Sujet: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Mar 22 Mar - 20:13
You're my everything so please don't
walk away
« LE CŒUR A SES RAISONS QUE LA RAISON IGNORE »
Cette après-midi-là, j’étais encore en cours. Je me rendais maintenant compte que la médecine, ce n’était vraiment pas ce à quoi je m’attendais. C’est vrai, je m’attendais à une sorte de Grey’s Anatomy. Être interne, coucher avec le titulaire super sexy et avoir une bande d’amis aux relations amoureuses plus que douteuses. Mais il n’y avait pas de titulaire sexy, juste nous, étudiant en médecine et les cadavres de ces personnes décédées qui avaient décidé de laisser leur corps à la science. Mais quels fous faisaient ça ? A chaque fois que je m’entrainais à faire des points de suture, j’avais l’impression que la personne allait se réveiller, me sauter dessus, me morde et me tuer... Note pour moi-même : arrêter les films d’épouvante. De plus, le rythme des étudiants étaient horrible, courir partout, les devoirs à la maison. J’avais l’impression que j’allais exploser. Surtout, mes camarades avaient tous l’air de gros intellectuels regardant les cadavres avec fascination et sautant sur la première question lancée. A chaque moment, je n’avais pas le temps d’ouvrir la bouche avant que l’un d’eux ne dise la réponse à toute vitesse. Je n’avais qu’une envie, sortir d’ici et ce le plus vite possible. J’avais besoin d’un moment de repos, loin de ces trucs morbides. Si j’avais su que l’on faisait cela en médecine, je n’aurais jamais pris ça. Lorsque le professeur nous accorda une petite pause, je fonçais sur l’occasion, tout le monde se dispersait dans les couloirs, moi, je me ruais vers la porte pour me changer dans les vestiaires et me glisser hors des bâtiments. Alors que j’enfilais mes chaussures, je vis l’une de mes camarades passer la tête par la porte des vestiaires et me regarder, étonnée. « Eh bien je te croyais plus battante que ça Hannigan. A croire que je me suis trompée à ton sujet. » je soupirais, pris mon sac et m’arrêtais devant elle « Je me fiche de ce que tu penses de moi, maintenant, laisse-moi passer, à moins que tu sois une grande fan de cadavres en pleine décomposition, en tout cas, moi, je me casse. ». Elle ouvrit la bouche pour ajouter quelque chose mais se résigna et me laissait passer.
On n’entendait que le cliquetis de mes talons dans les couloirs mais je m’en fichais, j’étais pressée de pousser cette porte et respirer enfin l’air frais. J’accélérais le pas, poussait la porte et alors, l’air frais vint emplir mes poumons. Ah ! Le soleil ! Le soleil, c’était tellement mieux. Avec cette remarque, je décidais de prendre la voiture pour aller prendre un bon bol d’air frais. Je fouillais dans mon sac pour trouver les clés, entrait dans la voiture et prit la route, direction la plage. Il y avait toujours du monde à cet endroit, les enfants, surfers etc… Je retirais mes chaussures que je portais à la main et vint m’assoir sur le sable chaud, jetant ma tête en arrière, profitant du soleil jusqu’à ce qu’une ombre vint me cacher du soleil, j’ouvrais les yeux et mit ma main au-dessus de mon front pour voir qui me faisait de l’ombre et tombait nez-à-nez avec Marcus
« Ma...Marcus. Qu'est ce que tu fiches ici ? »
Dernière édition par Antigone S. Hannigan le Jeu 23 Juin - 22:28, édité 1 fois
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Sujet: Re: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Jeu 23 Juin - 19:26
Antigone & Marcus
Les cours, les cours et toujours les cours. Je n'avais jamais vraiment apprécier l'école mais m'y étais toujours appliqué pour faire plaisir à mon père. A dix ans, l'idée même de me trouve encore à étudier à plus de 20 ans m'effreyais au plus au point. C'était quoi le but ? Qu'on passe notre vie dans des classes ou quoi ? Bon, bien évidemment, je ne comprenais pas encore à cet âge là mais je dois avouer qu'en grandissant, je n'aimais pas plus les cours. C'est ce que disent tout les jeunes on va dire, c'est certain. Seulement, lorsqu'on choisit une voix qui nous plait, les cours nous passionnent, nous entrainent et nous font oublier ce petit truc qui faisait que lorsqu'on était plus jeune on détestait l'idée même de se retrouver assis sur une chaise à écouter un prof' parler. J'avais naïvement cru qu'en faisans plaisir à mon père, je me ferais plaisir à moi-même également mais ce n'était pas le cas. Le droit m'interessait, je ne pouvais pas dire le contraire c'est sûr, mais cela ne me passionnais pas. Etre avocat ne me dérangeais pas, non, loin de là, c'était une idée d'avenir plutôt sympathique, mais j'avais toujours en moi cette envie de faire autre chose, de me lever un beau matin, d'hurler merde au monde entier, d'arrêter le droit et de me lancer dans la musique ou dans le sport ou même m'en aller dans un pays étranger pour vivre autre chose que cette petite vie préparée à l'avance par mon père, mais j'en arrivais toujours à me dire que le droit était surement finallement ce qui me correspondais le mieux.
