MES ENFANTS ET LEURS FAMILLE ET MOI

Il y avait quelques semaines j'avais découvert que j'avais une tumeur et je ne voulais le dire a personne et encore moins a mes enfants mais il le fallais bien. Si par malheur je leurs cachais et qu'ils le decouvriraient par hazart ils m'en aurait surement voulu. Mais moi je ne voulais pas leurs dire d'un coté voulant pas les inquiéter. Mais Raphaël et le medecin m'a conseiller de le faire alors j'avais pas le choix. Mais si par malheurs j'ai leurs pitier ou qu'ils s'inquietent pour moi au lieu de vivre je m'en voudrait toute ma vie. Enfin bref j'avais inviter toute la tribu pur un repas de famille et pour l'instant je savait que seul Oct et gabe ainsi que Lexie venaient. Enfin bref je fait le grand ménage chez moi et prépara une spécialité mexicaine le pollo pibil (poulet) avec son riz. Pour cela il fallait ◦2 feuillesaluminiun ◦6 cuisses de poulet ◦1 branche d'epazote ◦1 oignon ◦2 tomates
◦Pour la marinade:
◦100g de roucou ou achiote ◦9 clous de girofle ◦2 cuill à café de poivre ◦2 cuill à café de cannelle ◦2 cuill à café de noix de muscade ◦2 cuill à café de cumin en graine ◦5 feuilles de laurier
◦4 cuill à café d'origan ◦3 cuill à café d'ail haché
◦250ml d'oranges amères.
Une fois le repas pres je m'installa quelque minutes dans le canapés et regarda l'horloge marcher doucement. Les secondes me parraissais des heures actuellement a la fois hate de leurs dire la vérité et a la fois ayant peur de leurs réactions. puis voyant approcher 20h j'alluma la lumiere de dehort et alluma des bougies sur la table et mit une musique douce d'ambiance. Je voulais que se soit parfait meme si a la fois ça allais etre la catastrophe....

J'appréhendais ce repas pour plusieurs raison. La première était bien évidemment que je m'étais imaginer le pire en sachant que la maman d'October avait une nouvelle à annoncer à ses enfants. La seconde était qu'à une époque, ça avait été plutôt tendu entre la dite maman et moi. Il faut dire que j'avais pas été exemplaire. J'avais fait du mal à sa fille. La vie ne m'ayant pas épargné en prenant la vie de mon frère, en me mettant à charge une petite fille et en m'ôtant ma petite amie. Je lui en avait voulu. Énormément. Je l'avais détesté de m'avoir abandonné au seul moment où j'avais eu le plus besoin d'elle. J'aurais aimé qu'elle reste, qu'elle me dise qu'à deux on serait plus fort, qu'elle m'aimait, quoi qu'il arrive, que l'arrivée d'un bébé dans ma vie ne changerait rien. Mais ce ne fut pas le cas. Elle m'avait quitté. Et moi j'avais complètement perdu les pédales. J'étais retombé dans la drogue, l'alcool, le sexe et je m'étais perdu.
Et puis il y avait eu ce dur retour à la réalité, après une soirée de débauche sans précèdent. Parce que c'était elle, et personne d'autre, parce que je l'aimais, et que je l'aimerais toujours. J'aurais beau essayer de l'oublier, ce serait toujours elle, la femme de ma vie, celle qui déjà adolescent s'était emparé de mon cœur, avait emprisonné le loup qui vivait en moi. Et je l'avais retrouvé. Pendant le voyage à Madagascar, délaissant tout le monde, pour la reconquérir. J'étais conscient d'avoir été absent pour les autres, mais je devais retrouver October et lui prouver mon amour. J'avais tellement déconné.

Nous étions maintenant de nouveau ensemble, nous vivions ensemble, avec la petite Lexie et Téquila le chien fou et inutile de préciser que les repas de famille me terrifié, surtout lorsque l'on connait les relations entre Hannigan et leur caractères tous plus fort les uns que les autres, toujours à s'affronter plutôt que d'avouer qu'ils s'aiment profondément. C'est épuisant parfois.
Je n'avais pas eu à convaincre October de venir, c'était important pour elle aussi la famille dans le fond, même si elle avait grand mal à l'avouer. Nous arrivâmes à l'heure précise à la villa.
Je sortis de la voiture et pris la petite Lexie dans mes bras avant de fermer la voiture quand Oct et Téquila en furent sortis et de me diriger vers la villa. Les lumière étaient toutes allumées à l'extérieur et nous pouvions voir des bougies à l'intérieur. Je souris. L'ambiance semblait vraiment parfaite.

