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| Sujet: fuis moi, je te suis. suis moi, je te fuis. ♣& ANGEL Mer 16 Mar - 21:01 | |
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angel shea, wilkinson ft. hayden panettière
angel ♣ wilkinson ♣ angie ♣ 18 juin 1991 ♣ 19ans ♣ americano-australienne. ♣ hétérosexuel ♣ célibataire ♣ i'm cheerleader ♣ Deuxième année en stylisme. ♣
Underco' |
I am who I am. L'habit ne fait pas le moine, comme on dit. Ce n'est pas l'extérieure qui fait l'bonhomme. La personne que nous sommes, est encré à l'intérieure de nous et nous même. A partir du moment où nous jugeons par l'aspect physique de la personne nous ne pouvons absolument rien connaître de cette personne. Ok j'aime les robes, les bustiers, les jupes, les shorts, les escarpins, les lunettes de soleil, le maquillage. Ok, je ne m'achète pas une paire de chaussure à 15$ ou encore un top à 12$, j'aime les marques, et tout le monde n'a pas les moyens de s'habiller en haute couture. J'en profite, et je pense qu'il le faut. Je m'habille classe, suivant la mode, mais en y ajoutant mon grain de sel comme je le fais pour tout et n'importe quoi, étant donner que la mode est ma passion. En ce qui concerne ma taille, je dois avouer que je suis petite, car du haut de mes 1m65 je n'y vois pas grand chose au dessus. /out/ Niveau caractère, je suis quelqu'un de très ordonnée, et qui s'est très bien ce qu'elle fait. Je ne suis pas manipulatrice, ou encore capricieuse. Je suis plutôt la gentille sorcière, qui reste sur ses gardes. Il suffit que l'on tente une fois de me poignarder dans le dos, pour que je sorte mes vilains sortilèges. J'aime beaucoup m'amusé, faire la fête, boire, fumer, aguiché les beaux garçons. C'est pourquoi y en a souvent un nouveau dans mon lit, appelé ça trainé si vous le voulez, mais j'ai mes raisons. Je profite maintenant de ma vie, comme je le peu, et comme je l'entends. Je ne suis pas une de ses filles qui s'arrête sur des fichus mythe qu'on raconte sur moi. Je reste moi-même et peu importe les rumeurs qu'on balance. Je sais ce qui est vrai, et cela ne m'empêche pas de vivre, les gens sont toujours prêt à tout pour rabaisser ceux qui ont la cote. Qu'on m'aime, ou qu'on ne m'aime pas, je ne m'arrête pas de vivre pour les autres. Je vis au jour le jour, et peu importe ce qu'arrivera le lendemain.
together all the while" you can never say never
My beautiful life. C'était sans doute la première fois que je prenais l'avion, et j'avais 7ans. Petite, et je ne comprenais pas vraiment bien les choses, et sans doute que dans dix ans je ne me souviendrais plus de cette journée, mais c'était important pour mes parents. L'Upper west side ne nous convenait plus, et étant donner la folie du moment aux états unis sur la réputation de notre père, il fallait que nous, c'est-à-dire moi et Adrien nous éloignons pour garder notre minimum de vie privée. Nous avons tourné tout les deux dans une série, dans la même d'ailleurs, et cela même s'il a deux ans de plus que moi. Nous n'étions pas frère et sœur, mais voisins. Enfin vous voyez le genre de série à la 7 à la maison. Enfin bon, l'avion allait nous emmener dans la ville natale de nos parents, soit dit en passant, Perth, Australia. C'est sur que ce n'est pas new-york, mais le style en est complètement différent, et cela me plaisait beaucoup de voir des palmiers à droite à gauche, et cette mer bleu turquoise, bordé d'un sable blanc qui se glisse sous les pieds sans même les gratté. C'est apaisant, et cela fait énormément de bien, je dois le dire. La nouvelle villa, était deux fois plus grande qu'à New-York, et pourtant nous n'allions être que tout les deux, avec notre tante Norah. A cette époque elle n'avait seulement que douze ans. Et elle jouait déjà les nourrisses. Elle habitait dans une grande maison chez notre grand mère dans le quartier Nord de Perth. Et tout les matins elle était là, pour nous emmener à l'école, et le soir pour nous garder jusqu'à ce que notre mère est terminée de travailler. Elle passait quelque fois plusieurs nuits d'affilés à nos cotés étant donner que notre mère était assez débordée avec le livre qu'elle écrivait. D'ailleurs à la sortie de son livre, elle a vendu plus d'un million d'exemplaire, ce qui fait qu'elle a gagné énormément d'argent, et qu'elle a prit bagages pour rejoindre notre père à New-York. Nous, âgé de 16 et 18ans, cela ne nous gênait pas étant donner que nos parents n'ont jamais vraiment été présent dans notre vie. Nous nous passons très vite d'eux, et quand ils sont là, on passe le plus clair de notre temps tous ensemble pour rattraper le temps perdu, mais à force, c'est plus que le mont Everest qui nous éloigne. Oui la pente est dur pour recoudre nos liens, mais nous en demandons pas tant, ayant l'habitude d'être que nous. Déjà à 12 et 15ans nous étions comme responsable. Tout était déjà clair dans notre tête, ayant toujours été à bonne école il est clair que nous avons une maturité que ceux de notre âge ne disposait pas. La culture qui nous avait été fournit nous aidait à savoir que faire quand il nous arrivait le moindre problème, de plus, nous avons toujours su rester solidaire.
