take time to realize

« Billy ! », toujours entrain d'attendre devant la porte de la salle de bain, qui elle d'ailleurs ne s'ouvrait pas, October à finit par perdre patience, « Billy ouvres cette porte ! Sinon j'ai juste à appuyer sur un bouton pour.. » elle n'eut même pas le temps de terminer ça phrase que je le lui avais couper. « J'arrive, attends deux.. secondes. » je suis très vite sortie, en emportant tout ce qu'il fallait avec moi, et je suis sortie en lui déposant un baiser sur une de ses joues le sourire aux lèvres. Je suis donc allée dans ma chambre où Andrew était entrain de s'habiller, et je déposa mes lèvres sur les siennes, avant de moi-même m'habiller n'en ayant pas eut le temps à cet instant à cause d'October, donc j'ai fermer la porte de ma chambre. Après en être sortie, Andrew et Gabe était dans le salon, et bizarrement plus je me rapprochais et plus je trouvais la conversation.. étrange. « Vas-y, vas-y ! Non par là, attends tu vas sur les toits, et j'essaie de le choper par derrière. ». J'avoue que c'était.. très stratégique, mais tellement bizarre. Enfin bon, ils étaient à fond de-dans, et quand je suis arrivé à leur hauteur, je me suis relevé du canapé et suis allée chercher une pomme en attendant October qui était dans la salle de bain, d'ailleurs c'était tout aussi étrange que Gabe ne la rejoigne pas comme d'habitude. Enfin, après un mois de cohabitation toute les deux, on a pris nos petites habitudes. D'ailleurs les gars allaient partir pour rejoindre Eli je ne sais trop où, et à la minute où October est sortie de la salle de bain tout s'est accélérer. Les gars nous ont embrassé et sont partis on ne savait trop où. En tout les cas, une chose est sur, c'est que nous avions pas mal de choses à faire toute les deux, déjà vue que les gars avaient été là tout le weekend, un grand ménage s'imposait. Il y en avait un peu partout, et le pire s'était dans les chambres, heureusement qu'aucune d'entre nous n'allait mettre les pieds dans celle de l'autre dans ses cas là, parce que c'était pas très jolie à voir. « Bon.. On commence par quoi ? Au pire, je m'occupe de la salle de bain, et toi de la cuisine, en suite on fait le salon et le séjour ensemble, puis chacune sa chambre. T'en penses quoi ? Le bureau il est bien, il est propre. Donc on y touche pas. » lui ai-je dis en souriant, avant de lui tendre un chiffon et le produit, puis j'ai foncé dans la salle de bain pour tout y nettoyer de fond en combles. A dire vrai, si c'est autant le souk, c'est à cause des soirées.. En générale on fait ça chez nous, ou sinon on revient des soirées un peu saoul et du coup on se cogne partout, et après dans les chambres c'est une vrai partie de jambes en l'air, du coup il y a des vêtements partout. Enfin, comme les jeunes aujourd'hui quoi.. Il me semble que s'est normal. Enfin, vous comprenez pourquoi je suis pas trop méchante avec vous en ce qui concerne vos chambres, parce que moi-même j'étais pas très ordonnée à certains moments, bien que je ne supporte pas de négliger n'importe quelles pièces. Après avoir passer le chiffon un peu partout, j'ai pris l'aspirateur, et une fois terminée je me suis posée sur le canapé. « j'en peu déjà plus, je suis tellement crevée.. J'ai envie de dormir, j'aimerais bien tu vois.. dormir, ça me plairait vraiment très beaucoup. Et je crois que cette nuit j'ai dû dormir trois heures. Après être rentrée c'était l'orgie total. » lui ai-je dit en soupirant. Puis j'ai poser mes pieds sur la table de salon, et je l'ai regarder « avant et après avoir fait l'amour, il a fait que de parler ! J'en avais tellement marre, tu ne peux même pas t'imaginer à quel point, puis après il faisait que de balader ses mains sur moi, j'en pouvais plus, il m'étouffait. Mais bon.. C'est Andy saoul. Tu l'as bien vue hier soir à la soirée après avoir bien bue comment il était avec moi. » je me suis vite tût, puis j'ai regarder October en riant, je ne pouvais malheureusement pas me retenir de rire. « Quand il m'a levé et qu'il m'a posé sur la table de la cuisine ! », j'ai de nouveau ris, puis j'ai regarder à droite à gauche, avant de repenser à Gabriel et October «  tu me diras, Gabe était bien fait lui aussi. ».