On sonna à la porte et attendîmes que Kate vienne nous ouvrir. Je déposais alors un baiser sur le front de Lexie puis un sur les lèvres d'October en passant mon bras derrière ses épaules, comme si elle avait besoin d'être rassurée. Ma main se logea dans sa nuque en caresse en attendant d'être accueillis.
Kate n'avait jamais rencontré Lexie et c'était le parfait moment pour lui présenter sa première petite fille. Bien entendu Lexie ne serait jamais ma fille directement, Mathy resterait son père génétique, mais la petite aurait besoin d'une famille, une vraie, et je me sentais comme son père, prêt à tout pour elle, ma chair, mon sang.

il était 20h pile est la sonette retentit. je souria heureuse de savoir que l'un de mes enfants avait accepter surtout october avec qui maintenant notre relation était tendu pourtant je l'aimais énormement.Je me dirigea vers la porte d'entrée d'un pat posé et décidé. Je ne savais pas qui était la derrière entrain d'attendre que je vienne ouvrir mais a coup sure j'allais être heureuse. Ces moments famillial était devenu presque rare a cause de les relations qui s'était creer avec le temps. Mais le temps passait trop vite et je le savais parfaitement bien. Il fallait apprécier tout les heureux moments dans une vie etne rien regretter. Pourtant cette soirée allais s'annonçais avec plein de rebondissement. En effet moi avec judie, october et Gabe avait était assez tendu voir très méchant avec des propos injurieux. Surtout moi et Gabriel. Je l'avais insulter et il m'avait insulter mais par amour d'october on allait surement enterrer la hache de guerre enfin c'etait mon bout a moi même avec judie.....Enfin bref il faisait froid dehors alors j'ouvrit la porte et vis au premier abord ma cherie October. Mon visage s'éclairssit puis elle était accompagner de l'élu de son coeur. Elle était venu avec Gabe Je regarda gabe et lui fit de la terre en signe de rermerciemet d'être venu malgres tout. Puis dans ses bras, une manifique puce. Je resta bouche bée par sa beauté et son innoscience. C'etait surement lexie la fille du frere de gabe décédé dans un incendie. Je me poussa de devant pour les faire entrain avec le chien qui m'aboyais dessus. J'avais pas peur des chiens mais bon c'etait la premiere fois qu'on m'aboyais dessus. Surment qu'il ressentais la tention qu'il y avait eu avec gabe. Un chien sent tout. C'est pour cela que c'est le meilleur compagnion de l'homme.Une fois la petite famille entrée je ferma la porte d'entrée derriere eux et je les embrassa.

ça me fais plaisir de vous voir vous deux enfin 4.....October merci d'être venue et Gabe aussi. C'est tellement rare ces moments maintenant.....vous me présenter la petite derniere ?

J'avais envie de la prende ainsi que serrez dans les bras ma fille mais on était pas très tactile dans la famille surtout maintenant.

Les repas de famille on va dire que ca n’a jamais était trop mon truc. A chaque fois c’était la même chose. Je ne ratais jamais l’une de ces occasions pour me disputer avec ma mère, puis ensuite mon frère parce qu’il l’a défendais comme à sa grande habitude, ce qui avait vraiment le don de m’agacer. Il était toujours derrière elle et c’est comme si elle avait toujours raison quoi qu’elle puisse dire et que moi bien sûr j’avais tord. Je vous jure ca m’énervé. C’est pour ca que depuis que je ne vivais plus dans la demeure Hannigan j’évitais comme je le pouvais tout ces repas qu’on avait coutume de faire. En plus, après l’histoire des lettres cachés que mon père avait envoyé, je ne parlais plus trop à ma mère même si on s’était un peu réconcilié, et puis pour certaines raisons, cela faisait vraiment longtemps que je n’avais pas reparlé à mon frère. A Jude oui, mais lui non. Voilà en partie pourquoi je n’avais pas envie d’aller à ce diner que ma mère avait organisé. Mais apparemment, elle devait nous annoncé une nouvelle qu’elle ne pouvait pas nous dire autrement qu’en face. Etant intriguée et surtout commençant à penser au pire, je m’étais quand même résous à y allée, et puis je n’avais pas tellement le choix vu que Gabe m’y aurait emmené de force si j’avais refusée.

La patience et moi ca faisait deux et je me demandais vraiment ce qu’elle comptait nous annoncé. Je savais qu’en se moment elle sortait avec un petit jeune mais bon je ne pense pas qu’elle nous aurait fait venir juste pour nous dire qu’elle le quitter. J’en savais rien, je pensais à tout et à n’importe quoi et ca m’énervé. D’un côté et même s’il n’en était pas obligé, ca me faisait plaisir que Gabe vienne avec moi et puis c’était sûrement en présence d’inviter que la soirée ne tournerai pas mal. Et d’une certaine façon ca officialisé un peu plus les choses entre nous, comme quoi était à nouveau ensemble. Bon bien sûr maintenant il y avait une nouveauté dans notre vie, Lexie et du coup on n’était plus deux mais trois, enfin quatre si on compte Téquila. Mais bref, depuis Madagascar nos vies avaient changées et ce n’était pas si mal en fin de compte.