Malheureusement, nous nous attendons toujours à tout et n'importe quoi dans la vie, à ce que l'on soit viré du boulot qu'on aime, à être tromper par la personne que l'on aime, perdre un ami, marcher dans des excréments, tomber du lit, prendre une douche n'ayant plus d'eau chaude. A tout, sauf au chose qui sont réellement grave, des événements qui tuerons notre personne, achèverons tout malin plaisir d'être vraiment heureux. La mort nous fait peur, elle nous rend faible, nous rend triste, et c'est pourquoi nous n'y pensons jamais. Elle est notre plus grand crainte, c'est pour ça que toute notre haine se porte vers elle. Mais nous ne réalisons pas que tout peu arrivé dans la vie, et sans exception pour celle-ci. Oui, elle emporte ceux qui ne val pas la peine d'être emporter, mais tout arrive si vite que nous perdons tout contrôle. Cette voiture complètement retourner, et en flamme, reste gravé dans ma mémoire, je la revois dans chacune de mes nuits. Je revois mon frère recouvert de sang, mais encore envie, dans mes bras, en pleure, et enragé de lui-même, et de se camion qui n'a pas vue le STOP. Soit il roulait vite, mais le fameux camion était bel et bien en tord. De plus, cela était un délit de fuite étant donner qu'il est parti sans prendre la peine d'aller voir l'accident qu'il avait causé. Et moi je le serrais contre moi, me demandant pourquoi est-ce que cela devait arrivé, je ne retenais pas mes larmes, car pour la première fois de ma vie, mon cœur était brisé, je ne savais pas quoi faire, pas comment prendre cela en main. Je venais de perdre la personne que j'aime, étant également le meilleur ami de mon frère, Adrien. Je l'aimais, il était ma raison de vivre, la raison de se sourire sur mes lèvres, il était mon rayon de soleil, ma joie de vivre, ma moitié. Et je l'ai perdu. Mais entre tout cela, j'ai eut la peur de perdre mon frère également. Et j'ai eut une chance inouï qu'il survive à l'accident, en réussissant à sortir de la voiture qui allait finir en tas de cendre. Nous nous sommes rapprocher alors, petit à petit, lui et moi. Et maintenant j'ai bientôt vingt ans, et lui vingt-deux. Il est comme mon meilleur ami, et je n'accepterais jamais de le perdre. Qu'on essaie de me le voler, et je serais prête à tout, même à tuer pour le récupérer. Je ne crois plus pouvoir aimer un jour, et collectionne les conquêtes, seulement, je sais qui je suis, et reste tel que je l'ai toujours été. Je ne veux pas m'attaché, si s'attaché c'est souffrir.
THE BEGINING behind the screen. blue. ♣ 16ans. ♣ comment as-tu connus teenage dream ? Par le saint esprit tiens ! ♣ qu'est-ce qui t'as fait venir ici ? Je sais pas.. L'ambiance ? (a)♣ quel est ton niveau de rp ? 20lignes minimum, et encore.. je dirais 30.♣ combien de fois par semaine penses-tu être présent sur le forum ? Tout les jours, mais bon vous savez déjà à peu près mon emploi du temps, la semaine je passe et le weekend je suis là. ^^ ♣ quel est le code du règlement ? Ta mère ! ♣ un petit quelque chose à dire ? fuck me, i've lot's of money.
