentrée chez moi. J’ai monté les marches, pour aller à ma chambre, mais voyant la porte entre ouverte, de la chambre d’Autumn, je regarda ce qu’elle était entrain de faire, puis la voyant travailler, je laissa tomber les confessions.

Je poursuivais en direction de ma chambre, seulement je fus arrêter par la voix d’Autumn « Billy, tu voulais me parler ? » avait-elle questionner assez fort pour que je l’entende, étant déjà à la porte de ma chambre. Je pris mon courage à deux mains, puis fis demi tour pour me retrouver nez à nez avec ma grande sœur. Je m’installa sur son lit, puis grimaça comme une enfant pas contente, et triste. On aurait dit qu’on m’avait casser ma barbie, et c’était presque ça on va dire. « Je.. On s’est disputer avec Morgan, et il n’y ait pas allée de main morte dans ses paroles on va dire. Et je dois l’avouer, il a eut raison. Mais ça me fait tellement mal de ressentir sa douleur, que j’ai l’impression que je le détruit. » je finis par fixer un point, m’empêchant de pleurer. « si tu savais comme je m’en veux, comme je me sens monstrueuse, et horrible. Je suis vraiment pas seine comme fille, je n’arrive même pas à mettre les choses au clair dans ma tête. ».

Dès que j'étais rentrer chez moi et que je m'étais rempli le ventre je m'étais posé sur mon bureau afin de commencer à travaillé et faire cela jusqu'en début de soirée sauf que mon petit programme fut remis en question lorsque je vis ma soeur passer, et à voir sa tête et le fait qu'elle ai regarder ce que je faisait me laissais croire qu'elle n'allais pas bien et qu'elle avait besoin de parler, c'est pour cela que je l'avais rappelé avant qu'elle ne rentre dans sa chambre et qu'elle ne déprime pour une raison X , et bon je l'aime ma soeur , alors je me dois de l'écouter et en tant qu'ainée mon rôle est aussi de la conseillé tant que je peux.
Elle s'installa sur mon lit et commença à me raconter son petit problème, enfin petit est une façon de parler, la pauvre était bouleversé à cause d'une dispute avec son petit ami, elle ne m'expliqua pas la raison de leur différent mais il semblait assez importante. Tout en l'écoutant je continuais mon exercice puis quand elle est totalement fini de me raconter , je la regarda :

De quoi est partit vôtre dispute ?

Je voulais déjà tout savoir en rapport avec leur dispute avant de pouvoir commencer mes conseils et de donner mon avis personnel car évidemment que je vais le donner, et je ne vais pas automatiquement donner raison à ma soeur, il faut voir aussi le contexte, mais evidemment que même si elle a son tord dans cette histoire je la soutiendrais quand même , sa reste ma petite soeur et même si elle ne veux pas forcément le montrer elle est fragile.
Elle semblait vraiment désespérer, les yeux brillant à cause des larmes qu'elle ne voulait pas laisser couler.
Ma soeur était vraiment très différente de moi et au sujet des garçons on étaient le total opposé , elle s'attachait aux garçons avec qui elles sortaient , elle aimaient les longues relation et le sérieux, ce qui est totalement l'inverse de moi qui aime les relations d'une nuit sans attachement ni aucun espoirs, au moins on à aucun risque d'être déçu ou blessé par quelqu'un et on es pas malheureux à cause d'un homme comme ma soeur l'est, de plus on peut faire ce que l'on veux avec qui on veux sans se sentir coupable de quoi que se soit et sa c'est la liberté .