Les vingt-heures arrivées, on se trouvait devant la porte en attendant qu’elle vienne nous ouvrir. Il tenait la petite dans ses bras et moi je tenais le chien en laisse. Je souriais à ses gestes en me resserrant un peu plus contre lui en me disant que cette soirée n’allait pas durée une éternité et qu’elle passerait surement assez vite pour que l’on en reparle plus. Lorsque ma mère ouvrit enfin la porte, un léger sourire ce dessina sur mes lèvres par simple politesse. « Bonsoir maman. » Après quelques secondes, elle nous fit entrée à l’intérieur. Apparemment on était les premiers arrivés n’entendant personne parler dans la pièce d’à côté. Elle commença alors à nous dire que ca lui faisait plaisir qu’on soit là ce soir, puis demanda à être présentée à Lexie. Gabe lui tendit la petite pour qu’elle l’a prenne dans ses bras. « Ben voilà Lexie. » Je souris légèrement puis regarda autour de moi. « Ben dis donc t’as fait fort pour ce soir. » Même si d’un côté ca partait d’une bonne intention elle allée surement le prendre comme une critique, mais bon tant pis. « Ils viennent alors les autres ? »

C'était les premiers mais c'était surement les personnes ou j'etait le plus contente de voir. En effet avec les deux c'était très tendu et si cette soirée aurais un coté positif c'etait bien nous rapprocher encore plus. Ma cherie me présente Lexie et gabe me la tendit. je souria toucher et la prit avec précotion dans les bras puis la berssa douceument completement subjugué par ces être si innonçant et qui a besoin de tout l'amour possible. Puis Oct me fit une remarque sur l'ambiance. Je ne savais pas exactement ce que c'etait si c'etait un compliment ou si c'etait une critique alors je préféra ne pas relever et lui dire juste merci. Peux etre que c'etait une bonne intention cette fois ci.

Merci mais c'est pas grand chose....c'est juste une musique d'ambiance et des bougie parfumante.

Puis mon attention se reporta sur l'étage ou Antigone se préparais encore pour être la plus belle. Même en famille elle voulais être a son avantage. C'était une belle jeune fille est elle le savait. Enfin j'avais eu de la chance car tout mes enfants étaient beau. Pit je regarda de nouveau Oct avec un sourir amusé puis Gabe.

Tu l'as connait. Elle met des heures a ce ponponner pour être la plus belle. On ne vas pas la changer maintenant. Et jude et Stevens bah ils ont eu une panne d'essence donc ils vont arriver en retard mais si cela se trouve ils se font des calins.

C'était peux être mal placé mais loin d'être méchant au contraire j'était comme ça. Parler des choses comme cela ne me dérangais pas du tout au contraire tant que mes enfants était heureux. Puis la puce commence a faire des areu. Je souria bétement.

October et Gabe merci de me faire en quelque sorte grand mère.....Oct tu feras une merveilleuse maman et gabe.....un papa fabuleux. Une mman le ressent juste en vous regardant le regarder. Bon allez vous installer sur le canapé en attendant que je vais chercher l'apéro et en attendant les autres.

Je souria et tendit Lexie a Gabe puis me retira pour préparer des cocktail maison. C'était du travail les repas de famille mais pour moi et surtout comme j'avais été élever les repas de famille se faisait de A à Z par la mère de famille et devais remplir tout les ventre attablé même ceux des chiens et animaux de compagnie. Heureusement il me restais un gigot d'agneau non terminer. Pour téquila c'etait bien bon surement. Alors je revena quelque minutes avec un plateau de cocktail et d'amuse bouche fait maison puis repartit et revena quelque minutes avec de l'eau pour Tequila et le gigot d'agneau.

Depuis mon retour de Madagascar, je n’avais pas vraiment eu de temps pour me poser tranquillement avec Steven. Enfin depuis Mercredi après midi j’étais en repos, car je commencer à travailler de nuit, ce qui veut dire, que j’aurais encore moins le temps de voir Steven. Mais bon, les horaires de nuit paye beaucoup mieux que les horaires de jours et on avait besoin d’argent, surtout que l’on devait préparer l’arrivé de notre futur enfant. Je savais très bien que je ne pourrais pas travailler jusqu’à la fin du terme de ma grossesse, ma cadre de santé était déjà au courant de cette grossesse, ainsi que l’équipe, d’ailleurs ceci me ménagé beaucoup. Je leurs dis souvent que je suis seulement enceinte et pas en sucre. Mais bon Nicolas, me dis souvent qu’on psychiatrie vaut mieux rester vigilants avec les comportements tellement imprévisible des patients et en quelques sort il avait raison. Mon métier était une véritable passion, j’aimais discuter avec les patients pour essayer de cerner leurs maladies, les signes avant coureur d’un état de crise, ou même beaucoup d’autres choses. Ce soir, j’avais décidé de rester dans notre appartements, j’avais l’intension de lui préparé un petit dîner, et de regarder la télévision ou même voir pour bosser un peu sur la chambre de notre enfant. On était entrain de regarder une de ces émissions stupide qu’il passe à ces horaires. J’envoyais des messages à ma mère, pour la conseiller sur certaine choses. Ma mère et moi, étions très proches en ce moment, et encore heureux qu’elle soit là, car je ne sais pas vraiment comment j’allais mon sortir sur beaucoup de chose sans elle. Steven était entrain de parler à quelqu’un depuis son portable, je ne savais pas qui pouvais l’appeler à cet heure mais bon, je sens bien que ca ne va pas me plaire. Il vient me chercher pour m’annoncer que mon frère nous attendait chez sa mère, puis bon, je ne vais pas refuser d’y aller, car c’est tout de même la mère de Steven. Mais voilà je n’avais vraiment pas envie d’aller la voir, surtout qu’elle m’avait fais beaucoup de réflexions dès le jour ou je m’étais fiancé avec son fils… Pourtant je l’apprécier vraiment avant, mais depuis qu’elle avait insinué que je gâcherais la vie de son fils, les bon souvenirs était partit à la poubelle. Je ne préférais pas répondre à Steven, je parti me préparé, en cherchant des habilles qui cache ma petite bosse qui ce développer de jours en jours. Je n’avais pas envie qu’elle ce dispute avec Steven, parce que j’étais enceinte. Lorsque l’on parti en direction de chez sa mère, je commençais déjà à appréhendais la soirée, je regarda Steven, qui conduisais tranquillement
.
« Tu es sur que je dois venir avec toi ? Car je ne veux pas dire, mais ta mère ne m’apprécie pas tellement que ca… »

