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![Lennah | Remember December [finish] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Lennah | Remember December [finish] ![Lennah | Remember December [finish] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mer 27 Avr - 22:19 | |
|  ♣ nom et prénom Lennah Nevaeh Dawkins
♣ surnoms. Aucun
♣ âge. 19 ans
♣ date et lieu de naissance. New York, 23 Decembre 1991
♣ origines. IAméricaine
♣ situation amoureuse. Célibataire
♣ groupe. Studious
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Me, myself and I .
La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste. Lennah. Une jeune femme que l’on peut considérer comme sa sœur, son amant, son amour, sa rivale. Douce et mélancolique, vous la surprendrez souvent à rêvasser ou à sourire, pour tout et rien. Ne montrant que rarement ses sentiments, le sourire sera pour elle plus une façade pour plaire aux autres, qu’un véritable sentiment et lorsqu’elle est triste, elle préférera s’enfermer dans sa chambre, plutôt que de montrer sa tristesse à ses proches. Toujours ayant l’air meurtri par un lourd passé, Lennah a du mal à faire la connaissance de nouvelles personnes et pourtant à un moment, elle était « l’amie de tout le monde ». Renfermée et secrète, vous aurez beaucoup de mal à trouver la jeune fille généreuse et pleine de vie qu’elle est normalement.
Darling, tell me a story .
![Lennah | Remember December [finish] 24731004](https://2img.net/r/ihimizer/img532/8632/24731004.png) La seule vraie tristesse est dans l'absence de désir Lennah Nevaeh Dawkins est née le vingt-troisième jour de décembre, à minuit précise. Pour certains, lorsqu’un enfant né à cette heure-là, cela veut dire qu’il est maudit et que sa vie ne sera que tristesse … Peut-être est-ce la vérité en réalité. Fille unique, Lennah est aussi la seule héritière de la fortune et de l’entreprise que ses parents détiennent. Depuis toute petite, Lennah a dû se soumettre à un protocole strict et aux humeurs de la haute société. La famille Dawkins étant connu dans ce monde ci, Lennah devait toujours se comporter de façon remarquable et cela inclut ses « amis ». N’aimant pas l’hypocrisie de ses soi-disant amis, Lennah fit vite volte-face à ces derniers et préféra se concentrer sur ses études. Malheureusement, le couple se sépara lorsqu’elle avait dix ans et tout devint plus compliqué. Son père se remaria avec une jeune femme ayant un déjà un fils, Bastien, du même âge de Lennah et ses ennuis commencèrent à ce moment-là. Lennah, qui habitait à présent avec sa mère, et ce « nouveau » frère entrèrent en compétition pour être le successeur. Malgré elle, Lennah du agir comme la plupart des personnes de cette société-ci, et agir donc dans le dos des personnes. Usant tout deux complots et de trahison, aucun des deux n’était prêt à renoncer, pourtant … La mère de Lennah décéda quelques années plus tard dans un accident de voiture apparemment accidentel, mais elle rejeta dans son cœur toujours la faute sur son père et Bastien. Ne pouvant aisément pas vivre encore seule, elle dut rejoindre malgré elle son père et sa vie n’était plus qu’un champ de mine. Se refermant toujours un peu plus sur elle, Lennah ne prononçait plus une parole et se contentait de sourire en public. Ses années à l’école furent de plus en plus dur, même si elle arrivait toujours à obtenir les meilleures notes. Elle perdit avec le temps ses seuls véritables amis et se retrouva à nouveau seule.
Une nouvelle année commence et Lennah est déterminé à ne plus devoir supporter cette belle-famille. S’inscrivant à l’université loin de chez elle, elle espère pouvoir vivre au moins une année tranquille et loin de tous ses souvenirs si douloureux pour elle.
