October, Savannah Hannigan ft. Nina Dobrev ♥

October, Savannah ♣ Hannigan ♣ Oct' ♣ 4 juillet 1990 ♣ 21 ans ♣ Australienne ♣ Hétérosexuelle ♣ En couple ♣ The Queen Of Your Dreams ♣ 2ème année en psychologie ♣

Underco'

I am who I am.

• A vrai dire j'étais un bout en train plein de vie et qui aimais s’amuser. D’humeur plutôt fêtarde, je n’en ratais pas une. J'avais beaucoup d’amis comme d’ennemis. J'étais plutôt du genre impulsive, et ne me laissais pas faire, ni entrainer par les autres. Mon coté rebelle en déplaisais à certains, mais je m’en moquais royalement. j'aimais faire ce qui me plaisais sans se préoccuper de ceux qui désapprouvaient comme ma mère ou encore mon frère et ma sœur. J'étais plutôt du genre à agir sur le coup avant de pensées sur les conséquences. J'étais aussi très rancunière, et lorsque quelqu’un me blessait et me faisait du mal, j'avais du mal à tout pardonner d’un coup et pouvais me venger sur la personne. A part tous les défauts du monde que l’on pourrait me porter sur mon dos, j'avais tout de même des qualités. L’honnêteté en faisait partit, ainsi que la gentillesse. J'étais une fille compréhensive et était toujours là pour aider un ami, je n'était pas du genre à abandonner quelqu'un quand tous va mal comme certains le faisait.

• Comme on me l'a toujours dit, plus c’est petit, plus c’est mignon et plus c’est grand, plus c’est.. Bon vous l’avez compris. Bien que je faisait 1m65 à toujours complexé sur ma taille lorsqu’on me comparait à ma mère qui était du genre taille mannequin. Comme quoi les talons font des miracles. J'avais et j'ai toujours de magnifiques yeux noisette et de long et beau cheveux bruns. Mon sourire malicieux et ravageur en a conquit plus d'un à l'époque. Côtés vestimentaires, je ne me compliquais pas la vie. Bien que j'avais de l’argent, je ne courais pas à tout les coins de rues pour trouver la dernière paire de chaussure à la mode. Je m’habillais suivant la mode, bien que mon look était souvent décontracte avec un jeans et des converses.. Mais j'aimais aussi être féminine en portant des robes ou encore des jupes accompagnées d’escarpins que je collectionnais. J'ai un tatouage au dos de mon poignet: 'Never Say Never' qui a toujours était quelque chose de significatif pour moi. Et j'ai aussi au bas du ventre vers ma hanche droite un petit hummingbird représentant ma liberté.

Never Say Never"
what you love

My beautiful life.






« L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres. »


J’étais en maternelle à l'époque, et je la voyais toute seule, triste sur son banc. C’est pour cette raison que je vins à sa rencontre. « Tu veux un peu de mon cookie ? C’est ma maman qui les a préparés, et je le droit d'en donner aux autres. » « Hum.. D’accord, je veux bien. » « Moi c’est October et toi ? » « Joy. » Elle sourit en prenant un morceau, et depuis ce jour là Billy et moi sommes devenu inséparable par notre règle du cookie sacré. Je ne dis pas que pendant toutes ces années où nous avons grandit il n’y a pas eu de disputes ni quoi que ce soit d’autre, mais malgré ce que nous avons vécu nous sommes encore aujourd’hui soudées comme les cinq doigts de la main. Ma rencontre avec elle, Connor et celle de Matthew fut en quelques sortes les plus importantes de ma vie, parce qu’encore maintenant ils sont là pour moi.

C’était notre premier noël sans lui. A l’époque j’avais six ans, et je crois que cette anecdote me restera toujours en tête. Maman n’allée pas bien et ca ce voyait. C’est pourquoi avec Steven et Antigone on s’était partagé les tâches à faire pour que malgré les événements nous passions un agréable moment en famille, ou du moins ce qui resté d’elle. Mais rien ne se déroulé comme convenu. La dinde que mon frère avait cuite était complètement carbonisée, Antigone maladroite qu’elle était à l’époque avait cassée tous les couverts que notre mère sortait spécialement pour les grandes occasions, les ayants reçus de notre grand-mère. Elle y tenait beaucoup. Et pour finir, moi en allumant une bougie j’avais carrément mit le feu à notre sapin de noël qui se trouvait juste à côté. Notre mère qui se réveilla en pleine sieste s’affola en voyant tout ca.