Arrivé devant sa maison, je vis la voiture de mon frère, on était les derniers et je préférais ne pas être la à ce moment même d’ailleurs. Je ne savais pas si Lexie était avec eux ou pas, puis la petite sa fessaient un bon moment que je ne l’avais pas revue… Elle me manquait me bon, je devais faire avec. Steven sonna à la porte, je serra sa main ne voulons plus la quitter et me colla doucement contre lui et lui murmura :

« Je vais bien voir, mais ne me demande pas de faire comme si de rien c’était passé. Moi aussi je t’aime Steven Hannigan »

Je déposa un baiser sur sa joue.

15 minutes plus tard on sonna de nouveau a la porte c'etait surement stevens et judie. J'avais été une vrai peste avec elle a un moment donner mais apres j'essayaie de faire des effort mais du jour au lendemain je venais d'apprendre qu'ils etaient fiancé et Stevens m'en avait pas parler avant. Ce qui a causer ma méchanter envers elle en effet c'etait que stevens ne m'en avais pas parler. Et que je l'avais découvert par hazart. Mais maintenant j'était bien décider de faire la paix et de la retrouver malgres tout mais a une seule condition. Que stevens ne me cache plus rien les concernant mais bon c'etait surement trop demander. Je m'escusa aupres de oct et de gabe puis partit ouvrir au deux tourtereau. je leurs souria simplement en les regardant. Judie ne voulais pas être la actuellement et ça se voyais. Alors a quoi faire durer le suspence. Je les fit entrée simplement et les invita a rejoindre les autre sur le canapé pour boire l'apéro fait maison mais judie preferas juste de l'eau ou du jus de fruit. Elle me cacahait surement encore quelque chose avec Stevens mais bon j'avais pas envie de me prendre encore la tête maintenant alors je partuit lui chercher un jus de fruit et lui serva.

Merci d'etre venu tout les 5 avec lexie biensur je la compte dedans. Et je suppose que ce repas de famille est surement apréhender par tout le monde je ne vais pas y aller par 4 chemin comme cela vous pourrez repartir le plus vite possible si vous voulez. Judie tu es bien placé pour savoir que la medecine a fait des progres. Et justement heureusement pour moi, j'ai une chance de vaincre ma tumeur avec la chimio. Désolé de vous l'annoncer aussi brutalement mais sinon je me serais dégonfler.

La journée avait été dure pour moi, j’avais été obligée de suivre toute la journée un titulaire qui nous prenais pour des incapables. Je n’en étais que trop énervée. A peine avais-je cité les problèmes du patient que le médecin m’avait dardé d’un regard noir en me lançant un « c’est bien, au moins vous savez lire ». Combien de fois aurais-je voulu lui assener un bon coup de poing dans la figure, mais le règlement m’en interdisait malheureusement. En rentrant, j’en avais presque oublié le fameux repas où ma mère était censée nous annoncer quelque chose. Quelque semaine plus tôt, ma mère nous avait annoncé, à October, Stevens et moi-même qu’elle sortait avec quelqu’un. Cela ne me dérangeait en aucun point tant qu’elle était heureuse et qu’elle oubliait le passé mais ce qui était dérangeant était que son fameux « copain » avait à peu près mon âge et imaginer la possibilité qu’il devienne mon beau-père me terrifiait. Néanmoins je ne voulais pas l’empêcher de refaire sa vie après tout ce qui lui était arrivé il y a quelque année.

