La veille était passer très vite : Angel et moi étions arriver chez elle, nous avions causé un peu, bu quelques verres puis on avait commencé à s'embrasser, à se chercher pour finir dans le même lit. Nous n'avions pas pris la peine de fermer les volets de sa chambre, le soleil pénétrait donc dans celle-ci dès huit heures du matin. Sentant le soleil dans mes yeux, je tourne le visage pour lui être de dos. Je met plusieurs minutes pour être vraiment bien réveiller. Je passe doucement ma main sur la place ou devait être Angel mais je ne sens rien ormi un papier, je le prend et le lit.

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J'avais quelques chose à faire, je suis partie tôt. Désolé. Fais comme chez toi. ♥

Je fis retomber ma tête assez rapidement sur mon oreiller. C'est vrai quoi il n'est que huit heures ! Je resterais alors comme ça un petit moment. Je ferme les yeux trois secondes et les rouvres ensuite fière de ne pas mettre rendormi. Je regarde le réveil et m'apperçoit alors que deux heures se sont déroulé. Je me lève rapidement et cours vers la salle de bains. Je débute ma douche et entend alors mon téléphone sonner. « Et merde ! ». Je fini alors de me doucher me demandant qui pouvait m'appeler à cette heure la. Une fois près je m'habille et prend mon portable, tappe le numéro de la messagerie et écoute le message qu'on m'a laisser. Je souris entendant la voix d'Eleonore. Je quitte la chambre et me dirige vers la cuisine, prend un croissant et sors pour me rendre au parc ou elle m'avait donné rendez-vous. Je l'attendait car je m'étais dépécher et était donc arriver en avance. Lorsque son visage que je connaissais si bien arriva à niveau de mes yeux, un grand sourire se dessina sur mon visage.Elle s'approcha et me fis un bisous sur la joue. J'approcha mes lèvres de sa joue et y déposa aussi un baiser. Elle pris mes mains, me tira vers elle et fini par me dire : « Tu ne devinera jamais ! » avec un sourire enfantin qui la rendait très mignonne et ce qui me fit sourire de plus belle. « Non mais tu va tout me dire ! N'est-ce pas ? » fini-je par répondre en lui faisant mon regard auquel elle ne peut pas résister.

Je me sentais toujours bien en sa présence, elle me faisait toujours sourire. C'était un don qu'elle avait pu avoir à notre rencontre qui remonte à longtemps maintenant. Entre nous il y avait tout le temps eu que de l'amitié et souvent de la chamaillerie. Par rapport à elle j'étais plus jeune et elle n'oubliais jamais de me le rappeler en m'embétant. « Non mais tu va tout me dire ! N'est-ce pas ? ». « T'as pas cru honnêtement que t'allais m'avoir si facilement? ». Je ris légèrement tout en plongeant mon regard dans le sien pour l'insité à tout me dire le plus vite possible. Elle détourna mon regard ce qui signifiait au fond de moi que quoiqu'il allait arriver j'allais gagner et elle elle allait tout me dire. « Bah pourquoi tu me dis ça si tu veux rien me dire ? ». Elle était maintenant tournée pour ne pas croisé de nouveau mon regard. Je passa mes bras autour d'elle, la serrant légèrement, sans l'écraser, contre moi. Je frolla sa chevelure brune de mes lèvres puis y déposa un léger baiser pour continuer de lui montrer mon attachement à elle. « Tu sais quoi ? Je suis courbaturée d'absolument partout » me dit-elle avec plein de sous-entendus. Je recula mon torse de son dos, faisant un pas en arrière, je pose mes mains sur ses épaules et fais de léger mouvements avec mes doigts commençant un léger massage pour la soulagé.