J’ouvrais légèrement les paupières et le vis assis sur le rebord du lit. Je regardais le réveil et constatais qu’il était déjà dix heures. Je m’étirais légèrement, puis posa une main sur mon front tellement ma tête me faisait mal. Je crois que hier soir j’avais un peu trop abusé de l’alcool et ce matin j’en obtenais les conséquences. Du coup comme je marmonnais, Gabriel se tourna vers moi avec son petit sourire moqueur. Je me relevais légèrement et lui pris la main pour l’entrainer avec moi. « Tu vas où comme ca ? » lui demandais-je après l’avoir embrasser. « Je dois aller avec Andrew voir Eli. » « Hmm non tu restes avec moi.. » « Désolé jolie môme, mais promis je repasse plus tard. Enfin si je peux. » Je fis la moue. « C’est promis. » Je soupirais légèrement, puis l’embrassa tendrement. « Bon okay, de toute façon je vais faire le ménage avec Billy. Donc file avant que je change d’avis. » Il sourit et m’embrassa « Je t’aime. » Je répondis à son baiser avant qu’il ne se relève. « Je t’aime aussi. » Je le regardais partir puis après cinq minutes je me fis une raison et décida de me lever vu ce qu’il m’attendait. Et puis si je trainais trop, je voyais déjà Billy faire son apparition dans ma chambre pour m’hurler dessus en me disant de me lever. En plus, j’avais besoin d’une bonne aspirine alors je me dirigeais enveloppé de ma grosse couette dans la salle de bain. Mais bien sûr celle-ci était occupé, et entendant les garçons devant leur jeu vidéo, j’en déduis que ca ne pouvait être qu’une seule personne. « Billy ! » Hurlais-je tout en frappant sur la porte assez fort pour qu’elle en ait marre à la longue. Je lui faisais des menaces en priant pour que ca marche, mais je n’eu même pas le temps de finir ma phrase qu’elle me répondit et ouvrit enfin la porte. Elle m’embrassa en passant puis je fonçais dans la salle de bain.

J’ouvris direct le tiroir à pharmacie et prit des cachets avant de filer sous la douche. J’essayais de ne pas trop trainé histoire de ne pas louper Gabe avant qu’il ne parte et pour une fois de plus, que je ne me fasse pas hurler dessus par Billy parce qu’elle allait de suite penser que je ne voulais pas faire le grand nettoyage. Ca faisait un mois que l’on vivait ici et c’était vraiment le bazar. C’était comme si on n’arrivait pas à tout gérer. Bon en même temps entre les soirées, Gabe et Andrew, ben c’était un peu normal que ca soit dans cet état là. Je sortis donc de la douche et une fois à peu près sèche je partis dans ma chambre m’habiller. Une fois prête, je filais dans le salon où je dis une dernière fois au revoir à mon petit ami avant qu’il ne parte avec Andrew. Lorsqu’ils partirent, on se répartie les tâches avec Billy et je filais donc dans la cuisine. C’était vraiment le gros bordel. Il y avait de tout et n’importe quoi comme des boites vides, des bouteilles de tout genre éparpillé dans les quatre coins de la cuisine, des vieux restes.. Enfin bref, il était vraiment temps de nettoyer cette porcherie. Je jetais donc tout à part les affaires encore en bon état et nettoyais la table, le comptoir, etc..