- "→ exemple de rp,":
- J. Billy Summers a écrit:
take time to realize
Après l’avoir remercier, encore, et encore elle m’expliqua qu’un lit, dans une chambre était bien confortable qu’une table de cuisine. Et je dois dire que c’est une très bonne résolution, seulement sur le coup on y pense pas trop. A dire vrai, on pense pas.. « trop. On pense pas trop quand on est dans se genre d’état d’esprit Oct. Tu sais, on réfléchit plus, on laisse les hormones faire les choses. » j ‘eus un sourire en coin, et je dois dire que se passage me gêne un peu, parce que bon c’est pas le meilleur à entendre, et que bon vous êtes quand même un peu jeune pour discuter de.. Sexe. Mais bon, il n’est jamais trop tôt quand on voit tout ce qu’il se passe, les jeunes d’aujourd’hui sont les mêmes qu’autre fois, voir même pire. Bref, je ne vais pas vous demandez de vous bouchez les oreilles parce que bon je ne vais pas m’éternisé sur le sujet, et puis je vous ai dit que je vous raconterais tout, alors autant tout entendre, dans les moindre petits détails les jeunes. Je finis par émettre un léger rire, avant d’écouter ma meilleure amie me répondre après que je me sois rassuré qu’elle est pris un doliprane pour son mal de tête. « Ben oui c’est la première chose que j’ai fait en me levant figure toi, sinon tu aurais dû t’occupais du ménage toute seule aujourd’hui. Et oui c’est sûr qu’on va dire qu’il y tient plus que moi, et que comme contrairement à toi j’ai pas mal bu ben j’en subis les conséquences maintenant, et encore ca va bizarrement je n’ai pas vomis. » elle n’avait pas vomis ! C’est si étonnant, car bon, nous avons toute les deux un état très différent quand nous sommes complètement ivre. Moi je suis plutôt là, à aller vers n’importe qui, n’importe quand, et à me trémousser, ce qui est très mais alors très dangereux quand je suis avec quelqu’un, enfin.. Quand je suis en couple dirais-je. Je ne me tarde pas sur la personne que j’aime mais sur tout le monde. S’en est même très inquiétant. Cependant, le lendemain la gueule de bois me rend la pareil. October elle de son coté, vomis jusqu’à ne plus rien avoir dans l ‘estomac, mais cela bien après s’être défouler jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Car c’est l’état second où elle est, parce que chez elle, il y a plusieurs étapes. 1) je commence à rire pour rien, et à dire tout ce que je pense sans même avoir de la pitié pour les choses des plus vexantes. 2) je saute partout, et emmène toute la troupe avec moi parce que bon.. Plus on est de fou, plus on rit. 3) je suis malade a en crevé, sortez moi de se pétrin ! « Pas vomis.. Tu veux que j’aille te chercher la bassine ? » lui dis-je en la regardant fixement, puis je pose une main sur son genoux et la regarde très attentivement « t’es sur que tu veux pas quelque chose à boire, un verre d’eau ? Les toilettes sont là bas, au cas où qu’il y aurait des restes. Comprends moi.. On est en plein ménage. » , je fronce un sourcil en la regardant la plus sincèrement possible, puis pouffe de rire, et je la vois froncé les sourcils voulant dire - tais toi ou je mords ! - et c’était totalement significatif, alors valait mieux que je me taise.
Je m’suis levée, parce que mon estomac criait famine, et je dois dire qu’en ce moment, il le crit beaucoup, étant donner que pendant ma petite dépression je ne mangeais plus, quand j’ai recommencer à manger c’était à petite dose, puis j’ai retrouver ma faim d’ogre et me voilà partie pour reprendre tout les kilos que j’ai perdu. Les pépitos s’ouvraient à moi, et je ne perdis pas de temps pour les prendre dans ma main, les ouvrir et m’installer avec sur le canapé en m’en engloutissant deux dans la bouche, tendant le paquet à October, qui en prit un et me proposa comme à une petite fille n’ayant pas manger depuis des mois de manger tout le reste. Je regardais le paquet, puis haussais les épaules et finit ce que j’avais dans la bouche avant d’en reprendre un. « Décidemment, j’aurais espérer perdre du poids. Là je vais devenir énorme. Tu voudrais pas te mettre au jogging avec moi ? On pourrait en faire tout les matins toute les deux ? Ou je sais pas, le soir ? Enfin c’est qu’une hypothèse anti-obésité. » lui dis-je en reprenant un dernier pépito. Je regardais autour de moi, et aperçut le dvd - mère fille : mode d’emploi, et sourit. « tu te rappels du nombre de fois où on a vue se film ?, je crois bien qu’on en connait carrément les répliques par chœur. », je pose le paquet sur la table de salon, puis m’allonge et pose ma tête sur ses genoux avant d’expirer doucement et de jouer avec mes cheveux. « J’ai décider que je ferais la grève du ménage jusqu’à demain. Piouf, j’en peu plus. Puis au final, c’est pas si .. Sal que ça… c’est juste un peu le désordre on va dire. » dis-je en émettant un petit rire avant de regarder mon portable et de répondre au sms d’Andrew.
Dernière édition par Angel Shea Wilkinson le Sam 19 Mar - 13:31, édité 4 fois |
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