♣ Prénom. Andréa♣ Comment as-tu connus le forum ? Par hasard♣ Quel est ton niveau de RP ? Plutôt bon♣ Le code du règlement; Okay By Oct ♥♣ Un dernier mot ? Je crois n'avoir rien oublié =)♣ EXEMPLE DE RP.- Spoiler:
Je n’aurais jamais pensé que la vie pouvait être aussi dure, dehors. Je regrette presque ma vie d’avant. Celle où j’étais cloitré dans ma chambre, quelque part, sans ennui, sans bruit. En sortant de cette petite ville pour New York, j’ai dû vite apprendre ce qu’il fallait. J’ai bel et bien rencontré un inconnu qui m’a un peu montré les environs, mais je dois dire que certaines choses me paraissaient encore invraisemblables. Comment les gens pouvaient être aussi cruels envers les autres, ouvertement ? Comment les gens pouvaient être aussi pressés à longueur de journée, seulement pour gagner de l’argent et finalement assouvir leurs envies matérielles ? L’être humain est stupide et cupide pour le peu que j’ai vu. J’ai du très vite cherché un petit boulot, pour assouvir mes besoins primaires. Encore de l’argent. On aurait dit que mon aspect physique ne laissait pas les personnes indifférentes, et donc j’ai pu trouver un travail rapidement. Serveuse. Cela ne payer pas forcément très bien, mais le patron m’avait laissé une chambre pour le temps que j’en aurais besoin. Gentil ou il y avait quelque chose derrière ? Pas vraiment le temps pour penser à cela. Je commençais directement mon travail. Au début, cela avait été dur de s’habituer. Moi, qui ne supporte pas le monde, devoir rester dans une pièce bondée … Je crois bien que sous la pression de la foule, je suis tombée dans les pommes au moins quatre fois en une journée. Heureusement, je n’avais pas été viré. Gentil ou il y avait quelque chose derrière ? Cette fois, c’était sur … C’était la deuxième proposition. Deux semaines que j’étais à New York, et je m’étais toujours pas habitué au métro.
C’était un jour comme un autre, j’avais pris le métro après m’être allé balader pendant la pause de midi dans les rues pour revenir au petit restaurant, où je travaille. Cette fois, j’ai tenu deux minutes de plus que la dernière fois dans le métro, donc en totalisant le tout : cinq minutes. Mais plus, je ne pouvais pas. Sinon, j’allais droit vers la catastrophe. Une attaque cardiaque, je crois bien tellement cette sensation m’oppresser. Une très gentille fille, d’à peu-près mon âge, m’avais dit que j’étais surement agoraphobe ou ochlophobe. « Peut-être » lui avais-je dit. J’avais bien entendu cela quelque part, mais bon … En arrivant enfin, au restaurant, vers quatorze heures, la chef des serveuses me passa un savon car j’avais une minute et demie de retard. « Etre ponctuelle et organisée c’est le maitre mot ici. Ce n’est pas parce que pour l’instant t’es la favorite, qu’il faut tout te permettre », m’avait-elle dit, après elle m’a seulement crié dessus. J’allais me changer à l’arrière et commençais mon service, tranquillement.
Seize heures, tapante. Une nouvelle pose pour moi, mais vu que l’une des serveuses s’étaient barrée, apparemment avec son amant à la dernière minute. Pas de pose pour moi, qui devait la remplacée. Alors que je servais un café, à un client, un homme me tapa sur l’épaule, et comme une bonne serveuse, je disais, en essayant de sourire convenablement. « Bonjour, je peux vous aider ? » « Vous êtes Mlle Jullian. Jade Hayley Jullian ? » Les hommes étaient vêtu en noir, et très classe. Sur le coup, je ne savais vraiment pas si je devais affirmer cette question, mais vu qu’ils avaient l’air tout de même bien informé, et quelqu’un les avais forcément dirigé vers, moi, je préféré dire « C’est exacte. Que me voulez-vous ? » « Est-il possible que nous parlions dans un endroit plus privé ? » « Oui, suivez-moi, je vous en prie ». Qu’est-ce qu’il me veule ? La plupart des clients nous suivait du regard et le patron, était embêté que je quittais pour quelques instant mon travail.
