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| Sujet: KAT ♕ t'es aussi sexy qu'une orange. Sam 23 Avr - 13:35 | |
| ♣ nom et prénom. Oxburry, Katniss Sheila ♣ surnoms. Katy ou Kat' ♣ âge. vingt ans et toutes mes dents ♣ date et lieu de naissance. 8 avril 1991, Perth ♣ origines. australiennes ♣ situation amoureuse. célibataire ♣ groupe. artistic
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Me, myself and I .
« On peut avoir tout ce qu'il faut, mais ça ne veut pas dire qu'on a tout ce qu'on souhaite.» « Elizabeth Oxburry, parlant de sa fille. » Ma fille, ma chair, mon sang…Elle a toujours été adorable…Tout comme sa mère à son âge d’ailleurs, c’est mon portrait craché quand j’étais jeune ! Petite blonde, yeux bleus bleus-gris, bouille d’ange…J’ai vraiment de la chance d’avoir eu une petite fille aussi attendrissante et sage. C’est pour ça que je n’ai pas hésité un instant à l’amener aux devants des projecteurs, je voulais que son avenir soit déjà tracé. Elle est destinée à être une star, il vous suffit de la regarder pour que votre journée s’illumine. Elle s’habille toujours élégamment, sait marier les couleurs entre elle et sait parfaitement quels accessoires iront avec sa tenue. Et puis elle a un sens du style, c’est moi qui le lui ai appris dès son plus jeune âge. Je lui ai enseigné tout ce que je savais pour qu’elle soit une fille qui a de la classe. C’est la digne fille de sa « môman ».
« Gabriel Oxburry, parlant de sa fille. »
Katniss ? Qui est Katniss ?! Hum…Pardon…Ma fille…Katniss est quelqu’un de très intelligente ! J’ai toujours insisté pour qu’elle participe à différents cours avec les meilleurs professeurs de la région. J’étais prêt à mettre le prix qu’il fallait pour ma petite progéniture ne devienne par un de ces blondes écervelées qui défilent sur des podiums et qui se contentent de porter des bouts de tissus. Et puis…Bon…Ok ok… J’étais trop absent pour faire ce qu’un père normal ferait avec sa fille mais je sais que si j’avais été là, ça n’aurait rien changé. Elle a grandi, grandi, grandi pour devenir une femme mûre et autonome sans moi, quoi qu’il en soit je suis très fier d’elle. « Nathaniel, parlant de sa meilleure amie. » Katy est vraiment une fille incroyable ! Je ne pourrais pas la décrire car…vraiment…elle peut s’adapter à toutes les situations selon la personne que se trouve en face d’elle ! Tantôt sérieuse, tantôt fo-folle, c’est une fille formidable. Elle est jolie, souriante et a du style. On est inséparables et j’aurais beaucoup de mal à me détacher d’elle, elle pourrait réduire la Terre entière en esclavage avec un simple sourire. Elle vous emporte à l’autre bout de la terre dès qu’elle vous regarde, on ne s’ennuie pas avec elle. Au fond, Katniss est forte elle n’abandonnera jamais, elle ne se laissera jamais abattre par un simple obstacle. Elle est parfois autoritaire, elle aime bien avoir tout sur contrôle et pour ça, elle irait même jusqu’à manipuler des gens. Des fois elle n’a pas vraiment confiance en elle et peut être compliquée, renfermée et complexée, c’est dans ses moments que je lui montre que je suis présent. Pour elle, je pourrais faire n’importe quoi et je ne laisserais personne lui faire du mal. Personne. « Tennessee Romanaïska, parlant de sa protégée. » Melle Oxburry est quelqu’un de calme posée qui sait s’adapter à n’importe quel cas. Elle sait ce qu’elle doit faire et essaye toujours de le faire au mieux. Mais malgré sa carapace, elle semble fragile et douce, souffrant du manque de ses parents. J’ai toujours été là pour elle et elle sait qu’elle peut compter sur moi, je l’accompagne dans chacun de ses choix et les respecte. Kat' sait se contrôler mais je crois que ses gros défauts sont la gourmandise et le bazar. Elle est assez mal organisée et parfois je me demande comme elle ferait sans moi. Elle a toujours été possessive, s’accrochant à tout ce qu’elle a eu, comme une bouée de sauvetage. Katniss est désespérément nerveuse aussi, toujours stressée avant un défilé ou un plateau télé mais dans la vie de tout les jours rien de tout cela, comme quoi, la célébrité n’a pas que du bon. Je lui ai toujours appris à être prudente et méfiante avec certaines personnes, le milieu du business ne pardonne pas. « Anonyme, parlant de sa star préférée. » Katy est vraiment magnifique, je suis allé ou j'ai regardé tout les défilés où elle était. J'ai tout les magazines où elle fait la une et plein de posters d'elle dans ma chambre...Pourquoi je l'aime ? Parce que dès qu'on vous lis un conte de fées avec une princesse par exemple...On s'imagine une jeune fille avec de grands yeux bleus, des lèvres charnues, des cheveux blonds cascadant sur ses épaules et une démarche gracieuse. Bien sûr, sans les grandes robes on pourrait très vite penser que cette princesse c'est Katniss...Un ange tombé du ciel, juste pour le plus grand plaisir de nos yeux. Elle a cette classe de porter des vêtements...Tout lui va...Je suis même sûre qu'elle est magnifique dans le plus simple appareil... Darling, tell me a story .
« Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas, l'espoir. » 2030.
« Mademoiselle, vous êtes invitée demain pour un plateau télé à dix-huit heures. Le matin-même vous êtes conviée à un défilé de Lagerfeld et ensuite vous devrez…» Blablabla….N’en avait-elle pas marre de débiter cinquante phrases à la minute ? « Annulez-tout. » « Comment ?! Mais vous êtes folle, c’est impossible ! » « Est-ce moi que tu traites de folle ? » Je lui ai lancé un regard foudroyant. « Non pas du tout mademoiselle…» Elle a baissé la tête et n’a plus rien dit du trajet, se contentant d’envoyer des messages informant les gens de mon absence. La voiture avançait, les paysages défilaient et moi je me contentais de penser au bon vieux temps. Loin des paillettes et des strass… Loin de cette vie passée en l’air entre les continents. Bien sûr, j’étais heureuse mais pas comblée et pour l’instant, tout le monde semblait s’en foutre. « Dis-moi Tennessee, ça fait longtemps que tu es dans la famille, raconte-moi un peu comment je suis née. » Elle a rougi et m’a adressé un grand sourire comme jamais elle en avait fait. « C’est-à-dire que…» Elle a marqué une courte pause et j’ai fait mine d’être intéressée. « Vous êtes née le huit avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze, un peu prématurément et par césarienne. Vous avez été si désirée par votre mère, elle avait déjà eu une fausse couche avant et aurait été détruite si elle vous aurait perdue. Elle a toujours rêvé d’une poupée sur laquelle elle pourrait « s’amuser » en quelques sortes. Mme Oxburry a perdu les eaux en plein défilé de la Fashion Week, à Paris…Elle vous en voudra toute votre vie pour ça, je crois. (Rires) Dès que vous êtes petite vous avez toujours été photogénique et déjà votre mère vous avez pardonné pour ça. Elle a toujours vu les choses en grand, elle a toujours jugé que la vie qu’elle a maintenant, elle l’a mérité. Elle s’est battue toute sa vie et en vous elle a vu pleins de ses rêves de petite fille se réaliser. Vous n’aviez pas encore prononcé « maman » qu’elle vous emmenait déjà faire du shopping dans les plus grands et les plus luxueux des magasins d’Australie. » Je l’écoutais maintenant d’une oreille distraite, tout ce discours sur ma mère ne m’intéressait pas, la grande star de l'histoire c'était moi. Mais alors pas du tout. Je ne la détestais pas, c’était une femme tout à fait formidable qu’on pouvait admirer mais elle n’avait jamais eu le portrait idéal d’une mère de famille. C’était une femme d’affaires et rien, même pas ses enfants, ne pourrait changer ça. Je ne pourrais pas vous dire que j’ai été malheureuse, ce serait vous mentir. J’ai l’histoire type d’une fille à papa, née avec une cuillère d’argent dans la bouche, cinquante domestiques pour moi toute seule, des pluies de cadeaux, bref…Ce que tout humain lambda pourrait qualifier de « belle vie ». Si je n’avais pas manqué d’un père et d’une mère tout aurait été parfait. Parfaitement parfait. «…mais ce fut l’heure pour vous d’aller à l’école et votre père y tenait, à ça ! » Cette phrase m’arracha un sourire presque malgré moi, mon père a toujours voulu que je devienne une érudite pour aller à la tête de son entreprise après…Enfin, il préférait que je sois un petit prodige qu’une de ses grandes perches à moitié anorexique qui n’ont rien dans la caboche et qui font la couverture des magazines. Chacun avait son avis mais dans tout les cas, je n’avais pas le mien. « Mademoiselle, vous êtes là ? Vous semblez pensive…. » « Non non, continuez…Ca m’intéresse. » « Bien…Alors nous sommes toujours les années à l’école. Votre entrée à l’université a fait l’effet d’une bombe à votre père, il a jeté un œil sur vos notes et a eu sa phase « ma fille vaut de l’or je vois un avenir de rêve pour elle » comme vous l’appeliez. Et puis vous avez découvert l’art…Tantôt vous nous jouiez du saxophone, tantôt vous accrochiez une nouvelle toile dans votre galerie, tantôt vos parents allaient à un de vos spectacle de danse ou alors vous leur récitiez vos écrits. Même si ils n’ont pas été très présents, mademoiselle, vos parents ont toujours été fiers de vous, vous savez votre famille à une bonne réputation depuis des générations qu’elle a toujours su entretenir…» Et voilà, elle