Ma dernière heure venait de sonner, je rassemblais mes affaires et sorti en vitesse de la classe avant de filer dans le centre ville afin de manger. J'avais la dale, il fallait bien l'avouer, je ne mangeais pas le matin et à 10 heure le matin, mon ventre réclamait déjà. Je mettais arrêter dans un petit restaurant ou j'étais on va dire " un habitué " j'avais comme a mon habitude commandé des tonnes de plats et avait tout dévorer en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Ma fois, après ce délicieux festin, je mettais dis qu'il fallait mieux que je bouge plutôt que de rentrer chez moi pour étudier. Je me décidais par la suite à me rendre sur la plage. Il y avait toujours du monde l'après-midi et je me doutais que j'allais certainement y voir des ami(e)s avec qui passer l'après-midi.
Je ne mis pas longtemps avant d'arriver sur la plage. J'attrapais mes lunettes de soleil, les déposa sur mon nez, enlevais mes chaussures et commenca à marcher sur le sable chaud. On aurait dit un véritable touriste, short d'été et tee-shirt flashi, les mains dans les poches, c'était plutôt comique à voir. Je marchais donc, les mains dans les poches à regarder autour de moi si je ne voyais pas quelqu'un qui ne m'étais pas inconnu et heureusement pour moi, je reconnu de loins une merveilleuse jeune fille. Je m'approchais de celle-ci. Elle était assise seule, en train de profiter du soleil, il était donc normal que je vienne l'embêter un peu. Je vins me mettre eu dessus d'elle, ce qui lui fit de l'ombre, elle ouvrit les yeux et fis aussitôt « Ma...Marcus. Qu'est ce que tu fiches ici ? » j'affichais un grand sourire et déposa un baiser sur le frond de la jeune fille. Je vins par la suite m'asseoir à côté de la demoiselle et lui répondit « Désolé, je ne savais pas que cette plage était privé, je peux partir si tu veux ... » je lui fis un petit clin d'oeil avant de poser mon regard sur la mer. Cette demoiselle était Antigone Hannigan, merveilleuse demoiselle que je connaissais depuis plusieurs années maintenant. Je lui avais fais vivre un enfer durant le lycée mais c'était une carapace pour ne pas lui montrer qu'en réalité, j'étais tombé follement amoureux d'elle. Notre relation était désormais quelque peu étrange, puisque nous couchions ensemble mais qu'elle ne désirait pas de relation dites " sérieuse ".
Dernière édition par Marcus J. Pickleburry le Ven 24 Juin - 12:46, édité 1 fois
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Sujet: Re: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Jeu 23 Juin - 22:27
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« LE CŒUR A SES RAISONS QUE LA RAISON IGNORE »
La plage, le soleil. Il n’y avait pas de doute là-dessus : j’aimais Perth. Le sable chaud ne valait pas un court d’autopsie à la fac. Il valait beaucoup plus que ça. A le sentir sous mes pieds, je pensais aux vacances, il me tardait de passer mes examens pour passer en deuxième année de médecine et être en vacance avant cela. Profiter, voir mes amis, passer mes journées sur la plage à refaire mon bronzage. Bref profiter quoi. Je m’étais assise sur le sable, offrant ma peau au soleil et pensant qu’en cinq minutes, je serais magnifiquement bronzée mais non. Je regardais les enfants jouer dans l’eau et cela me faisait sourire. Je me rappelais, lorsque j’étais petite cette fameuse journée où Steven, October et moi avions décidé d’aller à la plage. Ce jour-là, notre mère était sobre. Je me souviens que c’était l’une des seules fois où tout le monde s’entendait très bien et que l’on s’était drôlement bien amusé. Lorsqu’October et moi avions décidé que Steven serait le méchant requin et nous les chasseuses de requin, on l’avait poursuivi avec des filets de pêches pendant plus d’une heure. Je souriais toute seule à ce souvenir.