Je m’étais assise sur le bord du lit de ma sœur, au bord des larmes, mais je faisais du mieux que je pouvais pour les retenir. Je n’avais aucunement envie de me mettre à pleurer, pour bafouiller, et être incompréhensible. De plus, j’avais déjà assez pleurer comme ça tout à l’heure, et même si j’étais seule, au moins cela m’avait soulager. Puis, je n’ai pas l’habitude de pleurer dans les bras d’Autumn, non. On est pas si proche que cela , elle et moi. Malgré que nous soyons sœur, ma complicité avec elle a plus ou moins disparus au fil du temps. Et en grandissant avec Britney, que je considère un peu comme une jumelle, je n’ai pas la même complicité. J’aurais bien préférer aller lui raconter mes problèmes, à elle. Et non pas à Autumn, mais au moins, je parle de ce que j’ai, de ma dispute récente avec Morgan, et de cette envie folle de me confier. Britney n’est pas souvent à la maison, toujours sortie, et habituellement je suis avec elle, mais ses temps-ci, je sors beaucoup moins, peut-être cela signifie « dépression », derrière. Mais en tout cas, au contraire, Autumn , elle, est souvent là le soir pour travailler ses cours. Et comme il lui ait souvent arrivés de nous mettre à la porte de sa chambre quand on vient la voir, j’ai pris l’habitude de ne plus faire attention à elle quand elle est là. Et pourtant j’ai tant besoin de ma grande sœur. M’enfin, là, je suis tout de même assise, venant d’expliquer brièvement que je me suis disputée avec Morgan tout à l’heure, dans la chambre de ma sœur. Mon cœur se serre quand elle me demande le pourquoi du comment, et j’hésite à lui répondre. Je me positionne en tailleurs, entremêle mes mains, et mange mon gloss que j’ai sur les lèvres, me les mordillant. Si je lui réponds, elle va peut-être avoir une autre vision de moi, puis je ne sais même pas si elle est au courant de ce qu’il se passe entre moi et Andrew, qui est son meilleur ami d’ailleurs.. Je pense qu’il se confit à elle, mais je n’espère pas qu’il se confit autant à elle que cela, parce que je n’ai pas vraiment envie qu’elle apprenne, que moi aussi je suis pas une fille comme toute les autres. Oui j’aime avoir mon copain, n’y voir que par lui, et pourtant ça à changer. Enfin, pas totalement. C’est juste que j’ai céder à la tentation, mais pas encore totalement, alors s’y je pouvais m’en tenir à quelques baisers échanger, ce serait super.

« Ecoutes.. J’ai pas trop envie d’en venir au détail, Autumn. » , elle me regarde d’un air tellement compréhensif, et attentionnée, que mes sourcils se baisse et devienne innocent, et perdue. Je baisse le visage, et regarde mes mains, puis tourne l’anneau que j’ai à un doigt, avant de finir par parler. Pourquoi ? Parce que je comprends que ma sœur ait envie que je me confie à elle, elle veut m’aider, être là pour moi, elle veut que je me confie, tout comme je me serais confier à Britney si elle aurait été là. J’hésite encore un instant, puis me dévoue à lui parler. « Et bien.. On s’est disputer sur notre couple. Parce qu’il bat de l’aile, et que Morgan à l’impression de me perdre. » elle me regarde, ne comprenant pas vraiment, et moi je croise son regard. « … Et il a raison. Seulement, je ne veux plus qu’il est raison. Je ne sais pas si t’es au courant de ce qu’il en est, entre moi et Andrew, de ce qu’il a bien pus se passer, mais .. Une chose est sûr, je sais que c’est pas bien, je sais que j’aime follement Morgan, qu’il est l’homme avec lequel je me projette dans le futur, etc.. Seulement, je ne sais pas. Plus le temps passe, plus on avance, et plus je recule. » je verse alors une larme, puis baisse le visage pour regarder la gourmette qui est à mon poignet, où il y a écrit « Morgan ». Et pose mes doigts dessus. Je ne sais plus ce qu’il en est réellement de notre couple, ni comment faire pour reprendre le dessus, redonner à Morgan la place qu’il avait avant dans mon cœur. C’est si dur quand notre cœur bat entre deux personnes.