Lorsque j’eu terminé, je rejoignais Billy qui s’accordé une pause dans le salon. Celle-ci commençais à parler et je ne pu m’empêcher de rire. Vu les cernes qu’elle avait je me doutais bien qu’elle n’avait pas du beaucoup dormir hier. Puis elle me parla d’Andrew un peu étouffant lorsqu’il avait bien bu. Et c’est vrai que ca j’avais bien pu le constater à la soirée. « Ouais ma pauvre Billy, t’as pas de chance. Il faudrait tu sais un espèce de bouton pour les mettre sur arrêt parfois. » Je ris légèrement. « Et en parlant de la table de la cuisine, la prochaine fois vous faites vos cochonneries ailleurs, parce que pour la nettoyer après merci hein ! » Je ne pu m’empêcher de rire à nouveau lorsqu’elle me parla de l’état dans lequel était Gabe. « Ouais faut dire qu’il avait pas mal bu lui aussi, mais bon c’est surtout moi qui me tape la migraine maintenant. Et puis nous au moins on n’a pas fait de cochonneries ! » Je me repris. « Enfin du moins pas dans la cuisine. » Je lui balançais mon chiffon sur elle en riant de nouveau.

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Bon, non pas que c’était le grand bazar dans le loft, mais c’était le grand bazar. Non franchement, pire que tout, pire que la chambre de Britney on va dire. Y en avait absolument partout. Les garçons eux, ne nous ont pas aidé, non pas qu’ils soient macho, mais ils avaient quelque chose de prévu, et heureusement ! Parce que là du coup ils y ont échapper, mais s’ils n’avaient rien eut de prévu, ils y seraient passé. Je pense que j’aurais fait nettoyer la table de cuisine à Andrew. Ma pauvre meilleure amie, je n’avais même plus penser à cette fichu table. Assise dans le canapé, pour faire une pause, quand on revint sur la soirée d’hier soir, elle me répondit « Et en parlant de la table de la cuisine, la prochaine fois vous faites vos cochonneries ailleurs, parce que pour la nettoyer après merci hein ! » et je dois dire que je m’en voulais beaucoup, d’ailleurs j’ai plaqué ma main sur la bouche, puis je l’ai prise dans mes bras en disant, «  je m’excuse, je m’excuse, je m’excuse, je m’excuse, je m’excuse..[…] » et d’ailleurs elle a bien rigoler en me caressant le dos pour me dire que c’était pas grave. Mais bon il est vrai que je pourrais quand même faire un minimum attention, et nettoyer ce que je sali derrière moi. Au lieu que ce soit ma meilleure amie. Mais comme je n’y ai plus penser, je lui ai dit de faire la cuisine, mais bon du coup je n’aurais pas dû, j’aurais dû réfléchir avant et lui dire de faire la salle de bain. M’enfin, c’était chose faite en tout les cas. Je n’avais fait que la salle de bain, que j’étais déjà achevée. C’Était d’ailleurs assez hilarant, quand on regardait tout autour de nous. Vue le bazar qui nous entourait. « Ouais ma pauvre Billy, t’as pas de chance. Il faudrait tu sais un espèce de bouton pour les mettre sur arrêt parfois. » avait-elle dit en riant légèrement, et je dois dire que je l’ai complètement suivit, c’est vrai que si on avait, nous les femmes, une télécommande à notre disposition, fournit avec notre petit ami, avec toute les fonctionnalité, du genre PAUSE, STOP, PLAY, ACCELERER. Ce serait assez pratique, et intelligent. Mais bon, étant humain, nous n’avons pas encore évoluer au point que notre ADN soit connecté avec la nouvelle technologie. « Oui, fin.. Faudrait déjà qu’on soit des genre de robots ou une connerie comme ça. En tout cas, c’est sur que ce serait utile, je l’aurais mis sur pause toute la nuit jusqu’au lendemain matin, au moins j’aurais pus dormir pour dormir quoi. ». J’ai rit puis l’ai regarder en l’écoutant me parler de l’état Gabe d’hier soir. « Ouais faut dire qu’il avait pas mal bu lui aussi, mais bon c’est surtout moi qui me tape la migraine maintenant. Et puis nous au moins on n’a pas fait de cochonneries ! » j’ai crus que j’allais mourir, tellement je rigolais, mais une chose était déjà bien : je me retenais de me faire pipi dessus. Non sans rire. Je ne faisais