En rentrant, je la découvrais en pleine préparation du repas, je l’embrassais avant de monter dans ma chambre afin de me reposer un moment. A peine avais-je fermé la porte, je me jetais sur mon lit, ne désirant qu’une chose : dormir, en jetant un œil à mon réveil, je pouvais découvrir qu’il me restait trois bonnes heures avant que les autres n’arrivent. Mais alors que je commençais à fermer les yeux, le vibreur de mon portable me fit sursauter. Soupirant, je m’en emparais pour voir qui était l’imbécile qui osait m’envoyer un message alors que je désirais dormir. C’était un message de Marcus

Code:

Je sais que tu as finis la journée, je passe te voir dans cinq minutes.

alors que je commençais à pianoter sur mon téléphone pour lui dire de ne pas venir, un cailloux vint frapper la fenêtre du balcon, je me levais en découvrant en bas Marcus. Je lui dis de passer par l’entrée en se faisant discret pour que ma mère ne le voie pas. Cinq minutes après il était là. Je soupirais Qu’est-ce que tu fou la Pickleburry ? Ecoute aujourd’hui je suis pas d’humeur, juste crevée., il me rétorquait qu’il n’était là que pour me voir. Alors pendant deux heures, nous nous étions mis à parler doucement, nous raconter notre journée. Je n’ai pas vu le temps passé jusqu’à ce que j’entende les bruits de conversation en bas. Je poussais un juron, je n’étais même pas préparée. Laissant Marcus en plan, je me suis ruée dans la salle de bain enfilant un jean et une tunique propre, me maquillant en quatrième vitesse et démêlant mes cheveux. Alors je retournais dans la chambre, il était toujours là, tout sourire. Je lui disais qu’il fallait qu’il parle, Pourquoi ? m’a-t-il rétorqué Je pourrais resté, ta famille serait peut-être contente de nous voir ensemble, comme un couple. Dieu se qu’il m’énervait dans ces cas là. On est pas ensemble Marcus, voilà pourquoi.

Je l’ai poussé hors de la chambre, l’ait fait discrètement sortir par la porte de derrière et suit partie dans la salle à manger. Tout le monde était déjà là et affichait des têtes d’enterrement, je les regardais, étonnée, essayant de faire un peu d’humour j’ai lancé.

Bah alors tout le monde, on dirait qu’on vous à annoncé que quelqu’un était mort.

Une fois à l’intérieur je n’avais envie que d’une seule chose, c'est-à-dire partir. Je n’aimais pas du tout ces moment là ou l’on se retrouver tous parce qu’à chaque fois il était obligé qu’il y ait une dispute, et bien entendu j’y étais toujours impliquée comme si c’était moi qui cherché les ennuis. En plus de ca, cela faisait un moment que j’évitais et ne parlais plus à mon frère, alors autant dire que les retrouvailles ne seraient pas forcément chaleureuses. Enfin bon apparemment c’était important pour que ma mère nous réunisse tous, donc j’attendais de savoir ce qu’elle avait à nous dire. Je savais qu’elle sortait avec un jeune d’à peu près mon âge je crois, alors je craignais le pire en nous disant qu’elle s’était mariée à Vegas avec lui, ou encore pire que ca, qu’elle soit enceinte. Un nouvel enfant dans la famille, je n’en avais pas vraiment envie, je crois que nous trois ca suffit largement. Et puis même avec la différence d’âge ca ferait trop bizarre par rapport à nous. Mais bref, j’espérais juste que ca ne soit pas ca.

On se trouvait dans le salon lorsque la sonnerie ce fit retentir une seconde fois. C’était à présent Steven et Jude qui faisaient part de leurs présences et maintenant il ne manquait plus qu’Antigone pour que la famille soit réunie au complet. Ne manquant jamais de faire les choses à moitié, ma mère commença à nous servir nos verres, pendant que nous saluons les arrivants. Je pris Jude dans mes bras contente de la revoir mais salua simplement Steven. D’un côté ca me faisait mal d’être comme ca avec lui parce que bon c’est mon frère, mais entre nous ca a toujours était ainsi et malheureusement je ne pensais pas que ca pourrait changer. Autant on s’aimait qu’on se détestait, et ca depuis tout petit. Avec Antigone c’était différent.

On était donc tous assit dans le salon autour de la table basse attendant ma petite sœur. Enfin non, ma mère ne prit pas la peine de l’attendre qu’elle s’élança à nous faire son discours et part de ce qu’elle avait à nous dire d’important. Un flot de paroles jaillit de sa bouche et c’est comme si nous devions encaisser tout d’un coup jusqu’à ce qu’elle finisse de parler. Après sa dernière phrase un grand silence fit place dans la pièce, digérant sa nouvelle chacun à notre manière. C’est alors qu’Antigone apparut, lançant une réflexion justement appropriée pour l’occasion. « Bah alors tout le monde, on dirait qu’on vous à annoncé que quelqu’un était mort. » Elle nous regardé en ne comprenant pas ce qu’il se passé. Je regardais ma mère encore sous le choque de son annonce. « Et je suppose que ca fait un moment que tu es au courant ? » Je me levais d’un air dépité par son annonce qui avait fait l’effet d’une bombe chez moi. « Comment tu peux nous balancer que tu as une tumeur comme si ce n’était pas grave, comme s’il s’agissait juste d’une petite maladie et que tout ira bien ?! » Je soupirais, le regard noir avant de sortir dans le jardin. Je n’avais pas vraiment envie de rester dans cette pièce qui devenait de plus en plus étouffante. Je m’assis sur les marches de la terrasse qui donnée sur le jardin. Je ne savais même pas si je devais partir direct ou non. En tout cas j’ai été la première à mal réagir sur le coup, et je ne savais pas la réaction de mon frère et ma sœur, étant tout les deux encore à l’intérieur. Étant impulsive, je regrettais à présent d’avoir réagit aussi brusquement, mais ca a été plus fort que moi. J’avais les larmes aux yeux, ayant encore un peu de mal à réaliser qu’elle était malade, qu’elle avait un cancer et qu’elle prenait les choses plutôt positivement.

