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| Sujet: LUCY; some of them want to use you, some of them want to abuse you. Mar 10 Mai - 19:03 | |
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lucy rose anderson. FEATURING. willa holland
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Je m'appelle Lucy Rose Anderson mais mes amis m'appellent Lulu , je suis née à Montréal le 19/05/1991, et oui, il y a bien longtemps dis comme ça. Mais c'est bon de se rappeler tout ses bons souvenirs. J'étais en fac de musique parce que je jouais de la guitare comme une déesse et le matin je réveillais les oiseaux grâce à ma voix de cristal, mais ah, c'était le bon temps . J'étais à cette époque célibataire, par un mauvais coup du sort. Mon orientation sexuel ? Bien qu'à cette âge là, on ne sache pas vraiment encore qui on est réellement, j'étais bisexuelle. Pour terminé, parce que bon on va pas s'éterniser ici, j'ai une courte histoire à raconter, mais j'habitais chez mon frère. Dans le groupe rebel.
i wanna use you and abuse you. Dans les plus beaux jours de Perth , La douleur. A chaque fois que je pense à cet idiot, mon cœur se serre un peu. Sous la main posée sur ma poitrine, mon cœur bat un peu plus vite. Quand je pense à lui, j’ai peur. Visage baissé, dissimulé sous une cascade brune, je froisse le papier rouge dans ma main, termine le biscuit chocolaté dans ma bouche. Aussitôt, j’allume une cigarette et mes yeux dévorent le ciel. L’envie de liberté. Une voix retentit derrière moi, embêtée, énervée. « Lucy, t’as encore mangé tout les kit-kat ! » De mon pied je shoot le papier pour le faire tomber… sur le balcon des voisins, tant pis. J’entre d’un bond dans l’appartement, manquant de glisser sur ma crème solaire, et je me rattrape tant bien que mal à la chaise. J’en oublie ma tenue légère : mini-short et soutien-gorge. On bronze, ou on ne bronze pas ! Légèrement rouge, je balbutie. « … N-non. » On fait mieux comme défense. Me rendant compte de ma tenue, j’attrape le large t-shirt posé sur la table et l’enfile, prenant la peine de retirer les cheveux de l’encolure. Je vois mon frère qui s’apprête à me répondre, mais je me tourne vers le bout de chou qui l’accompagne, le coupant au passage en abandonnant ma cigarette entre ses doigts. « Sweetie ! » J’attrape ma nièce dans mes bras et lui embrasse le front. « Bonjour ma puce, c’était bien la piscine ? » Matthew regarde le paquet de kit-kat vide et pousse un soupir de mécontentement, on peut dire que j’étais incroyable pour les diversions. Il s’attarde ensuite. Je sens ses yeux qui dévisagent mes jambes, mes cuisses. Il se souvient. Les ecchymoses, les lésions, les os brisés parce que ‘’ Lucy ne fait jamais attention lorsqu’elle fait du skateboard ! ‘’ comme disait papa. Il observe mes poignets. Seules marques du passé. Les moments douloureux, de l’incertitude, où je pensais que c’était sûrement ma faute. Les cicatrices. « Viens, je vais te chanter une petite chanson ma puce. » Je la ramène vers sa chambre, ses jolis yeux se ferment déjà, en chantonnant doucement. Quelques minutes elle dort déjà, dans son lit de princesse, son air calme et exténué de la piscine. J’allume une cigarette et retourne sur mon balcon, silencieusement. Dans la poche de mon short réside un trésor merveilleux, mais je n’ai pas le temps de le sortir car Matthew sort derrière moi, ça va être ma fête. « T’étais où hier soir, encore ? » J’hausse les épaules, la question est intéressante, certes, mais devenue tellement banale. Je ne sauvais pas le monde de la destruction et j’étais encore moins au théâtre à assister à une superbe représentation d’Andromaque. Il connait la réponse mais attend toujours la mienne. « Sortie. » Je vais encore me faire gueuler dessus, Matty déteste ça quand je sors longtemps et qu’il n’est pas là pour me surveiller. Je vois déjà son regard