Kate Anastasia Hannigan. FEATURING. Penelope Cruz

Je m'appelle Kate Anastasia Hannigan , je suis née à Mexico le 14/05/1869, et oui, il y a bien longtemps dis comme ça. Mais c'est bon de se rappeler tout ses bons souvenirs. J'étais professeur de philosophie. J'étais à cette époque divorcée. Mon orientation sexuel ? Bien qu'à cette âge là, on ne sache pas vraiment encore qui on est réellement, j'étais hétérosexuel. Pour terminé, parce que bon on va pas s'éterniser ici, j'ai une courte histoire à raconter, mais j'habitais plus chez mes parents. Dans le groupe Rebels

Dans les plus beaux jours de Perth ,
Cher Journal,
Cette nuit, j’ai fait un rêve assez étrange. Les images étaient assez floues, et je ne saurais dire ce qui sortait du passé ou bien de mon imagination. Je revoyais la ville de Mexico, celle de mon enfance, mais surtout celle où je suis née le 15 mai 1869. Dans mon rêve, je pouvais sentir le parfum de ma mère, entendre le rire de mon père, et surtout, retrouver la sensation de mes pieds sur le sol tellement chaud sous le soleil. Je me souviens encore de tout comme si c’était hier, et puis, d’un coup tout s’est brouillé. Nous avons prit le bateau pour nous rendre en Australie, un endroit que je ne connaissais pas et que je devais apprendre à apprivoiser. C’était tellement différent, papa ne riait plus, les gens parlaient de manière étrange, et j’étais totalement perdue. Mes habitudes n’étaient plus les bonnes, fini les balades pieds nue dans les rues, il fallait mettre des chaussures, et articuler en parlant. Mon rêve c’est transformé en cauchemar à ce moment précis. Heureusement pour moi, je me souviens encore des longues soirées à lire des livres de grands hommes, qui pensaient tellement mieux que ceux qui m’entouraient. Je pris goût pour la philosophie à ce moment précis. C’était la seule distraction noble que je pouvais me permettre.

Encore une fois, mon rêve devint tout flou, pour faire apparaître le visage d’un homme qui changea ma vie. Je ne sais pas trop si c’était un cauchemar ou bien un rêve mais je vis le visage de celui qui allait devenir mon mari et le père de mes enfants. Nous étions tous deux au lycée, j’étais encore jeune, et stupide surement, mais jamais je ne regretterais d’être tombée enceinte de mon petit Steven. J’épousa cet homme, encore une fois, mon rêve se transforma en souvenir. Je me vis le ventre légèrement rond, entrer dans l’église pour aller unir mon destin à cet homme jusqu’à ce que la mort nous sépare, enfin c’était ce que je pensais à ce moment là. Pourquoi ne peut-on pas modifier l’avenir quand nous rêvons, pourquoi mon histoire ne dois jamais finir par une Happy End… Je n’en sais rien, en tout cas, je m’accrochais à mon rêve d’enseigner la philosophie et donc j’entrai en fac de philo. Logique je sais, mais pour moi c’était quelque chose que d’entrer à la fac alors que j’avais un bébé et que j’étais fraichement mariée, mais surtout, j’étais une femme.

Mon rêve c’est cependant attardé sur un moment assez magique pour une femme. Mon second accouchement. L’avantage d’un rêve, c’est de ne pas ressentir la douleur une seconde fois. Bref, je revis le visage de ma petite October, alors qu’elle venait d’ouvrir les yeux. Je me souviens encore de quand je l’ai prise dans mes bras pour la première fois. Elle avait l’air tellement fragile, tellement pleine d’amour envers sa mère, ce qui n’est plus réellement le cas aujourd’hui, mais je ne peux l’en blâmer. Mon avenir était encore repoussé, avant de devenir professeur, je devais remplir mon rôle de maman. D’ailleurs, un an après, une autre princesse voyait le jour dans la maison, ma petit Antigone, je vous avais dit que j’aimais beaucoup lire des livres de philosophes. Je ne sais pas si c’est le fait que je m’occupais plus de mes enfants qu’autre chose que mon mari me quitta alors que la dernière n’avait que 4 ans. Une autre femme, il avait préféré une autre femme à moi ? Celle qu’il avait promis de chérir et d’aimer jusqu’à la fin des temps, dans le meilleur comme dans le pire. Je ne savais pas de qui était la faute, de moi… de lui… de nous…

J’ai dû élever mes enfants toute seule, mais je dois dire que j’en suis fière. C’était une période assez dure dans ma vie, très dure même, mais elle a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Ce qui ne te tue pas te rend plus forte, et c’est le cas de le dire. Même si durant ma période sombre j’ai pas mal bu, je dois l’admettre, je n’étais plus totalement moi-même, mais je ne suis pas une surfemme. Je suis simplement une femme, une femme qui a sur remonter la pente avec l’aide de ses enfants, et qui n’est pas à plaindre niveau financier. Une femme très maniaque avec un tempérament de feu. Certains vous dirons même que j’ai un caractère de cochon, mais je l’assume. Je sais me défendre maintenant, et si on me met en colère, il faut en assumer les conséquences par la suite.

En faisant une sorte de petit bilan rapide de ma vie, je me rends compte que j’ai tout de même obtenu ce dont j’avais envie. Je suis devenue professeur de philosophie à l’université, et c’est assez rare de faire un métier qu’on aime réellement. J’ai des enfants merveilleux dont je suis très fière, je les aime de tous mon cœur, même si ce n’est pas réellement rose tous les jours, il faut l’admettre. Et il faut le dire, je suis encore une belle femme. Je suis encore attirante, je ne fais pas trop vieille pour mon âge, et je ne suis toujours pas mariée. Je ne crois plus en cela, j’ai été déçu une fois, je ne veux pas recommencer. Et puis, les petits jeunes de nos jours, sont tellement plus mignons et bad boy. Je craque littéralement sur eux, je sais c’est très mal de dire ça, mais à toi mon petit journal, je sais que je peux tout dire sans être jugée.

WHO'S BEHIND THE SCREEN ?

» Prénom ou pseudo Bella
» Qu'est-ce qui t'a plus sur le forum ? L'activité, le design, et ce pv
» Quel niveau de rp t'estimes-tu ? 15/20
» Fraise ou chocolat ? Les deuuuuuux
» Le petit code ? Okay By Oct' ♥
» Petit mot de la fin ☺ Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants...

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