Nous étions arrivés les premiers mais furent bientôt rejoins par ma sœur et Steven que je saluais alors. Antigone fit une entrée fracassante comme à son habitude et une fois la petite famille réunie au complet, on s'assit tous dans le salon. Kate servit l'apéritif à chacun. Et la fameuse nouvelle qu'elle était censé nous annoncer, ne se fit pas attendre d'avantage. Elle fit l'effet d'une bombe sur l'ambiance. Un froid palpable s'empara de la pièce. Antigone venait d'en rajouter une couche, ayant manqué l'annonce. Je m'étais imaginé pas mal de truc et je dois dire que cette idée m'avait traversé l'esprit, celle qu'elle soit malade. Je n'étais donc pas si surpris que cela et ma première réaction fut de me tourner vers October pour voir son expression.
Je ne fus pas décu du voyage. Son regard était noir et son teint livide. Les paroles qui sortirent de sa bouche par la suite confirmèrent mes craintes, elle était en colère, triste et complètement apeurée même si pour le moment c'était la colère qui l'emportait.

Je n'eus pas le temps de me saisir de sa main pour la rassurer. Elle venait de se lever et s'était éclipser à toute vitesse en sortant de la maison. Je restais paralysé sur place, ne sachant trop si je devais la suivre ou rester ici. J'avais l'impression qu'elle ne voulait pas de mon aide, sinon elle se serait tourné vers moi. Avait-elle besoin d'être seule ? Je n'en savais plus rien.
Steven prit à son tour la parole et comme October plus tôt, quitta la maison, rejoignant sa sœur à l'extérieur.
Sentant la pesanteur de l'ambiance, je baissais la tête. Je ne savais pas quoi dire, c'était si étrange de se retrouver dans de telle situation. Ca ne devait pas être évident pour Kate et j'étais surement l'un des rares à m'en rendre compte mais c'était justement parce que je n'étais pas son fils. J'avais donc un recul suffisant pour me rendre compte de tout cela. Oct' et Steven eux étaient en colère et s'était légitime même si bientôt surement, ils se rendraient compte que si le temps devait être compté, alors il ne fallait pas en perdre.

Je finis par me lever et après m'être assurer que Lexie était bien tranquillement posée dans son siège bébé, je partis pour les rejoindre dehors. En passant je posais ma main sur l'épaule de Kate, une main qui se voulait rassurante. Je sortis à mon tour et vis Oct' et Steven sur les marches, discutant.
J'hésitais à avancer puis me décidais et descendis les marches de façon à me mettre face à eux. Je regardais Oct'.

« Tu as besoin de moi ? » Fis-je simplement.

Voila, je leurs avait dit d'une traite. Et comme je m'en douais, ils m'en voulaient encoe pour cela. J'avais attendu pour leur dire plus ou moins. J'avais attendu surtout d'etre prète a leurs dire et a subir leurs foudre. Un silence s'installa génant et Antigone arriva a se moment en disant une phrase qui était très génante. Elle était pas la pour l'annonce car c'etait surtout d'elle que j'avais peur la reaction. October prit la parle et partit de la maison pour le jardin. Puis elle fut rejoinds par Stevens tout les deux en colère. Je comprenais c'était pas évidant pour eux ainsi que pour moi mais j'aurais peut etre du rien dire. En peu de temps ils devaient encaisser pas mal de chose alors c'etait légitime. Latmosphère pensante se fesait ressentir et aucun son ne sortait de ma bouche puis pour l'instant j'avais pas envie de dire quelque chose de plus pour les laisser encaisser la chose. Gabriel, se leva une fois sur que lexie était tranquille puis posa une main réconfortante sur mon épaule avant de partir a l'extérieur voir october et Stevens. Il était présent en quelque sorte pour moi et se doutais surement que ça ne devais pas être facile pour moi vu qu'il était en quelque sorte un étranger. Oui ce n'tait pas mon fils, étranger dans ce sens biensur. Je soupira puis me leva et m'avanssa vers Antigone qui a la sortit devais comprendre que j'avais une tumeur après les propos de son frère et sa soeur. Me tenant face a elle j'ésita un moment avan de lui dire d'un ton calme pour éviter d'empirer les choses car de toute façon la soirée était gacher mais si j'éttendais j'allais surement me dégonfler.

Alors voila antigone. Je pense que les propos de Stevens et de October, t'a fait comprendre l'annonce que j'avais a faire. J'ai une tumeur. Elle me fais peur. Mais je suis forte et on est fort tout les 4 pour vaincre cette saleté. Maintenant tu as le drois de m'en vouloir d'avoir attendu pour vous l'annoncer. Mais j'ai attendu d'être prète pour vous en parler...