Alors que je fermais les yeux, plongée dans mes vieux souvenirs, je sentais que quelqu’un me faisait de l’ombre. Alors, j’ouvrais les yeux, mis ma main en coupe et vis Marcus. Automatiquement et sans raison, je lui demandais ce qu’il faisait ici, bien que la raison était logique, il faisait comme moi, venait profiter du soleil. A la vue de sa tenue, je ne pouvais m’empêcher de sourire, on aurait dit un touriste européen qui découvrait les plages de Perth. Il me répondait sur le ton de la plaisanterie en me faisant un clin d’œil qu’il pouvait partir si je le désirais. Il m’embrassait le front, je ne pouvais m’empêcher d’apprécier. Et il se posait à côté de moi.
Non tu peux rester.
Lui murmurrais-je, sourire aux lèvres. Machinalement, je lui avais pris la main. Je connaissais Marcus depuis le lycée et ça a toujours été très étrange entre nous, par ma faute peut-être. Au départ, je ne pouvais pas le supporter, il était toujours là à m’insulter alors que je ne lui avais rien fait. Il m’agaçait aussi avec son petit sourire enjôleur et sa façon de me regarder. Au final, on se détestait tous les deux, jusqu’au jour où on a fait la bourde de coucher ensemble. Je ne lui avais jamais avoué mais ça avait été ma première fois mais j’étais trop fière pour lui dire. Depuis ce jour, on remet ça, assez souvent. Lui veut une relation officielle mais moi, j’ai peur. Je me hais chaque fois que, lorsqu’il se montre gentil et doux, je déteste le fait que ça me plaise, que le rouge me monte aux joues et que mon cœur bat la chamade. Me rendant compte de mon geste, j’enlevais aussitôt ma main et prit un air détendu, lui sortant un immense sourire.
Alors, tu as finis les cours ou tu fais comme moi et tu sèches ?
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Sujet: Re: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Ven 24 Juin - 13:08
Antigone & Marcus
« Ma...Marcus. Qu'est ce que tu fiches ici ? » - « Désolé, je ne savais pas que cette plage était privé, je peux partir si tu veux ... » je ne laissais même pas la demoiselle me répondre, je vins m'asseoir à ses côté tout en affichant un jolie sourire. Une fois assis, elle me répondit en souriant « Non tu peux rester. » je lui souris et regarda les vagues s'échouer sur le sable. Soudain, je sentis la main de la jeune fille se poser sur la mienne, je tournais dès lors mon regard vers elle, ne pouvant m'empêcher d'afficher un petit sourire. Avoir sa main sur la mienne, ce n'était pas grand chose c'est vrai, mais pourtant cela procurait chez moi quelque chose d'incroyable, un apaisement hors du commun. Dès qu'elle me touchais, j'avais envie de lui dire que j'étais fou d'elle, mais c'était tout simplement inutile étant donné qu'elle savait déjà tout ça et qu'elle refusait de son côté toute sorte d'attachement.
Mon plaisir fut de courte durée, la jeune fille retira sa main de la mienne avant d'afficher un grand sourire et me demander « Alors, tu as finis les cours ou tu fais comme moi et tu sèches ? » je rigolais en entendant ses propos. C'était Antigone tout craché d'agir de la sorte. Je vins remettre une mèche de cheveux qui se baladait sur son visage derrière son oreille et lui répondit en souriant légèrement « Tu sais bien que moi je ne peux pas me permettre de sécher même si je dois dire que c'est une idée des plus aléchante. Je crois que je te répète sans cesse que j'ai rarement cour l'après-midi Antigone » je rigolais puis ajouta « Et toi dis moi, pourquoi est-ce que tu sèches ? L'appel du soleil était trop fort pour que tu puisses rester enfermé toute ton après-midi à écouter les gens parler c'est ça ? » je souriais et sans même savoir pourquoi, je vins déposer un doux baiser sur sa joue avant de froncer légèrement des sourcils, me rappelant que nous n'étions pas un "couple ", me reculant doucement j'affichais un sourire des plus décontracté possible et tourna la tête vers une bande de mecs qui rigolaient comme des perdus. Auparavant, j'aurais été un de ces mecs avec sa bande de pote à faire l'idiot à rigoler de tout et de rien. Mais rien n'était plus satisfaisant pour moi, que de passer du temps avec Antigone, même si cela ne durait que cinq toute petites minutes, le simple fait de sentir sa présence à côté de moi, de sentir son parfum, de l'entendre rire, j'étais tout simplement comblé, ou amoureux à vous de voir.