Ma soeur était là à m'expliquer son problème et en tant qu'ainée c'était mon devoir de l'aider enfin essayer , même si je ne le fais pas souvent car effectivement je préfère passer plus de temps à étudier, c'est une chose dont je suis plus douée car j'ai un peu de mal pour trouver les mots juste et réconforté ma soeur, enfin plutôt mes soeurs et sa elles le savent bien puisque lorsque je demanda à Billy de me raconter d'où partait sa dispute avec Morgan , elle n'a pas voulu de suite me le dire, sur le coup sa me fit un peu de peine, de savoir que ma propre petite soeur n'avait pas envie de se confié à moi puis j'ai vite trouvé sa logique vu mon comportement envers elle, alors je ne la força pas à me raconter et me re-pencha sur mon devoir où là je sentais une satisfaction , celle de pouvoir être utile , de faire ce que j'aime faire et à laquelle je suis douée, a part le sexe évidemment mais sa c'est une autre histoire .
Dès que j'eu fini de faire mon exercice je m’apprêtais à dire à Billy que si elle ne voulais pas je n'allais pas la forcé à me narrer son problème, mais mes yeux voulait dire l'inverse, ils étaient là plein de compassion pour elle , et avant même que je n'eu le temps de le dire elle commença, sans soute avait-elle vraiment besoin de parler , même si sa doit être à une personne dont elle n'en avait pas vraiment envie.
Elle commença par me dire en résumé puis plus en détaille, me parlant d'une chose dont Andrew, un de mes meilleurs amis m'avait parler, leurs attirance l'un pour l'autre . Elle se disait amoureuse de Morgan mais qu'elle n'arrive plus à avancer . A ce moment là j'aurais aimé trouver une histoire à lui dire comme chaque grande soeur fait , s'appuyer sur une histoire vécu mais le problème c'est que moi avec les garçons je n'ai jamais eu d'attachement, je ne sais pas vraiment ce que c'est qu'être amoureuse et encore moins ce qu'elle peut ressentir à se moment là . Je me savais inutile et je n'aimais pas vraiment sa, puis lorsqu'elle eut fini de me raconter une larme se mit à couler sur sa joue, alors je regarda mes cours puis elle puis mes cours , puis elle et me leva enfin pour m'assoire à ses côtés , j'essuya cette larme brûlante et lui leva le menton pour qu'elle me regarde et avec une voix pleine de compassion je lui répondit

Ecoute Billy , je ne peux pas vraiment savoir ce que tu ressens exactement, et comment même arranger les choses, mais si tu n'arrive plus à avancer et qu'il se passe ce qu'il se passe avec Andrew, c'est peut-être parceque vous n'êtes pas vraiment fait pour être ensemble , bien que tu l'aime, sa c'est évident car sinon tu ne serais pas dans cet état, enfin je suppose, vous n'êtes peut-être en réaliter fait que pour être de bons amis tu ne trouve pas ? Si un autre t'attire c'est que Morgann ne suffit peut-être pas à tes attente en tant que petite amie si ?

Je ne savais pas trop si ce que j'ai dit l'aiderais, si même c'était logique ou la réalité, je n'en savais trop rien , j'avais juste chercher à l'aider même si je ne savais vraiment pas comment m'y prendre.

« Ecoute Billy , je ne peux pas vraiment savoir ce que tu ressens exactement, et comment même arranger les choses, mais si tu n'arrive plus à avancer et qu'il se passe ce qu'il se passe avec Andrew, c'est peut-être parceque vous n'êtes pas vraiment fait pour être ensemble , bien que tu l'aime, sa c'est évident car sinon tu ne serais pas dans cet état, enfin je suppose, vous n'êtes peut-être en réaliter fait que pour être de bons amis tu ne trouve pas ? Si un autre t'attire c'est que Morgann ne suffit peut-être pas à tes attente en tant que petite amie si ? » m’avait dit ma sœur après mes explications plus ou moins difficile à entendre. A dire vrai, ma sœur , - et ça se voyait - n’en croyait pas ses oreilles. Cette attitude venant de moi était plutôt étrange je dois dire. Et c’est vrai que j’ai toujours été la petite fille qui croit au prince charmant, et qui rêve de l’homme parfait. Seulement, en grandissant on se rend bien vite compte que les choses que l’on voit dans les dessins animés sont rien d’autre que des mythes, et des mensonges. On grandit dans un contexte irrationnel, qui nous fait rêver, mais c’est quand on a cessé de grandir qu’on se rend compte que tout cela était une pur invention. Non, le prince charmant n’existe pas. Et très franchement les garçons ne sont même plus ce qu’ils étaient avant. A l’époque de ma mère, car je les entendais souvent ma mère et mon père nous raconter à moi et mes sœurs leurs années lycées et les garçons n’y allaient pas de mains mortent dès qu’une fille leur plaisait, et c’est ça qui était bien. Parce qu’ils osaient. M’enfin, là je m’éloigne du sujet, mais tout cela pour dire que l’on grandit dans des mythes qui nous auront aveuglé toute notre jeunesse.