Sur le moment, un poids sur mes épaules avait disparu mais pas pour longtemps en voyant le visage de Antigone et connaissant la reaction de Stevens et Oct. J'avais envie de fuire.

Me voilà assise sur les marches ne sachant plus trop quoi faire, ni comment réagir. Je lui en voulais de nous avoir balancé ca comme ca, comme si ce n’était rien d’important. A sa place je ne sais pas comment j’aurais pu exactement traiter la chose, mais je ne sais pas si je l’aurais fait si brutalement. Etant impulsive j’avais toujours tendance à réagir de manière excessive, mais je ne sais pas, je n’arrivais pas à accepter la chose et faire comme si de rien n’était. Malgré que j’ai toujours été en conflit avec ma mère, ce n’est pas pour ca que je ne l’aimais pas, même si j’avais jamais prit le temps de le lui dire entre toutes nos disputes, mais c’était comme ca, il n’y avait rien à y dire de plus. J’ai toujours été vu comme la méchante de la famille, celle qui en faisait trop, ou pas assez justement. Je n’avais aucun mal à jouer ce rôle parce que dans un sens c’est moi qui m’étais fait ainsi. Mais c’est comme si après cette annonce c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase, et je n’arrivais plus à me montrer comme a mon habitude, forte sous cette carapace qui me protégée depuis des années. Je commençais à vraiment craquer..

Alors que j’étais dans mes pensées, mon frère arriva derrière moi et s’assit à mes côtés. Du coup, ayant pris la fuite je ne savais pas ce qu’il avait bien pu se passer à l’intérieur. Je m’en voulais de ne pas être resté et avoir était la pour la réaction de ma sœur et mon frère. Quoi que la colère montée tellement en moi qu’il valait mieux que je m’isole dans mon coin. Je jetais un rapide coup d’œil vers lui lorsqu’il s’assit, et je vis qu’il n’allait pas bien face à l’expression de son visage. Je détournais mon regard et soupirais un bon coup pour ne pas craquer devant lui. Je regardais en face de moi puis reposais mes yeux sur lui lorsqu’il se mit a enfin prendre la parole pour briser ce silence. « Comment tu vas ? T'arrive à encaisser parce que moi non .. » Je passais en vitesse une mèche qui me gêner derrière mon oreille pour mieux le regarder à présent. « Je t’assure, je n’y arrive pas non plus.. » Je soupirais une nouvelle fois. « Je ne comprends pas comment elle a fait pour ne pas nous le dire plus tôt.. Je sais que c’est dur à dire, mais on s’attarde pas sur des choses comme ca, surtout envers sa famille.. »

Je continuais à parler avec Steven jusqu’à ce que Gabe arrive devant nous. J’étais partie comme ca sans penser que derrière, lui et Jude était là et que pour eux ca devait être gênant de regarder notre scène familiale. Je relevais la tête vers lui, et il me demandait simplement si j’avais besoin de lui. Je crois que la question ne se posée même pas.. Je me levais alors, et filais directement dans ses bras. Je me blottissais contre lui et enfouit mon visage dans son cou avant de ne me mettre à déverser des larmes. Ca y est, je venais de craquer et je ne sais pas si j’allais réussir à me calmer. Je relevais quelques instants plus tard mes yeux sur lui et essuyais mes larmes qui coulaient encore. « Je suis désolé.. » Je levais les yeux au ciel pour m’arrêter de pleurer, puis reposais mon regard sur Gabe. « Ca te dérange si on passe la nuit ici ?. » Ce soir je n’avais pas envie de quitter ma famille, même si ca n’a jamais été rose entre nous. Mais je voulais tout simplement être présente, qu’au moins ils sachent que j’étais là.

J'avais eu beau penser au pire, je n'étais pas préparé à ce genre de scène. Peut-on réellement se préparer à ça de toute façon.. J'en doute. J'étais resté planté comme un con dans le salon, avec ma sœur, face à maman Hannigan qui devait être abattue même si elle ne le montrait pas et comme paralysé. J'avais été incapable de suivre October rapidement pour l'aider. Quel petit ami indigne... Mais j'étais pas habitué au réunion de famille. Tout avait été si différent chez moi.. Du moins pour moi puisque je n'avais pas eu de famille pendant 6 ans. Je n'étais plus habitué à ça. J'avais retrouvé Jude, perdu mon frère, viré mon père de chez moi à coups de poings dans la tronche et libéré ma mère du tyran qu'il était depuis des années. Ce genre de moments ne soude pas vraiment une famille déjà bien éclatée. Enfin bref.. Tout ça pour dire que c'était nouveau. Je finis par réagir et me levais pour rejoindre October. Je me doutais qu'elle n'était pas seule cependant, étant donné que son frère avait suivi la même route qu'elle en quittant le salon.
Je ne fus donc pas surpris de les voir ensemble et les entendant discuter j'hésitais à intervenir. Ils avaient peut-être besoin que les Fitzgerald s'en aille justement, pour se retrouver entre Hannigan et régler leur différent. Mais Oct était la femme que j'aimais le plus au monde, la femme de ma vie et je ne pouvais me résoudre à partir sans m'être assuré qu'elle n'avait pas besoin de moi.