que de me rappeler de la soirée, et l’état d’Andrew, me faisait bien rire, étant donner que j’en avais un petit coup dans le nez aussi, c’est vrai qu’on s’est un peu.. Montrer devant tout le monde, enfin un peu quoi. «  Ohlala.. Teee.. Chut !!! Il était chaud, j’étais chaude, on était chaud. Tu connais le verbe ! C’était chaud quoi. » dis-je en me mettant à éclater de rire. Puis j’ai posé ma main sur son front « t’as pris un doliprane ? En tout cas, c’était sur que Gabe tiendrait plus que toi, et heureusement pour lui tu me diras hein.. Ma pauvre Oct’, toi et l’alcool ça fait 36. Tout comme moi quoi. Sauf qu’hier j’ai pas trop bus, donc tu vois j’ai la forme, je suis juste fatiguée à cause de mon manque de sommeil. » lui ai-je dit en lui souriant. Puis je me suis levée pour aller fouiller les placards à gâteaux, puis suis revenus avec un paquet de Pepito « j’ai faim. ». Je me suis assise sur le canapé puis lui ai tendu le paquet après en avoir pris deux que j’ai engloutit dans ma bouche comme une goinfre.

Pour une journée ménage, ce fut vraiment le cas. Personnellement je n’en avais pas très envie, mais bon il fallait bien le faire. C’est pourquoi après avoir répartie les tâches avec Billy, je partis m’occuper de la cuisine pendant qu’elle alla de son côté dans la salle de bain. Cela me pris pas mal de temps mais je finis par en voir le bout et tout était désormais propre, enfin ca le sera jusqu’à ce que Billy et Andrew recommencent leurs cochonneries. Bon les enfants je ne vais pas vous précisez quoi exactement et même moi d’ailleurs je ne le savais pas et je ne voulais pas le savoir même si je m’en doutais un peu de ce qu’il a bien pu se passé sur cette table. Mais bref, reprenons. Une fois la cuisine nettoyée, je rejoignais donc votre tante histoire de faire une petite pause avant que nous n’attaquions le salon ensemble puis que je m’occupe de ma chambre. Je crois bien que le pire était à venir. Parce qu’il est vrai que nos chambres n’étaient pas des exemples de bases sur l’ordre et la propreté. En l’espace d’un week-end c’était devenu une vraie porcherie alors je vous laisse bien imaginez..

« je m’excuse, je m’excuse, je m’excuse, je m’excuse, je m’excuse..[…] » Elle me faisait rire à me le répéter sans cesse après que je lui avais fait la remarque en ce qui concernait le fameux nettoyage de la cuisine. Billy me prit dans ses bas, et moi je lui caressais le dos, continuant à rigoler. « C’est pas grave, t’inquiète pas. Mais bon à l’avenir souviens toi qu’une chambre avec un lit, c'est plus pratique qu’une table.. ». Je me détachais d’elle en rigolant une nouvelle fois à propos de ca et surtout à cause de la suite. C’est vrai que je l’a comprenais sur ce point, quand t’as envie de dormir ben tu ferais tout pour être tranquille et avoir la paix. D’où l’histoire des télécommandes qui seraient pratiques et livrées avec le petit ami. Je crois pas que ca ce fera un jour à moins que votre copain ne soit une poupée géante à la Ken, ce qui dans un sens ne serait pas terrible non plus. « Oui, fin.. Faudrait déjà qu’on soit des genres de robots ou une connerie comme ça. En tout cas, c’est sur que ce serait utile, je l’aurais mis sur pause toute la nuit jusqu’au lendemain matin, au moins j’aurais pus dormir pour dormir quoi. » « C’est sûr, mais bon tu ne vas pas te plaindre de lui non plus, faut dire qu’il y a pire dans le genre collant. » Et sur le coup ca me fit penser directement à Kevin Johnson. C’était un garçon que l’on avait connu toutes les deux au lycée. Il était sorti plus ou moins avec moi, jusqu’à ce que je le largue le trouvant trop collant à mon goût. Mais le truc c’est que malgré ca il était encore plus collant et ca avait le dont de m’agacée. Un jour Billy était allée le voir pour lui faire comprendre que je n’en avais plus rien à faire de lui et c’est à ce moment là qu’il commença à s’intéressé à ma meilleure amie, la collant a son tour. C’était une vraie plaie, une vraie horreur.