« Non mais qu’est-ce qu’il vous a prit de faire ca ?! Ca tourne pas rond chez vous ! Vous vous rendez compte de ce que vous venez de faire bande d’inconscients ?! »

Et après avoir éteint le feu et avoir déblatérée des insultes en espagnol, elle partie comme une furie en nous laissant seuls tous les trois, allant boire dans le premier bar de la ville. On resté là, étant mal après ce qu’il venait de ce passé. Je me sentais encore plus gênée, parce que de nous trois je crois que j’avais causé la chose la plus grave. Je savais qu’elle n’allait pas nous pardonner facilement, et c’était bien la première fois qu’elle nous criée dessus comme ca. Je restais dans mon coin, réparant les dégâts comme je le pouvais, mais je le savais très bien. Je savais que notre famille, notre soirée et tout ce qui allait s’en suivre était mort, comme ce sapin.

Les années passèrent, et bien que m’a mère ce calma avec ses problèmes de boissons, je me sentais toujours comme le vilain petit canard de la famille, étant à part. Eux trois étaient complices, formaient une ‘famille’ si on peut dire ca comme ca. Moi je m’en sentais exclu, n’en faisant et n’en voulant pas en faire partie. Dés cette soirée, tout changea. Enfin pour être juste c’était surtout après le départ de mon père, mais cette fameuse nuit souligna bien le problème. A l’école, mon institutrice ne comprit pas ce changement de comportement soudain venant de ma part. Elle convoqua ma mère, qui lui dit que le problème venait de moi, et que je devrais voir une psychologue. C’est ce qu’elle fit d’ailleurs, mais je ne voulais pas m’ouvrir, je restais froide et n’ouvrait pas la bouche. Je disais juste que je voulais vivre chez mon père, et que je ne changerais pas d’avis. J’avais dix ans, et quand on est petits, les adultes ne prennent pas en considération ce que nous voulons, alors je pouvais toujours rêver.

« Mais October, tu n’as pas encore compris ? Ton père ne veut pas de nous, et encore moins de toi ! Il faut vraiment que tu mettes ca dans ta petite tête. Tu as beau être mignonne, mais tu n’es pas très maligne ma chérie. »

Voilà ce que ma mère m’avait répondu après que je lui avais révélé mon souhait après avoir soufflée les bougies de mon gâteau d’anniversaire. En grandissant, ma haine ce fit de plus en plus flagrante et encore aujourd’hui elle ne comprend pas pourquoi je lui répondais mal et j’étais sur la défensive avec elle.




« Les gens qui aiment ne doutent de rien, ou doutent de tout.»

« Tu me blesses là jolie môme.. »
« Roh ca va, t’es le premier à allée voir ailleurs, alors ne fais pas comme si ca te surprenais.. D’ailleurs elle était mignonne la fille avec qui je t’ai vu hier soir, bon j’avoue un peu ronde, mais mignonne si on les aime comme ca. »
« Je rêve ou tu es jalouse ? » Il rit légèrement.
« Dis pas n’importe quoi.. C’est juste que je préfère que ta langue ne traine pas n’importe où, si tu vois ce que je veux dire. »
« Non je ne vois pas. »
« Oh ca va tu m’as très bien comprise. » Je le repoussa.
« Et toi alors je pourrais dire pareil, Nolan Hemington, sans rire ? »
« T’es jaloux ou je rêve ? »
« Non, juste curieux.. »

Au départ c’était simplement un jeu entre nous, comme vous avez du le comprendre je suppose. Personne n’était au courant de notre situation et Gabriel et moi nous ne nous retrouvions que lorsqu’on était sûr qu’il n’y avait personne dans les parages. Mais au fil du temps le jeu devenait de plus en plus bizarre tout simplement parce que je tombais tout simplement amoureuse de lui. Il y avait sans arrêt des scènes de jalousies entre nous, mais à chaque fois on se rappelait à l’ordre que ce n’était pas sérieux notre histoire et donc pas la peine que l’un soit jaloux des fréquentations de l’autre. C’est pour ca qu’un jour je décidais de prendre mon courage à deux mains et lui avouer ce que je ressentais vraiment pour lui, et peut être ainsi voir notre relation sous un angle différent. Mais c’était trop tard, il était partie. Pas un mot, un appel, rien.




« Qui ignore l'amour vie heureux. »


« October, ouvre moi cette foutu porte, je dois me préparer sinon je vais être à la bourre pour mon match ! »
« Et moi pour mon concours, et je ne pense pas qu’y allée avec les cheveux sales va leurs donner une bonne image de moi ! »
« J’en ai rien à faire, allée dans celle de maman ! »
« Elle y est déjà, alors dépêche d’ouvrir avant que je ne défonce la porte ! »
« Oula, j’ai vraiment peur. Attendez deux minutes, je finis de me préparer. » J’ouvris la porte quelques minutes plus tard, après les avoir entendus encore et encore hurler. « Ben vous voyez, c’est pas compliqué d’attendre un peu. »

Un sourire angélique, et après avoir pris mon sac je filais en cours. Connor klaxonné depuis déjà dix bonnes minutes, m’attendant avec impatience à la longue. Je grimpais dans sa décapotable et l’embrassais avec tendresse.