Elle voulait en parler de tout ça mais en prennant son temps et elle me le faisait comprendre. Elle parlait en sous-entendu et faisait plein de geste entre chaque phrase. Je compris donc que je devais insister en douceur ou alors rentrer dans son jeu. Elle me laissant même pas le temps de répondre à ce qu'elle me disait. Elle s'est allongé sur la pelouse me tirant avec elle. Mais moi j'ai mis plus de temps à m'y poser. Je l'ai observer pendant un moment, puis me suis assis à coté d'elle enroulant mes bras autour de mes genoux. Elle tatta la pelouse pour voir si j'étais la alors d'une main je pris la sienne pour lui montrer que j'étais à coté d'elle. « Alors tu as fais quoi pour être courbaturée comme ça ? Des vilaines choses avec des vilains garçons ? »..

Il faisait très beau aujourd'hui et ce n'étais pas plus mal. J'étais appuyé sur les mains ce qui faisait que mon visage était lever vers le ciel, de quoi attrapé un coup de soleil ou a l'heure bronzer. Mes yeux était légèrement fermé pour évité de prendre le soleil dans mes yeux. « Alors tu as fais quoi pour être courbaturée comme ça ? Des vilaines choses avec des vilains garçons ? ». « C'est faux ! Il était pas vilain. Loin de là même. Il est presque aussi mignon que toi, c'est pour dire. ».Un rire sortie alors de moi. Un garçon ne pouvait pas être aussi mignon que moi lorsque j'étais avec elle. J'étais souvent adorable avec elle, j'aimais la voir sourire alors je faisais tout pour que cela arrive, même jusqu'à me ridiculiser. « Aussi mignon que moi ? C'est impossible et tu le sais très bien ! ». Je baissa ma tète vers elle affichant un large sourire. Je posa mes mains sur ses cheveux et commença à les caresser. « Et si tu as des courbatures, c'est que tu n'est pas très professionnelle » rit légèrement en sortant cette phrase. « Tu devrais prendre exemple sur moi ! »

Le parc était calme appart parfois des rires comme nous on le faisait. Et au loin des enfants qui jouait dans un parc de jeu. Depuis qu'on était jeunes j'adorait passer mon temps avec elle, on se charriait souvent. Je l’embêtais et elle me répondait en faisant la même chose. C'était presque devenu un jeu entre nous. Puis j'étais partie pour l'Australie et on avait fini de grandir séparément. « Et c'était qui ce gars presque aussi mignon que moi ? »..

« Comment ça, moi, pas très professionnelle, Monsieur Turner? Je vous apprendrais, jeune homme, qu'il n'y a pas plus professionnelle que moi-même. Et de plus, permettez moi de vous faire un petit cours relatant de la différence marqué de nos métabolismes corporels, m'empêchant d'une part de pouvoir prendre exemple sur vous, et d'autre part, vous empêchant de juger si le fait que j'ai des courbatures suite à mes relations avec ce très beau spécimen sportif et musclé mais quelque peu inintéressant sur le plan intellectuel soit dû à mon professionnalisme ou mon non-professionnalisme. ». Elle commence sa phrase avec un minimum de sérieux mais part très vite à la dérive. Elle n'avait jamais été sérieuse longtemps surtout en ma présence. J'avais toujours le moyen de la faire rire avant la fin de sa phrase. « Tu as failli t'en sortir, enfin tu as lâché ton sérieux avant la fin dommage » Sourit légèrement en lui faisant un clin d'oeil. « Les courbatures c'est dut à un manque d'entrainement ! Donc cela veut dire que tu ne t'entraîne pas assez » Je prend ses mains dans les miennes et entremêle nos doigt ensemble. « Tu vois quand tu regarde mes muscles on voit qu'il y a de l'entrainement ! »

Depuis tout à l'heure, il y avait un couple d'enfant qui avait environ cinq ans qui me faisait énormément penser à elle et moi lorsqu'on était petits. Ils se chamaillaient, chacun partait de son coté, puis ils se retrouvaient et redevenaient les meilleurs amis du monde. Mon regard quitta ses deux enfants pour le reposer sur Eleonore. « Bon ! Parlons avec un peu de sérieux car la on part à la dérive je trouve ! »..