Je crois que je ne pouvais plus m’arrêter de rire lorsqu’elle me sortie qu’en gros ils étaient chauds ce soir là. C’est sûr que je n’allais pas dire le contraire. « t’as pris un doliprane ? En tout cas, c’était sur que Gabe tiendrait plus que toi, et heureusement pour lui tu me diras hein.. Ma pauvre Oct’, toi et l’alcool ça fait 36. Tout comme moi quoi. Sauf qu’hier j’ai pas trop bus, donc tu vois j’ai la forme, je suis juste fatiguée à cause de mon manque de sommeil. » « Ben oui c’est la première chose que j’ai fait en me levant figure toi, sinon tu aurais dû t’occupais du ménage toute seule aujourd’hui. Et oui c’est sûr qu’on va dire qu’il y tient plus que moi, et que comme contrairement à toi j’ai pas mal bu ben j’en subis les conséquences maintenant, et encore ca va bizarrement je n’ai pas vomis. ». Je la regardais ensuite ce lever allant dans la cuisine et je l’entendis de ma place toucher à tout. « Et fait gaffe j’ai tout rangé je te signal ! ». Billy revint avec un paquet de Pépito et retourna sur le canapé. Après m’avoir dit qu’elle avait faim elle me tendit le paquet que je pris pour en sortir un à mon tour. J’en croquais un morceau et l’a vis se mettre les deux qu’elle avait prit, dans sa bouche et je ne pus m’empêcher de rire en la voyant faire. « Oula, faut croire en effet que t’avais vraiment faim ! Tiens je te laisse le reste du paquet. » lui dis-je en lui redonnant le paquet de gâteaux.

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Après l’avoir remercier, encore, et encore elle m’expliqua qu’un lit, dans une chambre était bien confortable qu’une table de cuisine. Et je dois dire que c’est une très bonne résolution, seulement sur le coup on y pense pas trop. A dire vrai, on pense pas.. « trop. On pense pas trop quand on est dans se genre d’état d’esprit Oct. Tu sais, on réfléchit plus, on laisse les hormones faire les choses. » j ‘eus un sourire en coin, et je dois dire que se passage me gêne un peu, parce que bon c’est pas le meilleur à entendre, et que bon vous êtes quand même un peu jeune pour discuter de.. Sexe. Mais bon, il n’est jamais trop tôt quand on voit tout ce qu’il se passe, les jeunes d’aujourd’hui sont les mêmes qu’autre fois, voir même pire. Bref, je ne vais pas vous demandez de vous bouchez les oreilles parce que bon je ne vais pas m’éternisé sur le sujet, et puis je vous ai dit que je vous raconterais tout, alors autant tout entendre, dans les moindre petits détails les jeunes. Je finis par émettre un léger rire, avant d’écouter ma meilleure amie me répondre après que je me sois rassuré qu’elle est pris un doliprane pour son mal de tête. « Ben oui c’est la première chose que j’ai fait en me levant figure toi, sinon tu aurais dû t’occupais du ménage toute seule aujourd’hui. Et oui c’est sûr qu’on va dire qu’il y tient plus que moi, et que comme contrairement à toi j’ai pas mal bu ben j’en subis les conséquences maintenant, et encore ca va bizarrement je n’ai pas vomis. » elle n’avait pas vomis ! C’est si étonnant, car bon, nous avons toute les deux un état très différent quand nous sommes complètement ivre. Moi je suis plutôt là, à aller