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Sujet: Re: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Ven 24 Juin - 21:53
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« LE CŒUR A SES RAISONS QUE LA RAISON IGNORE »
Alors que j’étais tranquille sur la plage. Marcus avait fait son apparition. Instinctivement je lui avais demandé ce qu’il faisait là, alors que la réponse était tellement logique. Ces derniers temps, j’étais de plus en plus étrange par rapport à lui. Je me mettais souvent sur la défensive et me posait beaucoup trop de questions. Par exemple, pourquoi est-ce que je ne pouvais pas m’empêcher de sourire lorsqu’il était présent, que, lorsqu’il me touchait et qu’il se retirait, j’avais l’impression d’avoir des fourmis à l’endroit où il m’avait touchée, que mon cœur battait la chamade lorsque je croisais son regard et je détestais ce sentiment. Je me sentais vulnérable, comme s’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi, qu’il pourrait m’emmener n’importe où et que je le suivrais. Il m’arrivait lorsque j’étais en sa présence, d’avoir les jambes qui tremblaient et lorsqu’on parlait, je nous sentais comme dans une sorte de bulle, comme s’il n’y avait que nous. J’étais à la fois à l’aise et mal à l’aise lorsqu’il était là et je n’arrivais pas à savoir pourquoi. Enfin si, je le savais mais je me refusais tout simplement de me l’avouer.
Il s’était installé à côté de moi, instinctivement j’avais pris sa main, entrelaçant mes doigts avec les siens et les regardants d’un air rêveur. Nous ne disions mots. Simplement profiter de la présence de l’autre et c’était si apaisant. Loin de l’enfer de la fac. Lorsque je rencontrais Marcus, c’était un peu comme une bouffée d’oxygène, comme si c’était le seul moment où je pouvais respirer, ne pas me monter la tête. Enfin, ce que je pensais car, dès l’instant que l’un faisait quelque chose, je me montais la tête de centaines de questions. Je m’étais rendu compte de mon geste alors je lâchais sa main en soupirant et regardait les vagues s’écraser sur le sable. Alors l’envie de parler me prit. Je lui demandait de façon anodine s’il avait fini les cours ou s’il faisait comme moi et séchait. Cela le fit rire, je ne pouvais m’empêchais de sourire, il replaçait une mèche rebelle de mes cheveux, choses qu’il avait pris l’habitude de faire, je plongeais mon regard dans le sien jusqu’à ce que je sente mon cœur tambouriner dans ma poitrine et me retirais vivement. Perdue. Il me répondait qu’il ne pouvait pas se permettre de sécher bien que l’idée était alléchante et me fit remarquer qu’il m’avait déjà dit qu’il n’avait pas cours l’après-midi. Ah ouai c’est vrai, j’oublie toujours. avais-je dis d’un petit rire. Alors il me demandait la raison de mon séchage. Je lui souriais.
Disons que je ne pouvais plus respirer dans cette salle remplie de cadavre. Beurk ! Tu verrais c’est immonde, je me demande pourquoi je fais médecine. Et tu verrais les autres, ils sont là genre en grande admiration devant des corps en pleine décomposition à toujours jouer les lèches-culs. J’en avais marre de ça, j’avais besoin d’un petit break donc je suis partie. Et oui je dois avouer que l’appel du soleil y est aussi pour quelque chose.
Il me déposait un baiser sur la joue, sans raison apparente. J’aurais voulu reculer, lui dire que c’était mal, que nous n’étions pas un couple au lieu de cela, je plongeais mon regard dans le sien, m’approchant de ses lèvres, prête à lui déposer un baiser. Et alors, la raison me revint. Je me levais brusquement.
Tu ne trouves pas qu’il y a un peu trop de monde ici ? Je connais un endroit pas loin un peu mieux et moins bondé. Allez viens suis-moi.
Je prenais mes chaussures dans une main et commençais à avancer en le hâtant.
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Sujet: Re: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Jeu 30 Juin - 13:00
Antigone & Marcus
La demoiselle me demanda la raison pour laquele je me trouvait ici, si je séchait comme elle ou non, je lui répondit que je n'avais pas cour et lui retourna par la suite la question. La jeune fille me répondit en affichant unpetit sourire, celui que j'aimais tant « Disons que je ne pouvais plus respirer dans cette salle remplie de cadavre. Beurk ! Tu verrais c’est immonde, je me demande pourquoi je fais médecine. Et tu verrais les autres, ils sont là genre en grande admiration devant des corps en pleine décomposition à toujours jouer les lèches-culs. J’en avais marre de ça, j’avais besoin d’un petit break donc je suis partie. Et oui je dois avouer que l’appel du soleil y est aussi pour quelque chose » à ses paroles je me mis à rigoler, elle me faisais rire sasn arrêt, la façon dont elle avait de me raconter tout ça c'était adorable, je fondais littéralement dès qu'elle ouvrait la bouche, c'était totalement ridicule, c'était surement l'amour. C'est alors que je vins déposer un doux baiser sur sa joue sans vraiment savoir pourquoi, ma fois, c'était fait t a quoi bon retourner en arrière, ce n'était qu'un baiser. Puis la demoiselle plongea ses yeux dans les miens et approcha son visage du mien, je fis de même et alors que nos lèvres s'éffleuraient, prête à donner un doux baiser, Antigone recula et se releva d'un coup sans que je ne comprenne quoi que ce soit.