Après les paroles de ma sœur, mon cœur ralentissait, pour revenir à la normal. Mes larmes se séchèrent, et je reprenais petit à petit le dessus. Je savais très bien qu’il était temps pour moi de faire quelque chose entre Morgan et Andrew, et pourtant je n’en faisais rien. Mais bon, l’amour à ses raisons que les raisons ignorent, comme on dit si bien. Et très franchement je sens bien que je suis attirée par Andrew, et qu’il est plus qu’un ami, mais est-ce vraiment de l’amour ? Parce que je sais que j’aime Morgan, et que mon cœur bat pour lui, alors je dois l’avouer, cela m’est une position assez étrange. « Je sais que j’aime Morgan, et je n’en doute pas. Seulement, je ne comprends pas ce qu’il se passe avec Andrew, puis tout a été tellement vite. Mais je sais que je tiens à lui. Mais si c’est de l’amour.. Je n’en sais rien, et je ne pense pas. Ou du moins pas pour l’instant. » Je grimaça après cette dernière remarque que je venais de faire, puis finit par prendre conscience de ce que je venais de dire. Je regarda alors ma sœur, qui fronçait les sourcils se demandant de quoi, et restais là, bouche ouverte. «  Mais que je suis con. C’est fou ce que je suis pas clair comme fille. Regardes moi, j’ai l’intention de continuer comme ça, alors qu’au fond, je souffre, Morgan souffre, et Andrew aussi.. C’est un cercle vicieux, je m’en sortirais jamais. » dis-je la voix brisée. Perdu en pleine forêt amazonienne j’étais, ça on ne peut pouvait pas le nié. Et le pire, c’est qu’on pourrait croire que je suis égoïste, et ne fait ça que selon mon intérêt, et rien d’autre, alors que je déteste faire souffrir quiconque. Sauf mon ennemi.. Malgré que j’ai si bon cœur, que si ma pire ennemie ne va pas bien, et qu’un jour je la retrouve complètement désorienté, je ferais surement le premier pas vers elle. Ce qui parait impensable, je sais bien. Et à coté de ça, Andrew a une sœur qui pense bien des choses de moi. « Heather me parlait avant. Mais maintenant elle ne m’adresse plus la parole. Elle ne veut plus me parler, plus de notre amitié. Elle me considère comme une trainée allumeuse, qui joue avec les sentiments de son frère, n’ayant rien d’autre comme but, que de le faire souffrir. Et je me sens mal qu’elle pense cela de moi. ».

Elle était perdu et sa se voyait, Bien que ses larmes aient sécher après mon discours , peu convaincant je dois l'avouer, je la sentais encore ailleurs, et moi n'ayant pas l'habitude de l'aider , j'essayait de trouver le mot, le geste à faire qui pourrait faire en sorte qu'elle se sente mieux , mais j'avais beau chercher je ne trouvait pas . Bien que j'étais la plus grande des trois soeurs Summers, lorsque Billy avait quelque-chose qu'il n'allait pas , c'est toujours Britney qui à su la réconforter, trouver les mots juste , en même temps , il me semble que c'est de ma faute , à trop vouloir réussir dans mes études, à trop m'acharner dessus pour réussir ma vie plus tard, j'en est oublié de prendre soins de mes soeurs . Sa me fait pensé à cette citation que j'ai lu dans un de mes livres l'autre jour qui disait " Bien des gens meurent sans avoir composé toute leur musique. Trop souvent c'est parce qu'il passe leur temps à préparer ce que sera leur vie au lieu de la vivre. Et avant qu'ils s'en rendent compte, le temps leur a filé entre les doigts." Elle avait été écrite par un certain Oliver Wendell Holmes et Bizarrement , enfin façon de parler, je m'était reconnu dans cette phrase au niveaux de la famille, bien-sure pas au niveau de l'amusement car sa je m'amuse , que se soit en fête ou avec les garçons, mais avec mes soeur je crois que j'ai tout loupé et que maintenant c'est un peu trop tard pour revenir en arrière .