vers n’importe qui, n’importe quand, et à me trémousser, ce qui est très mais alors très dangereux quand je suis avec quelqu’un, enfin.. Quand je suis en couple dirais-je. Je ne me tarde pas sur la personne que j’aime mais sur tout le monde. S’en est même très inquiétant. Cependant, le lendemain la gueule de bois me rend la pareil. October elle de son coté, vomis jusqu’à ne plus rien avoir dans l ‘estomac, mais cela bien après s’être défouler jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Car c’est l’état second où elle est, parce que chez elle, il y a plusieurs étapes. 1) je commence à rire pour rien, et à dire tout ce que je pense sans même avoir de la pitié pour les choses des plus vexantes. 2) je saute partout, et emmène toute la troupe avec moi parce que bon.. Plus on est de fou, plus on rit. 3) je suis malade a en crevé, sortez moi de se pétrin ! « Pas vomis.. Tu veux que j’aille te chercher la bassine ? » lui dis-je en la regardant fixement, puis je pose une main sur son genoux et la regarde très attentivement « t’es sur que tu veux pas quelque chose à boire, un verre d’eau ? Les toilettes sont là bas, au cas où qu’il y aurait des restes. Comprends moi.. On est en plein ménage. » , je fronce un sourcil en la regardant la plus sincèrement possible, puis pouffe de rire, et je la vois froncé les sourcils voulant dire - tais toi ou je mords ! - et c’était totalement significatif, alors valait mieux que je me taise.

Je m’suis levée, parce que mon estomac criait famine, et je dois dire qu’en ce moment, il le crit beaucoup, étant donner que pendant ma petite dépression je ne mangeais plus, quand j’ai recommencer à manger c’était à petite dose, puis j’ai retrouver ma faim d’ogre et me voilà partie pour reprendre tout les kilos que j’ai perdu. Les pépitos s’ouvraient à moi, et je ne perdis pas de temps pour les prendre dans ma main, les ouvrir et m’installer avec sur le canapé en m’en engloutissant deux dans la bouche, tendant le paquet à October, qui en prit un et me proposa comme à une petite fille n’ayant pas manger depuis des mois de manger tout le reste. Je regardais le paquet, puis haussais les épaules et finit ce que j’avais dans la bouche avant d’en reprendre un. « Décidemment, j’aurais espérer perdre du poids. Là je vais devenir énorme. Tu voudrais pas te mettre au jogging avec moi ? On pourrait en faire tout les matins toute les deux ? Ou je sais pas, le soir ? Enfin c’est qu’une hypothèse anti-obésité. » lui dis-je en reprenant un dernier pépito. Je regardais autour de moi, et aperçut le dvd - mère fille : mode d’emploi, et sourit. « tu te rappels du nombre de fois où on a vue se film ?, je crois bien qu’on en connait carrément les répliques par chœur. », je pose le paquet sur la table de salon, puis m’allonge et pose ma tête sur ses genoux avant d’expirer doucement et de jouer avec mes cheveux. «  J’ai décider que je ferais la grève du ménage jusqu’à demain. Piouf, j’en peu plus. Puis au final, c’est pas si .. Sal que ça… c’est juste un peu le désordre on va dire. » dis-je en émettant un petit rire avant de regarder mon portable et de répondre au sms d’Andrew.

