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| Sujet: And I'm buying a stairway to heaven | Leïla Tess Meyers Dim 22 Mai - 14:29 | |
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Leïla Tess Meyers ft. Julianne Hough
Leïla Tess ♣ Meyers ♣ Ley-T(ie) ♣ 23 octobre ♣ 23 ans ♣ Australienne ♣ Hétérosexuelle ♣ Parfaitement célibataire ♣ I'm an Artist ♣ Etudes de Stylisme ♣
Underco' |
I am who I am. Mon caractère n'est formé que d’extrêmes. Je peux être une fille généreuse, gentille, pleine de considération et ensuite faire ma vraie manipulatrice, têtue comme un âne. Je suis sûre de moi, je sais que je ne fais jamais d'erreurs. Je suis aussi très protectrice envers les gens que j'aime. Même un peu trop. J'adore faire la fête, et la fête m'adore. Je fais rire les gens, je bois, je deviens donc de plus en plus joyeuse, donc je fais encore plus rire les gens, qui m'aiment de plus en plus, et voilà ! Il est vrai aussi que j'ai la conversation facile, ce qui est bien utile pour construire de nouvelles amitiés. Bon d'accord, je vous avouerais que je m'aime un peu trop, mais mieux vaut ça que de ne pas s'aimer du tout, non ? Sinon, d'un autre point de vue, je suis très maniaque. Je déteste voir ma chambre mal rangée, par exemple. Tout a sa place dans mon petit monde, je dois absolument tout contrôler, dans un ordre strictement rigoureux. Je m’énerve souvent, il est vrai. Un "tempérament de feu" comme on dit, car non seulement je me mets en rogne, mais en plus je suis bagarreuse ! Oui, il ne vaut mieux pas me chercher.... Malgré ce petit défaut, je suis quand même féminine. Je ne deviendrais jamais un garçon manqué, quelle horreur !
J'ai un physique de rêve, et je le revendique. Je fais du sport, pour garder un ventre plat et de belles formes. Je suis grande, yeux bleus, cheveux blond. Stéréotype de la belle gosse, vous avez dit ? Non, pas du tout... Bon ok, juste un peu alors ! Sérieusement, je me trouve bien foutue, et je n'échangerai mon corps contre rien au monde. Surtout que je le mets en valeur. Oui, je fais des études de stylisme, je sais bien m'habiller. Je suis assez fière de moi pour ça. J'adore la mode, alors je profite de mon physique pour m'acheter des tas de vêtements !
Detox just to retox. what you love
My beautiful life. Je suis née pour être une garce. C'est la vie, il y a des personnes venues au monde pour exercer des fonctions spécifiques : artiste, médecin, professeur. Moi c'était pour être une garce. Je ne m'en plains pas, c'est comme ça et c'est tout. J'aime manipuler les gens, les voir m'obéir en croyant faire ce qu'ils ont décidé, alors que c'est moi qui ai tout mis en place. Ça vous semble un peu sadique ? Oui, j'en suis consciente. Je sais que c'est aussi horrible de faire ça, mais je ne peux pas m'en empêcher. Et tout ça a commencé depuis ma plus tendre enfance. Vous avez envie d'en savoir plus sur moi maintenant non ? Alors écoutez bien, que je vous raconte la charmante histoire de Leïla Tess Meyers. Je suis sûre que vous allez l'adorer.