Je les emmenais dans une petite pièce à côté de la salle principale, et ils prirent place à une petite table et je m’asseyais en face d’eux. Ils avaient tous deux la mine grave et sans expression. Pas plus mal. J’avais l’habitude. « Votre père vous a laissé une lettre à votre égard … » « Mon père ?! » Je ne m’y attendais pas. J’étais bien sûr venu à New York pour avoir des informations sur mon père, mais je ne pensais pas, qu’au lieu de chercher, les informations allaient venir à moi. Une once de bonheur mais aussi de peur passa dans mon corps, me donnant de légers frissons. « En prenant ses affaires, nous avons trouvé cette lettre, avec votre nom dessus. » L’un des deux hommes, me tendit alors une lettre, un peu jaunît avec le temps. Je ne sais pourquoi, mais pendant quelques secondes, je me disais que ce serait préférable que je ne prenne pas cette lettre, mais l’air pressé de l’homme, me fit changer d’avis, et je pris avec beaucoup de précaution cette lettre, qui pour moi était comme une libération. « Pourquoi vous dites que vous après pris ces affaires ? Il lui est arrivé quelque chose ? » Les deux hommes me regardaient bizarrement. Toute une série de souvenir me passa d’un coup dans la tête. J’appuyais mes questions du regard, et l’homme qui s’était tu jusqu’à maintenant m’annonça directement et sans aucune sentiment « Votre père est mort, en prison ». Deux choses à retenir, que je ne savais absolument pas, un : mon père était en prison, donc il avait fait quelque chose pour y aller. Deux : Il était mort. Que pouvais-je penser de cela, franchement ? Je ne l’avais jamais connu. La seule chose qu’il m’avait donnée, était un médaillon qui ouvrait une boite à musique, ancienne. D’ailleurs je n’ai jamais voulu l’ouvrir. Pensant, que si je l’ouvrais les souvenirs en-dedans aller partir. Les deux hommes après quelques paroles, encore, échangé, partirent vaqué à leurs occupations funestes.
Je regardais cette lettre, et avec mon nom et mon prénom dessus. En l’a tournant, je vis alors un autre prénom « Victor », avec son numéro de téléphone. Pourquoi mon père m’aurait-il donné le numéro de téléphone de quelqu’un ? C’est en lisant la petite phrase en dessous, que je compris. « Jade, c’est ton demi-frère. Je veux que vous lisiez cette lettre, ensemble, par tous les moyens ». Pas de ma chérie. Pas de désolé de t’avoir abandonnée. Rien, juste une consigne. Juste pour ne rien suivre, je voulu lire cette lettre avant, mais … Mais quelque chose m’en empêcha. Mon demi-frère … Mon demi-frère ?! Ok, on se calme.
Après une bonne heure à me demander pourquoi j’appellerais mon demi-frère que je n’ai jamais connu, et dont je viens d’apprendre l’existence … J’appelais. Si, mon père voulait que ce Victor la lise aussi, c’est qu’il était concerné. Je commençais à taper le numéro, sur le téléphone fixe du restaurant. En entendant une voix à l’autre bout, je soufflais doucement, pour me calmer. « Bonjour, vous êtes bien Victor … Jullian ? » Une fois qu’il m’eut répondu, je continuais sur ma lancé. « Je m’appelle Jade … Ecoutez, cela va vous paraitre, étrange mais je préfère pas aller par quatre chemins. Votre père est mort. Ou plutôt notre père. Et il a laissé une lettre à notre égard. »
Dernière édition par Lennah N.Dawkins le Ven 29 Avr - 15:28, édité 10 fois |
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| | Sujet: Re: Lennah | Remember December [finish] Jeu 28 Avr - 16:30 | |
| Bienvenue 
Bon courage pour ta fiche (a); si tu as des questions mpotte nous :) |
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