Je me relevais alors à mon tour, me trouvant en face d'elle. Elle me lanca « Tu ne trouves pas qu’il y a un peu trop de monde ici ? Je connais un endroit pas loin un peu mieux et moins bondé. Allez viens suis-moi. » elle attrapa ses chaussures et comença à marcher. Tel un idiot je la suivai sans poser de questions, j'étais prêt à tout pour passer le plus de temps possible en sa compagnie. Alors que nous marchions je m'approchais d'elle et lui pris la main pour qu'elle s'arrête un peu. Je me is en face d'elle et l'embrassa avant même quelle n'ai eu le temps de dire quoi que ce soit. Je me reculais par la suite et lui lança un peu gêné de ce geste impulsif « hmm bon, on continue de marcher» je lui tourna le dos et me remis à marcher les mains dans les poches comme si de rien était. Elle savait très bien la nature de mes sentiments envers elle, elle savait très bien que les cartes étaient dans son jeu et qu'il ne sagissait que d'elle pour que quoi que ce soit se passe entre nous.
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Sujet: Re: hannigan&pickleburry ○ you're my everything so please don't walk away Ven 1 Juil - 0:02
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« LE CŒUR A SES RAISONS QUE LA RAISON IGNORE »
La présence de Marcus me donnait toujours l’envie d’être un moulin à parole, je débitais à une vitesse surprenante toute ma vie et ce sans même m’en rendre compte. Lui se contentait de m’écouter avec un sourire et un regard qui me mettait mal à l’aise. Cette façon de me regarder comme si j’étais la chose la plus précieuse, qu’il voulait garder chaque souvenir en sa mémoire. Le fait de savoir ses sentiments n’arrangeait rien. Je ne savais comment réagir par rapport à ça. J’étais sans cesse nerveuse à ses côtés. Je veillais à chaque fois de garder les barrières de mon cœur très hautes de sorte qu’il ne voit aucun de mes sentiments. Jusqu’à ce qu’il vienne m’embrasser sur la joue, au lieu de me reculer comme j’en avais l’habitude, je restais tétanisée, j’approchais mes lèvres des siennes, plongeant mon regard dans le sien et en quelque secondes, j’avais l’impression qu’il lisait en moi. Mais au moment où nos lèvres s’effleurèrent, j’eu un mouvement de recul et me levait d’un coup, laissant Marcus planté là. Je décidais de changer de conversation et lui disait que nous allions aller ailleurs. Je commençais déjà à avancer en le hâtant de me suivre. En tournant la tête, je vis qu’il était derrière moi, je continuais mon chemin sur le sable.
C’est alors que je sentis quelqu’un s’emparer de ma main, des picotements parcouraient ma peau au contact de celle de Marcus. Il m’empêchait d’avancer plus et se planta devant moi et soudain, sans crier gare, il me vola un baiser. Alors je fondais, lui rendant son baiser. Je détestais qu’il m’embrasse, parce qu’à ce moment, mes barrières tombaient. Mon cœur s’emballait, mes jambes tremblaient et menaçait de me faire tomber, je me sentais bien. Ses baisers me faisaient l’effet de feu d’artifices. Alors il se détacha de moi et continua la route l’air de rien. Je restais plantée là, sans rien faire, complètement perturbée. Et d’un coup, je respirais et repassais devant lui sans rien lui dire, j’étais incapable de le faire. Je sentais encore la pression de ses lèvres sur les miennes et j’avais comme des fourmis à cet endroit-là, comme si mes lèvres réclamaient un autre baiser.
Nous arrivâmes au sommet d’une crique au bout de cinq minutes, je commençais à prendre un minuscule chemin qui déboucha sur une petite plage. Alors, lorsque Marcus arrivait à son tour, je me tournais vers lui et soufflais.
Tu ne peux pas, m’embrasser comme ça Marcus …
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