qui se change, son sourire qui se crispe. Je l’observe et hésite longuement… Finalement je reste stoïque et mon regard se porte sur la vue devant moi. Ma main se porte nonchalamment à mon collier en or, où un pendentif en forme de cœur trône. Comme un cœur sacré. « Tu sais très bien que je déteste ça… » Pourquoi il fait toujours comme ça ? Je suis blessée. Mon regard tombe sur le sol et l’observe longuement, j’ai presque envie de pleurer, et j’ai le cœur au bord des lèvres. Je grince des dents, je réponds en susurre. « Tu sais très bien que j’essaye d’oublier Liam ! » Ce sont les mots de trop, une larme coule. Mais je suis forte, surtout devant Matthew, alors j’essuie du revers de ma manche. Je sais qu’il est énervé, que ma sérénade le touche au fond mais que sa priorité est de me protéger. Alors je vois son regard qui se tourne vers moi, il est prêt à m’engueuler sûrement… Mais je vais plus vite que lui, je lève ma main et la pose sur sa joue. J’observe ses yeux, ses lèvres, son nez. J’aime mon frère. Je connais son visage par cœur, sa voix comme si c’était la mienne, sa façon de marcher qui me rassure, et ses bras qui m’entoure. Matthew est le genre de garçon avec qui j’aime sortir, parce que je me sens protégé, je me sens en sécurité. Son air bad boy me charme –sûrement autant que mon air bad girl le fait rire- et dans chacun de mes petits amis, je cherchais Matth’. Liam aussi était comme ça. Je souris, face à lui, tendrement. Je l’apaise. Je suis toujours douce avec mon frère, sauf quand je me lance dans mes magouilles. « Je t’aime Matty. » Mes lèvres se posent juste à côté des siennes, un doux baiser, puis je me redresse. « Ah oui, j’allais oublier ! » Je sors de ma poche mon précieux mystère… le dernier et ultime kit-kat de la maison. « Cadeau va. Tu vois bien que je ne les ai pas tous mangés. » Il le prend et je vois un sourire sur ses lèvres, semblable au mien. Alors je me laisse tomber sur la petite balancelle et ferme mes yeux en posant ma tête sur le coussin. « On partage ? » Le chocolat de mes rêves sous mon nez. Je le prends d’un coup, mord dedans, alors que Matthew s’assoit à mes côtés. D’un léger coup de pied je fais se balancer la balancelle, doucement. « Dis, tu connais cette chanson ? Celle qui fait comme ça… Chien et chat, on s’aiment plus que tout, malgré nos p'tites querelles, je l’avoue ! » WHO'S BEHIND THE SCREEN ? » Prénom ou pseudo batmaaan » Qu'est-ce qui t'a plus sur le forum ? tout » Quel niveau de rp t'estimes-tu ? 14/20 » Fraise ou chocolat ? Fraise ! » Le petit code ? okay by Oct! » Petit mot de la fin JE SUIS UN LAAAAPIIIN
- Spoiler:
Tout peut brûler. Le feu. La chaleur. L’éclat rougeoyant. La brûlure. Que tout le monde repère les flammes au dehors, qu’on crie, qu’on s’agite… tant pis. Le plus important c’est qu’ici, dans cette forêt attaquée par le feu dévastateur des Dieux, deux âmes se sont retrouvées. On peut parler de deux corps, certainement, deux personnes, mais surtout deux âmes, deux résurrections. Artémis lève son regard vers Dionysos, la bacchanale des flammes marquant son visage, et elle le met à l’épreuve. S’il faut, de ses flèches le tuer, ça reviendrait à s’en tirer une droit dans le cœur. Car Dionysos marque Artémis, comme Artémis marque Dionysos. Un baiser sur le coin des lèvres et un sourire de dément. Si on leur demande d’où lui vient une telle ivresse, la jeune femme répondrait avec un sourire qu’elle connaît un jeune Dieu, qu’elle le tient entre ses doigts, fermement, rien qu’à elle. Qu’il va payer l’abandon. Ce feu qui brûle tout, qui dévaste tout, qui noircit tout, est la colère qui gronde au fond d’eux. Mais il est aussi l’amour. On est loin de ce que tout le monde pense sur ce sujet. Ici l’amour est certes passionné, actionné par une certaine rancœur, guidé aveuglement par l’esprit dingue. Est-ce que tu m’aimes ? Un rire de petite