Enfin bref, quoi qu'il en soit non seulement je ne savais pas quoi lui dire car je n'ai pas l'habitude de donner des conseils ou même de la réconforter , mais aussi parce-que je n'ai moi-même jamais eu de problème de ce genre, c'est tellement plus simple de s'amuser sans sentiments, et c'est encore mieux quand l'autre homme aussi est comme vous , c'est bien pour sa que je m'amuser souvent avec Eli ou Gaby.
Je regardait ma soeur, qui me continuait son récit, ses explications, et tout continuait à me dire qu'elle allait mal . Ne sachant pas quoi lui répondre , mais sachant très bien qu'il ne fallait pas que je reste dans le silence, je lui répondit d'une petite voix :

Tu sais Billy, tu n'est pas " Con " comme tu le dit, et si tu t'en sortira , même si sa paraît dure pour le moment , tu aime Morgan ? Ok ! Tu n sais pas ce que tu ressens pour Andrew ? C'est pareille , si tu veux trancher entre les deux , comprendre pour lequel des deux tu as les plus fort sentiments amoureux il suffit de te demander sérieusement lequel des deux aimerais-tu avoir à tes côtés les jours où tu sera heureuse, et dans les bras du quel tu préfère être lorsque tu ne vas pas bien .

Je crois que ce discours était celui où j'étais persuadé d'avoir dit le moins de bêtises, même si techniquement je n'en savais pas grand choses, mais c'est vrai qu'en y réfléchissant sa peut-être difficile de répondre à ces questions alors je rajouta

Je sais que se n'est pas facile , mais en prenant le temps d'y réfléchir et en cherchant vraiment la réponse a ses questions te viendront et là tu saura avec qui tu veux être et tu pourra enfin être heureuse

Je laissa un instant sans que personne ne parle puis elle pris la parole, pour me dire que Heather, la soeur de Andrew ne voulait plus lui adresser la parole car elle pensait que Billy joue avec les sentiments de mon meilleur ami , je secoua la tête tout en soufflant , puis pris la tête de ma petite soeur entre mes mains et lui dit :

Ecoute moi bien Joy Billy Summer , pour le moment, ne t'occupe pas de ce que pense les gens, Heather s'inquiète juste pour son frère ce qui est normal, et si pour l'instant elle ne veux plus te parler, ne t'inquiète pas , elle reviendra te voir quand elle comprendra que tu ne joue pas avec Andrew , que c'est juste parce que tu es perdu , ne t'en fait pas pour sa, pour l'instant essaye juste de savoir avec qui tu veux être pour un peu éclairer ton esprit ...