repartait dans son délire « la famille Oxburry est la meilleure ». Mais tout ce qu’elle racontait était vrai. J’étais passionnée par les artistes. Je voulais en être une, ne vivre que de ça, me laisser aller et être heureuse. Je m’étais même fais un ami, un vrai…Pas des gens qui contaient sur moi pour l’argent et la gloire. Il s’appelait Nathaniel, surnommé Nate pour les intimes. On avait à peu près la même enfance, sauf que ses parents l’aimaient. Ils étaient de riches avocats mais ont toujours eu le temps de s’occuper de leur unique progéniture, il en avait de la chance…Je m’entendais parfaitement bien On rentrait de l’école à vélo et j’allais prendre le gouter chez lui, il était intelligent, incroyablement intelligent et c’est ça que j’admirais le plus chez lui…Mise à part sa gueule d’ange. Son élément de prédilection c’était la musique, il avait un véritable don pour le piano et la guitare, à chaque fois que j’allais chez lui, je répétais tout mes pas de danse sur la musique qu’il jouait. Il était ce que j’espérais devenir, un véritable artiste. Pour moi c’était quelqu’un d’absolument parfait, il était gentil, doué, toujours de bonne humeur et incroyablement modeste. Il ne semblait pas s’apercevoir qu’il avait de l’or entre les mains… On avait beaucoup de points communs et c’est pour ça qu’on était les meilleurs amis du monde. Même ma mère n’y avait rien trouvé à redire. Et sur ce point là, j’étais très fière de moi. « … et bien sûr après cela vos années à l’université commencèrent…» Oh oh ! Elle ne savait pas où elle s’aventurait Tennessee… « Comme d’habitude vous excelliez dans la plupart des matières et votre mère décida de vous lâcher un peu…Elle savait que vous étiez quelqu’un de digne de confiance et que vous ne tomberiez pas dans la débauche, donc elle vous a laissé faire. Mais je dois vous dire qu’elle a été un peu déçue, elle pensait que tout les garçons seraient à vos pieds et que vous auriez au moins un petit copain…Mais non…» Ah…Ca me rappelait certains souvenirs, ça ! Des garçons ? Bien sûr qu’il y en avait eu…une dizaine si on comptait ceux qu’il y a eu au lycée…Je ne suis pas une mangeuse d’homme et je n’ai pas envie de le devenir. Je ne suis la femme que d’un seul homme voyons, sauf que l’homme qui voudra bien de moi, je ne l’ai pas encore trouvé ! « Je crois que voilà, c’est tout ce que je sais de votre vie Melle Oxburry…Et je pense que vous cachiez bien des choses…» « Bien plus que le pensiez Tennessee. » « Mais je n’en doute pas.» Aucun mot n’a plus franchi ses lèvres durant le reste du voyage, ça m’a un peu soulagé de voir qu’elle ne me jugerait pas sur tout ce que je ne lui dévoilais pas, après tout…chacun a droit à un petit jardin secret. Mes années université ont été la « découverte » de la vie. Toutes ces différences réunies en un seul endroit pour former un grand ensemble. Des litres d’alcool, des kilos de substances illégales, 50 paquets de clopes en une soirée, des gens qui baisent n’importe quand et n’importe où. Ne vous inquiétez-pas, loin de moi cette idée de devenir la pire des débauchées qu’il soit mais j’ai ouvert les yeux…Derrière la scène il y avait l’envers du décor, il n’ya avait pas que des gens qui vivaient comme des rois et qui avait l’argent d’acheter tout ce qu’ils veulent, et c’est c’que j’ai découvert à l’université. C’était le bon temps. Dieu ! Je devenais mélancolique… Avouons que mes années passées là-bas à apprendre l’art et la manière d’être un bon médecin m’avaient littéralement ouvert les yeux. Tout ce qui brillait n’était pas forcément or. La voiture s’arrêta et le chauffeur descendit en vitesse pour venir ouvrir la portière de Melle Oxburry, une grande jeune femme blonde sortit de la voiture, sous une nuée de flashs de quelques paparazzis qui passaient justement par là. La jeune mannequin était très en vue des créateurs en ce moment, elle avait été découverte sur une plage d'Australie par un photographe, connaissant sa mère. Et depuis, son emploi du temps semblait ne plus avoir de place pour un rendez-vous quelconque. La jeune femme sourit, ses cheveux étaient relevés en un chignon dont quelques mèches rebelles tombaient et elle s’était habillée avec une robe légère en mousseline accompagnée de talons hauts. Certaines personnes se retournèrent sur son passage et elle en profita pour s’enfuir dans son hôtel particulier, plus légère qu’une biche. ♣ Prénom. josiane♣ Comment as-tu connus le forum ? je sais plus mais en tout cas il me plait beaucoup ♣ Quel est ton niveau de RP ? hum...6/10♣ Le code du règlement; Okay By Oct ♥♣ Un dernier mot ? peace&love ♥♣ EXEMPLE DE RP. - Spoiler:
Lùllaby marchait tranquillement dans les couloirs, cherchant la salle de classe. Depuis le temps qu'elle était là, elle devait connaître le plan du lycée par cœur, mais non. Tous ces couloirs, toutes ces salles, elles les connaissaient bien et avait trop de mal à savoir où elles pouvaient bien se trouver. Elle se sentait lasse après toute cette journée de cours. Elle connaissait déjà les trois quarts de ce qu'on avait pu lui parler pendant la journée, donc ce soir pas la peine de réviser. Elle entra dans sa salle de cours et s'assit sur une table, sur sa table. Celle où elle s'installait le plus souvent. Vers la fenêtre et proche de la porte de sortie, un peu au fond, mais de là elle pouvait voir tout qui se passait pendant le cours. Machin qui passait un petit bout de papier à Truc pour enfin le donner à Bidule qui affichait un sourire niais sur son visage. Et le prof qui ne voyait rien et continuait de parler, parler, parler, inlassablement sans que personne ne l'écoute. Elle ? Elle ne faisait rien, elle faisait semblant d'écouter en suivant des yeux son professeur faire les cents pas. Si on lui posait une question, elle se contentait de répondre. Avec ce ton absent, neutre dont tout le monde avait l'habitude. Ce jour-là le prof n'était pas encore là, les uns discutaient, les autres révisaient si jamais une interro surprise arrivait. Lùllaby s'ennuyait, elle mit dans sa bouche, discrètement, un bonbon à la menthe et le fit fondre dans sa bouche. Malheureusement, elle avala accidentellement celui-ci qui vint se loger à travers sa gorge. Elle fit des gestes désespérés, frappant sur la table mais elle avait l'impression que personne ne l'entendait. Lulla essayait de recracher le bonbon, mais ça n'eut pour effet que de l'enfoncer plus loin dans sa trachée. Elle essaya sans succès, de se presser le ventre pour appliquer la bonne vieille méthode de Heimlich, s'agitant dans tous les sens. Elle devait avoir l'air bien ridicule ! Elle sentit enfin des mains autres que les siennes la touchant. Elle étouffait vraiment, là tout de suite et si on ne faisait pas quelque chose elle pouvait crever. Elle passa une main autour de sa gorge et recracha enfin le bonbon parasite. Pendant un instant, elle fut incapable de respirer et les larmes lui montaient déjà aux yeux mais elle se reprit. Tout le monde déjà se regroupait autour d'elle pour lui lancer des « Comment ça va ? » ou « Heureusement qu'on était là ! »Elle n'avait qu'une envie, les envoyer balader et effacer de leur mémoire ce « petit » incident. Elle reprit son air neutre, froid presque insolent et s'efforcer de ne rien montrer de son soulagement. Elle ferma les yeux, puis comme par magie quand elle les rouvrit, la foule n'était plus là et face à elle se trouvait...Alecto. Ce beau jeune homme à qui elle faisait souvent appel pour la sortir des trous dans lesquels elles tombaient souvent. Elle ne s'attendait pas à le voir là, tout de suite, maintenant devant elle. Elle perdait un peu tous ses moyens mais se calma. « Dis ça va pour toi ? » Cette question la surprit, pourquoi ça n'irais pas ? Oh, mais quelle idiote. C'était ironique, bien évidemment, il savait très bien qu'elle avait toujours des ennuis plus où moins graves. Elle décida de jouer la même carte que lui : l'ironie. « Tout va parfaitement bien, pourquoi ? » Elle ne put s'empêcher de dire ça avec un petit sourire en coin, signe qu'elle se moquait bel et bien du jeune homme qui lui faisait face. Elle posa elle aussi ses coudes sur la table et ne put s'empêcher de le trouver...beau. Ses cheveux, ses yeux et ses sourires lui transperçaient le cœur et pourtant, elle se refusait d'avouer qu'elle était amoureuse de lui. Non non non, la chair qui lui servait de cœur n'appartenait qu'à Hugo .
Dernière édition par Katniss S. Oxburry le Lun 25 Avr - 16:20, édité 5 fois |
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