« Trop. On pense pas trop quand on est dans se genre d’état d’esprit Oct. Tu sais, on réfléchit plus, on laisse les hormones faire les choses. » « Oui ca je le sais bien.. Mais je préférerais que vos hormones vous guide au moins jusque dans ton lit, enfin du moins ta chambre. » Je laissais échapper un léger rire. Je la comprenais, enfin comprenais ce qu’elle voulait dire parce que j’étais souvent dans ce cas là, ou sous le feu de l’action et bien on agit sans réfléchir en nous disant que par exemple c’est pas très propre de le faire sur une table comme pour le cas de Billy et Andrew. Mais ca me faisait bien rire la manière dont elle voulait au départ se faire excuser, mal à l’aise pour ce que je lui avais dit. Continuant sur le sujet d’hier soir, il est vrai que pour une fois je n’avais pas vomis, ce qui eût le don d’étonné ma meilleure amie, qui me connaissant savait parfaitement dans quel état je me trouvais un lendemain de fête. Billy se foutait de moi, et j’étais à la limite de lui balançais le coussin qui se trouvait derrière moi pour qu’elle arrête de rire. Mon regard en disait long sur ce que je pensais et je crois bien qu’elle l’avait parfaitement saisit. « Non c’est bon je veux rien et arrête sinon je vais faire la tête toute la journée et tu vas te débrouiller toute seule ! » Je fronçais les sourcils puis finis par rigoler en l’a voyant sa petite moue qu’elle faisait parfaitement lorsqu’elle voulait montrer qu’elle était vexée.

Ayant faim, Mademoiselle partie dans la cuisine et revint peu de temps après, un paquet de Pépito dans les mains. La connaissant question nutrition, Billy a toujours était celle qui mangeait sain et équilibré ne voulant pas prendre un gramme, alors que moi ben ca a toujours était tout le contraire. Alors la voir s’empiffré de gâteaux même si je savais qu’elle les aimait cela, ben ca m’étonné. Du coup j’ai même préféré lui rendre le paquet pour qu’elle le finisse. Une fois tout avalé, elle en prit un dernier en me proposant le truc qui ne me rend pas très enthousiaste sur le coup : le jogging. Non pas que je suis une grosse feignasse mais bon, je n’étais pas trop sport quoi. Billy me proposa soit le matin ou le soir et j’avais envie de dire simplement, aucun des deux. Enfin bon, par la même occasion je regardais mon ventre et me dis que peut-être ca ne ferait pas de mal un peu de sport. Je la regardais, pendant qu’elle attendait toujours une réponse. « Hum le sport de chambre ca compte pas ? » Je ris légèrement et repris « Bon c’est vrai que j’en aurais un peu besoin aussi parce que les Maltesers ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour maigrir. Donc tous les matins je dirais ? » Je lui fis un petit sourire, et regarda à mon tour le fameux dvd ‘Mère/ fille : mode d’emploi.’ C’est simple, toutes les deux ont en étaient accros. Quand on ne savait pas quoi faire, quand ca n’allait pas, etc.. On se le regardait, et ca depuis des années. « Oui, ca en devient même flippant, faudrait qu’on s’en trouve un autre à se regarder. » C’est vrai que c’était affreux comme on connaissait si bien chaque réplique, du moins les plus cultes et celles qui ont toujours eût le don de nous faire rire. Je me souviens même d’une fois avoir dit à la mère d’Elliot pour plaisanter –ayant un peu bu et d’ailleurs elle ne l’avait pas bien prit- que si Elliot était partant, j’étais prête à faire une chevauchée avec lui ou un truc du genre.. Enfin bref. Je sentis Billy se poser sur moi et elle me dit « J’ai décider que je ferais la grève du ménage jusqu’à demain. Piouf, j’en peu plus. Puis au final, c’est pas si .. Sal que ça… c’est juste un peu le désordre on va dire. » Je regardais autour de nous, et bon c’est vrai que la cuisine m’avait déjà achevé et que j’avais la flemme de faire le reste. « Ouais juste un peu beaucoup en désordre, mais bon t’as raison j’en ai marre moi aussi donc on va dire qu’on a finit pour aujourd’hui. » Je passais ma main dans ses cheveux la voyant pianoter sur le clavier de son portable. « Donc on fait quoi maintenant ? »