fille, et pourtant Artémis est grande maintenant. Mais ça n’a pas changé, depuis toujours, depuis la nuit des temps, elle et son amant… Ils ne sont pas fous. Et même si c’est chair contre chair, face à face, chasseresse et ivresse, ce n’est pas œil pour œil. Après tout, ce n’est qu’un jeu, et qu’est ce que c’est bon de jouer, hein Dionysos ? Alors pourquoi avoir arrêté le jeu pendant ces longues années ? Indirectement, c’est toi qui a forgé la jolie Artémis, la fragile Artémis. L’esprit torturé, à la porté du premier venu, son entraînement avec ce russe, ces viols, et ses pensées tournées vers lui. Dionysos. Ca tourne, ça la rend folle, ça la brûle de l’intérieur comme ce feu qui les entours, ça fragilise encore plus son esprit, ça la rend ivre. Il est son Doppelganger. C’est leurs morts assurées. Just gonna stand there and watch me burn, but that’s alright because I like the way it hurts. On va brûler. Tout. Toi et moi. Les autres aussi. Artémis s’en fiche alors, elle n’attend que ça. Que le feu la consume, lentement. Pour renaître encore et encore, comme des Phénix, comme des Dieux. Je t’aime. Une voix d’enfant, une promesse. Foutaises. On n’aime pas, on se consume, corps à corps « J'allume le bûcher et je m'y jette avec elle. Je suis aussi coupable que la sorcière. » Oui, ils sont tout les deux coupables. Mais il n’y pas qu’eux, il y a aussi la famille Harlowe, avec leurs manières, leurs idées étranges. Papa, toi qui me voulais tant liée à mon cousin, ça va comme ça ? Just gonna stand there and hear me cry, but that’s alright because I love the way you lie. Ils ne leur restaient plus qu’à pactiser avec la mort, à engendrer du mortel, comme ils l’ont toujours fais. Et les flammes gagnent du terrain, lentement, elles lèchent avidement le sol, le haut de Dionysos qui se consume, et se rapproche des deux Dieux couchés par terre. Et les lèvres de son cousin s’approchent de son oreille, et il murmure : « Nous n'allons quand même pas nous tuer simplement parce que nous ne nous sommes pas vus depuis longtemps. » C’est vrai que ça serait risible, mais Artémis n’a pas le temps de répondre, Dionysos enchaîne déjà. « On peut faire tellement mieux. » Et un sourire un peu fou dessine son visage lorsqu’il se redresse. « On peut faire tellement pire. » Et il arrache les vêtements de la belle chasseresse qui ne sourcille même pas. Non, c’est plutôt un sourire terrible qui dessine ses lèvres, alors que ses habits se consument avec ceux de son cousin. Il veut lui faire du mal ? C’est tellement bon. Un sourire de folie sur les lèvres, et voilà qu’Artémis courbe légèrement son corps, et qu’un rire s’échappe de ses lèvres. Un rire dément. Comme dans une réplique grotesque d’un dessin animé moldu, ils tournent dans l’herbe et Artémis se retrouve au-dessus du Dieu de l’ivresse, le surplombant de tout son corps. « A ton tour de me faire du mal. » Un éclat diabolique dans les yeux et la chaleur juste à côté de leurs corps. Dionysos, tu commences à prendre feu. « Du mal ? Moi, je te laisse là. » Et la demoiselle dépose un dernier baiser sanglant sur les lèvres de son cousin avant de se redresser. Elle prend sa baguette, lance un sort et un léopard argenté bondit au-dessus du corps de Dionysos, faisant barrière contre les flammes, alors qu’Artémis prend lentement sa forme d’animagi. Et bientôt, un husky aux yeux étonnement bleu s’éloigne des flammes, s’éloignant de cet appartement, s’éloignant de la mort pour mieux jouer. Un aboiement au loin, pour rappeler à Dionysos qu’elle est là, elle l’attend de toute façon, il lui reste une dernière mission à accomplir avant la fin. I know I’m a liar, If she ever tries to fuckin’ leave again, I’m a tie her to the bed and set this house on fire.
Dernière édition par Lucy Rose Anderson le Jeu 12 Mai - 13:49, édité 13 fois |
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