« Mais qu’est ce que tu foutais ?! »
« Oh rien, de spécial. Je finissais juste de me préparer, comme d’habitude. »

Il me regarda d’un air suspect, puis démarra la voiture nous conduisant au lycée. Le lycée c’était un peu comme mon royaume, mon univers. Le seul endroit où je me sentais aimer et aduler de tous. Enfin presque tous. J’étais l’une des filles les plus populaires, et non pas parce que je me trémoussais devant les élèves avec une tenue des Cheerleaders ou parce que je sortais avec le garçon le plus cool et populaire. Non rien de tout ca. Les gens m’appréciaient ou me détester, mais au moins tous le monde me connaissaient. Allée savoir pourquoi, mais les gens me considérer comme une garce sans cœur, qui n’en avait rien à faire des autres. Je ne dis pas que c’est totalement faux, mais pour ma défense je disais que j’avais tout simplement confiance en moi et ne regrettais pas mes actes ou mes choix.

Le temps passe et me voilà à l’université. Bien qu’on pense que je suis une fille égocentrique et que je n’avais rien à faire la dedans, je choisis la fac de psychologie. Ce qu’il y a de bien, c’est que Billy était toujours à mes côtés après tout ce temps. Connor était là aussi. Bien qu’on ait rompu, on resta meilleurs amis ne voulant pas gâché une si belle amitié qu’était la notre. Je passais de garçons en garçons, jusqu’à ce que je le rencontre. Je rentrais de voyage ou j’avais passé mes vacances au Mexique chez ma famille. J’avais pris l’avion pour le retour, ce que je détestais par dessus tout. Liam était mon voisin.

« Ca va aller ? »
« Oui, c’est bon merci. Je n’ai pas besoin qu’on s’inquiète et qu’on me prenne la main pour me rassurer dans le seul but de m’avoir dans son lit, ou bien qu’on réalise l’un de ces fantasmes qui est de le faire dans la cabine en plein vol. »

Il rit simplement. Puis quelques instants après, Liam ne pût s’empêcher de reprendre la parole et me divertir. Ce qui marcha d’ailleurs, puisque je ne fis plus gaffe qu’on était en plein air pendant tout le trajet. Il retournait voir sa famille qu’il n’avait pas vue depuis la mort de ses parents, ce qui m’attrista quand même. Après le vol, je le revis à plusieurs reprises car il habitait à Perth tout comme moi. Il faut dire que le hasard faisait bien les choses. Puis un jour, après une autre soirée passé ensemble, on échangea un baiser. Je n’avais pas précipité cette fois-ci les choses, ayant peur de comment ca allée ce dérouler entre nous, je laissais simplement faire les choses. Mais cette relation devient vite incompréhensible. Quand j’étais avec lui, j’avais peur de mes sentiments, peur de les lui montrer, les lui dire. C’est pour ca que je préférais fuir en allant voir ailleurs ou en créant une dispute parmi tant d’autres.

« Non mais va t’en je te dis ! »
« Parfait, de toute façon je comptais pas rester là une minute de plus ! »
« Attends ! »
« Quoi encore ?! »
« Non en fait, rien ! Casse-toi ! »
« Ben oui, alors arrête de me retenir comme ca ! »
« T’es pas croyable quand tu t’y mets, je t’assure ! Je t’aime, tu m’énerve ! »
« Tu m’aime ou je t’énerve ? »
« Les deux, c’est bien ca le problème avec toi. »
« Excuse moi, ca ce reproduira pas.. »

Et ainsi de suite, ce fut comme ca des mois durant jusqu'à la rupture.



« La seule chose dont on soit sûr, en ce qui concerne l'avenir, c'est qu'il n'est jamais conforme à nos prévisions. »


« Bon et ca y est t’as finis ? Je peux retourner à ma console ?! » « Tu crois vraiment que j’ai l’air d’avoir finis mon histoire, et que vous êtes né comme ca par le saint esprit ?! » « Ca va durer encore longtemps maman ?! » « Ah ben ca vous le verrez bien les enfants.. En tout cas là, c’est comme si je ne faisais que commencer. » « Rooohhh ! »

THE BEGINING

behind the screen.
prénom: Cléoush (a) ♣ âge: 18 ans ♣ comment as-tu connus teenage dream ? Hum c'est une bonne question tiens! ♣ qu'est-ce qui t'as fait venir ici ? Les admins chéris que j'aime à la folie ♣ quel est ton niveau de rp ? hum 15/20 ? ♣ quel est le code du règlement ? Pas besoin de le dire (a) ♣ un petit quelque chose à dire ? dis nous tout ! Kawapunga! ♥

"→ exemple de rp,":