Assise sur le bord de son lit, j'étais entrain de la regarder, les yeux remplis de larmes, et depuis la minute où j'avais pénétrer dans sa chambre, j'avais cette envie atroce, qui me rongeais dans tout le corps, de pleurer. Alors quand je me suis mise à pleurer, j'en suffoquais presque. Mais, une chose m'étais complètement bizarre, c'était le fait d'être là, assise sur le lit d'Autumn, alors qu'elle n'était jamais là pour moi et Britney. Elle passait ses journées en cours, ses soirées à réviser ou bien à coucher avec X et Y. Alors non, pour moi je n'avais pas vraiment de grande soeur, parce qu'au fil du temps je l'ai perdu, tout comme j'ai perdu ma mère d'ailleurs, parce qu'avec son travail elle s'est égarée de nous à grand pas, et Autumn est entrain de devenir comme elle, ce qui m'insupporte. De plus, il y avait une air d’ironie, sachant qu'elle n'avait pas les même problèmes que moi, étant donner qu'elle n'avait pas aimer, qu'elle avait toujours fuit l'amour. Malgré qu'elle soit sortie au maximum quelques semaines avec son ancien meilleur ami, car oui c'était plus possible de parler d'amitié entre eux deux après, et bien elle l'a fuit, ayant trop peur de souffrir, et d'aimer. Car pour elle, aimer c'est souffrir. Alors que c'est un sentiment qu'elle n'a encore jamais ressentit, et c'est bien ce qui me fait rire, quand j'entends de tel discours de soutient de sa part. J'avais une folle envie de lui dire ce que je pensais, mais j'avais ma dose de dispute pour ce soir. Je la regardais, puis me laissa envahir ses bras, oui elle venait de me serrer dans ses bras, et c'était un tableau d'ailleurs très touchant, c'était comme-ci on se retrouvait. Je me dégagea de ses bras, pour essayer de la regarder en lui répondant, mais j'avais trop de larmes qui envahissaient mes yeux, à tel point que j'y voyais flou.

« L'amour ne se contrôle pas, Autumn. Et ce que je crois, c'est que je suis entrain de ressentir des sentiments pour Andrew, que je ne devrais pas ressentir. Je ne veux pas faire souffrir Morgan, parce que je l'aime toujours, et même si mon amour pour lui n'est plus celle qu'au premier jour, et qu'à nos premiers baisers, je sais que je l'aime toujours, et que j'éprouve toujours des sentiments pour lui, alors je tiens à lui. Je ne veux pas le voir souffrir, comme j'ai vue souffrir Steven. J'ai l'impression d'être une briseuse de coeur. Entre Steven que je largue pour Morgan, puis maintenant, je trompe Morgan avec Andrew, et Andrew m'explique clairement ce qu'il éprouve pour moi. ». Un long silence envahi la chambre, et je m'enfouis dans les bras de ma soeur, repensant à ce qu'Andy m'avait dit la veille sur facebook. J'avais eut envie de sauter par la fenêtre de ma chambre, je n'en revenais pas, il faudrait qu'on m'interne, qu'on m'enferme, qu'on me punisse, qu'on me tue d'avoir « pêcher », je fais du mal autant à Morgan que j'en fais à Andrew. Rien que le fait de faire souffrir une personne me rend malade, alors c'est encore pire quand c'est une personne que j'aime.« Ça me tue de te voir dans ses bras, d'être avec lui.J'ai envie de t'avoir à moi, et rien qu'à moi Billy, c'est ça que tu veux entendre ? Et ben voilà ! Tu le sais maintenant. Voilà ce qu'il m'a dit. Voilà la déclaration de la semaine, celle qui me tue de l'intérieur, et celle pour laquelle j'ai qu'une envie c'est qu'on me pende. »Je ne regrettais pas mes paroles, parce qu'à cette instant même, c'est ce que je ressentais. Pour moi, faire souffrir une personne, c'était s'en prendre à soi-même aussi, et ça me rendait malade, c'était un peu comme une phobie, et je déteste ça, je préfère me faire enfermer, plutôt qu'avoir des reproches, ou bien d'entendre des personnes pleurer. J'ai toujours été la plus sage, toujours été celle qui va vers les autres, alors ce que je faisais, me rendait des plus sale. Après lui avoir expliquer pour Heather, ma soeur s'était mise à souffler, en secouant la tête, et ça me fit du bien de comprendre qu'elle était sur ma défensive.« Non c'est pas facile ! Tu ne te rends pas compte Autumn, non. C'est difficile d'éprouver des sentiments pour une personne, et pour une autre. Et en ce qui concerne Heather, je vais passer le cap, le problème c'est que ça m'insupporte qu'elle essaie de convaincre Andrew que je le manipule, et que je n'ai jamais été sincère avec lui. »