Je n'étais pas seule, au moment de ma naissance. J'étais accompagnée d'un frère, mon jumeau. Je suis sûre que déjà, dans le ventre de ma mère, on s'entendait à merveille, ce qui n'a fait que s'améliorer avec le temps. Ma mère m'a toujours dit que quand j'étais un bébé, je cherchais toujours à être à côté de mon frère, j'étais plus proche de lui que tous les autres membres de ma famille. Pourtant Dieu sait que ma famille est extrêmement importante pour moi. L'année de mes deux ans a vu éclater le divorce de mes parents. Comme j'étais très jeune, je ne m'en rappelle pas vraiment, et cela ne m'a pas chamboulé plus que ça. C'était juste que Papa et Maman n'habitaient plus au même endroit, mais je ne comprenais pas grand chose d'autre. De toute façon, ils étaient toujours là pour prendre soin de moi, et je n'étais pas séparée de mon frère et mes soeurs. J'étais une enfant heureuse, épanouie. Ma famille étant assez riche, je ne manquais de rien, et j'avais tout pour vivre une enfance de rêve. Je regardais des dessins animés, je jouais aux tamagotchis, ou à la game boy color. Je sortais dans le jardin et faisait de la balançoire. Je faisais du vélo dans la rue avec mon frère. J'allais chez mes voisins pour jouer avec leurs enfants. J'étais une gosse tout à fait normale. J'allais à l'école bien sûr, mais on ne peut pas dire que ça me passionnait. En fait, je trouvais ça idiot de gâcher son temps à rester assis à écouter quelqu'un parler pendant des heures, alors qu'on pouvait sortir et profiter du beau soleil. Malgré ça, je n'étais pas une mauvaise élève. Je suivais, mais sans m'investir plus que ça. Puis vint le moment de quitter la douce période de l'enfance pour entrer dans les méandres de l'adolescence, sûrement le pire moment de toute une vie. Non, sérieusement, je n'ai pas eu à souffrir de ce passage. J'ai toujours été très sûre de moi, alors les critiques sur mon physique, je n'y prêtais pas trop attention. Les ruptures amoureuses ? Je passais au dessus. Je n'étais pas vraiment à plaindre, et je croquais la vie à pleine dents. J'avais des amis, et j'étais toujours en aussi bons termes avec ma famille. Question sentiments, je ne m'attachais pas tellement, j'avais bien le temps, j'étais encore jeune ! Je préférais nettement avoir des amis que de me caser avec un copain, même si je savais que je ne laissais pas la plupart des garçons indifférents. Côté cours, ça m'énervait de plus en plus. J'étais une bonne élève, mais je ne voyais pas l'intérêt de s'ennuyer toute une journée. Surtout que ça devenait de plus en plus important pour la suite de mes études. D'ailleurs, je m'étais enfin décidée : je deviendrais styliste. J'adorais la mode, et en même temps je voulais travailler dans le même domaine que ma soeur, Kaya. Et puis je l'ai rencontré. J'aurais tout fait pour lui, tout quitté. Je pensais que c'était ça l'amour, mais qu'est-ce que j'en savais ? C'était la première fois que ça m'arrivait. Il était immensément beau. Il dégageait un charisme fou. Mais non, ce n'était pas de l'amour. C'était une distraction, tout du moins pour lui. Il m'a manipulée, je n'étais qu'un jouet. Et un jour, il m'a regardé droit dans les yeux et a dit « C'est fini ». Je suis tombée six pieds sous terre, inconsolable. J'avais envie de tout quitter : mes études, mes amis, ma famille, Perth. Mais grâce à l'aide de mes soeurs, mon frère et mes cousins, j'ai survécu et je me suis reconstruite. Cette histoire m'a quand même marquée, et j'ai du mal à accorder ma confiance à des garçon depuis. Et puis j'ai enfin apprécié mes études, en choisissant la voie que je voulais : le stylisme. Je sais maintenant ce que j'ai vraiment envie de faire, et je ferais tout pour y arriver.