Je m'étais mis un peu à l'écart, face à eux, pour leur laisser de l'air et laisser le choix à Oct. Je lui demandais simplement si elle avait besoin de moi. C'était la seule chose qui m'importais. Parce que je serais toujours là pour elle, quoi qu'il arrive. C'était mon petit bout de femme, ma jolie môme, mon idiote, ma lycéenne, ma mangeuse de bonbons et maltesers. Elle leva les yeux vers moi et sans discuter vint dans mes bras. Elle enfouit son visage et je l'enlaçais réconfortant. Je sentis ses larmes mouiller mon cou et elle était secouée de sanglots. Ca me faisait mal de la voir souffrir, c'était comme si c'était à moi qu'on faisait du mal. C'était terriblement douloureux. Je la serrais contre moi, passant ma main dans ses cheveux puis dans son cou et elle me fixa avec ses yeux baignés de larmes pour s'excuser de pleurer. Je fronçais les yeux et prit son petit visage dans mes mains.
« Tu n'as pas à te retenir avec moi jolie môme. Jamais. »
Je la pris de nouveau dans mes bras pour l'aider à se calmer. Elle voulais qu'on reste cette nuit pour rester avec sa mère et ses frères et sœurs. Comment pouvais-je refuser, c'était normal.

« Non ca ne me dérange pas, restons ici, ta mère a besoin de vous trois. Sois forte mon cœur, je suis là. » Lui répondis-je. Je prenais conscience que ça n'allait pas être facile. La situation s'annonçait grave et Oct, malgré les apparence, aimait sa mère plus que tout et ne tarderait pas à s'en rendre compte si le pire arrivait.

Je restais blotti dans ses bras en sanglotant. Je me demandais alors pourquoi il fallait qu’il y ait un malheur de plus qui nous tombe dessus comme si ca n’avait pas été suffisant jusque là. Je crois bien que je ne m’étais jamais senti aussi vulnérable qu’à cet instant. Je me sentais bizarre, comme un léger malaise de paraître ainsi parce que tout simplement ca ne me ressembler pas. D’habitude j’ignorais tout, faisant comme si de rien n’était, mais là c’était totalement différent. Et puis je me montrais comme ca devant lui alors que c’était vraiment rare, voir pratiquement jamais arrivé. Je sais pas, bon en même temps je n’ai jamais vraiment eut l’occasion jusqu’ici de lui montrer cette facette chez moi étant donné qu’il ne m’était pas arrivé une chose pareille avant, du moins concernant ma famille. Je me suis toujours montrée froide avec eux, mais bon la famille reste la famille, et ca me faisait mal au cœur. Alors heureusement que Gabe était là parce que sans lui je crois qu’à ce moment là j’aurais pété un câble. C’est surement nul à dire, mais pendant cette période il fut la pour moi et m’a permis d’avancer, ce que d’autres n’auront surement jamais réussit à faire avec moi. Oh ca non.

« Tu n'as pas à te retenir avec moi jolie môme. Jamais. » Cette phrase venant de lui me refit tout simplement re blottir dans ses bras en me mettant de nouveau à pleurer. Il n’y avait que contre lui que je réussissais à trouver ce réconfort, cette sécurité, cette affection et surtout le fait de savoir qu’il était là et qu’il ne partirait pas. Après quelques minutes je réussis à me calmer, toujours dans ses bras, dans le plus calme des silences. Lorsque je tournais légèrement la tête, je vis que Steven ne se trouvait plus sur les marches et donc j’en déduis qu’il devait être retourné à l’intérieur avec les autres, ou alors carrément partie. Je reposais alors mon regard sur mon petit ami, restant contre lui pour lui demander si ca ne le dérangé pas de rester ici pour cette nuit. « Non ca ne me dérange pas, restons ici, ta mère a besoin de vous trois. Sois forte mon cœur, je suis là. » « Merci, t’es un amour.. » Je posais mon front contre le sien avant de l’embrassais tendrement. Je me blottissais dans ses bras par la suite, lui murmurant à l’oreille « Je t’aime. »

Je replongeais mon regard à nouveau dans le sien puis lui pris la main. « Allée, on est repartie. » Je soufflais un bon coup avant que nous ne retournions dans la maison ou tous les autres membres de la famille se trouvaient encore dans le salon. Steven était auprès de Jude et Antigone sur le canapé, avec Lexie juste à côté qui commençait à s’endormir. Ma mère quand à elle était debout, les regardant tous les trois, puis nous voyant ensuite arriver. D’une pulsion, après mettre retrouvais en face d’elle, j’allais dans ses bras. Et la les larmes recommencèrent à coulées sur mes joues, comme si elles ne comptaient plus se stopper. « Je suis désolé de m'être emporté comme ca.. » Je m’écartais légèrement pour la regarder ensuite, voulant essuyer mes larmes. Je finis ensuite par la lâcher pour retourner dans les bras de Gabe.