THE BEGINING behind the screen. Alix, mais appelez-moi Raspoutine (: ♣ 15 ans ♣ Ben j'étais sur Hollywood Academy avant, et je n'y allais plus, et aujourd'hui j'ai fait un tour dessus & j'ai vu que c'était fermé et que c'était remplacé par Teenage dream (: ♣ J'avais envie de recommencer le RP (: ♣ Ben assez bon on va dire (: ♣ Minimum 3 fois ! ♣ Okay By Oct ♣ C'est toujours aussi beau *o*
- "→ exemple de rp,":
Aujourd'hui, comme à peu près tous les jours de vacance, j'étais encore partie faire les boutiques, mais cette fois-ci toute seule, allez savoir pourquoi, personne n'était libre. Je me demande à quoi bon avoir des vacances si on ne pouvait pas en profiter ? M'enfin bref, exténuée par cette dure matinée de lèche-vitrine, je m'affalais sur le canapé de l'appartement que je partageais avec Bailey S. McAllister. D'ailleurs, cette dernière me regardait d'un air las. Il était vrai qu'en ce moment, je n'étais pas très causante ni très sympa, mais c'est ce qui arrive quand j'écope d'une nouvelle colocataire. Il y a la période d'adaptation, comme on pourrait l'appeler. J'ignorais son regard insistant, et en profita pour allumer la télévision. Bon, jeu télévisé, série à l'eau de rose, téléfilm de science fiction, pub, pub, film d'action, encore pub... Bref, pas très alléchant. Puis soudain, je tombais sur une pub pour Mc Donald's. Le truc "Venez comme vous êtes. Mc Donald's, c'est tout ce qu'on aime ! Palapapapa." Pas très folichon en soi, mais ça m'a subitement donné envie d'y aller pour me prendre un bon menu maxi best of. Bon d'accord, c'est pas très sain comme nourriture, mais alors ? Il faut bien se faire plaisir de temps en temps non ? Je pris alors mon BlackBerry et commença à envoyer des messages à mes chers amis, pour ne pas me retrouver seule là-bas. Super ! Personne ne pouvais venir. Etais-je frappée par une malédiction quelconque ? Peut-être que je ne pourrais plus jamais passer de temps avec mes amis ! Peut-être que les dieux étaient contre moi ? Bon stop, ça suffit le délire là, Elly. Il faudrait peut-être que je me reprenne. Mes amis ne sont simplement pas disponibles aujourd'hui. Ils doivent être en couple, devant la télé, en pyjama... Bref, comme une petite famille. Bon, c'est vrai que ça fait un peu cliché de vieux, mais globalement, ça doit être ça. Allez, inutile de continuer à me morfondre, je sortirais, seule ou accompagnée. Je pris juste le temps de me changer, pris un tee-shirt, un jean, mes converses ainsi que mon sac, puis je sorti de l'appartement, en criant à ma colocataire que j'allais manger quelque part et que je reviendrais tôt. J'avais au moins la politesse de lui dire ça. Il faisait extrêmement chaud dans la rue. Déjà qu'Hollywood n'était pas réputé pour sa fraicheur, mais là je crois bien qu'on touchait les sommets, je me liquéfiais littéralement sur place. J'hésitais entre courir jusqu'au McDo, ce qui raccourcirai mon supplice, mais me donnerais encore plus chaud, ou marcher à allure normale et rejoindre le fastfood sous forme de flaque. Bon, ben c'est parti pour la flaque, j'ai vraiment pas la force de courir. D'ailleurs, il n'est qu'à un pâté de maison. Ah, ça y est, j'y arrive enfin. C'est tout juste si je ne rentre pas en courant pour faire un petit dérapage sur les genoux, crier "HALLELUJAH" et lever les bras en signe de victoire. Mais non, on me prendrait pour une débile. A l'intérieur, je vois que les gens ne sont pas mieux que moi. D'ailleurs, l'homme devant moi a un sérieux problème de déodorant. Tant pis, je ferais avec. Tout en me bouchant le nez, j'attendais mon tour de commander. Puis, enfin le moment viens, je commençais d'ailleurs à être gênée par mon estomac, qui avait entrepris un petit remix de la 9ème symphonie de Beethoven, version gargouillis. Je commandais alors mon Maxi Best Of, puis parti en quête d'une table libre. Bon, il n'en restait plus qu'une, génial. Je m'installais et commençais à savourer mon hamburger, quand je vis une fille arriver, elle ne trouvait sûrement pas de place pour manger. « Bonjour... Je pourrais me mettre à côté de toi ? Je suis vraiment désolée de te déranger, mais il n'y a plus de place nulle part. » Je lui fis une place à côté de moi. Par contre, si elle voulait discuter, c'est elle qui fera le premier pas, ce n'était pas moi qui allait engager la conversation, il ne fallait pas y compter. Quand je mange, je mange.
Dernière édition par Leïla T. Meyers le Mer 25 Mai - 17:24, édité 6 fois |
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