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« Hum le sport de chambre ça compte pas ? » répondit October après que je lui ai proposé de courir avec moi tout les matins, après tout, nous ne faisons pas assez de sport, et puis vue comment nous mangeons, on ne peut pas dire que ce soit très bon pour nous. Surtout pour moi, qui ai tout le temps faim. Je me mis légèrement à rire, puis elle reprit son sérieux, et je fronçai les sourcils en l’écoutant très attentivement. Et apparemment elle était décidé malgré elle à aller faire un peu d’endurance tout les jours avec moi. Bon, elle avait pas ronchonner mais presque. En tout les cas, elle était partante pour le matin. « Ok, ça m’va. Tout les jours de vacances sauf le weekend, on courra le matin. Et pendant les cours, le weekend mais genre une heure ? Quelque chose comme ça ? Enfin tu comprends ? ». Je lui souris et regarda le paquet de gâteaux que j’avais posé sur la table de salon, puis soupirai légèrement. « Faut vraiment que j’arrête de manger. » dis-je doucement, au bort d’un chuchotement. Après avoir regarder autour de nous, j’ai très vite repérer le dvd de mère fille mode d’emploie, un film qui représente beaucoup pour moi et October, car depuis la première fois où nous l’avons regarder, nous n’avons fait que cela, le voir et le revoir dès que nous ne savions pas quoi regarder d’autre. « Oui c’est vrai que c’est flippant, mais on l’a vue tellement de fois que ça ne me choque même plus. D’ailleurs faudrait qu’on se fasse une soirée film, ou alors qu’on aille au cinéma bientôt, parce que ça fait longtemps, tu trouves pas ? » dis-je avant de me lever posant mes mains sur mes hanches tout en dévisageant la pièce où nous étions. «  Bon, je suis d’accord, tu es, nous sommes d’accord. Alors, le ménage c’est terminé pour aujourd’hui. Essais encore comme disent les fameux jouets casse-tête des enfants. Mais on continuera demain. » je lui souris puis prends le paquet de gâteaux qui est vide pour aller le mettre à la poubelle. Je passe devant la chaine-Hifi et l’allume, avant de retourner près d’October. « Bon maintenant qu’on fait plus rien de notre vie October Savannah Hannigan, il faudrait peut-être qu’on trouve une occupation pour la soirée ? Je n’sais pas quand est-ce que les gars reviennent ? », je la regarde et hausse un sourcil ne sachant pas vraiment quoi faire, puis fait un petit tour dans le loft en attrapant tout ce qui est sur mon chemin pour tout ranger rapidement, que cela fasse plus ordonnée. Avant de retourner dans la cuisine. « On a qu’à prendre nos cliques et nos claques, et aller faire les courses pour préparer le dîner de ce soir, qu’est-ce que t’en penses ? Après tout, j’ai vraiment pas d’idée. » . J’attrape une pomme, m’installant sur le bar, et la regarde en m’amusant avec, tout en souriant. Je balance les jambes comme une enfant, ce qui peut être assez agaçant quand nous sommes seules comme ça, mais October à tellement l’habitude que je joue les enfant, et oui encore à mon âge, qu’elle n’en dit plus un mot, étant la même que moi. Jusqu'à ce que je me stoppe d'un coup et que je ne revienne à la réalité. Faire les courses.. cuisiner?? C'est une idée. « C'est une idée même très bonne, ce que je viens de proposer. Mais.. je sais pas.. Comme-ci nous étions bonne qu'à la cuisine ? On a rien d'autre à faire.. enfin, j'sais pas. J'ai pas d'idée, là tout d'suite. » terminai-je par dire avant de relever le doigt en la pointant avant qu'elle ne commence à parler « Et j'ai pas non plus envie de m'ennuyer ». Et oui, on est des semi-copie-conforme elle et moi. Ça part d’une belle histoire, pour terminer avec le même commencement, et ça j’en étais déjà assuré quand j’avais encore que quinze ans à l’époque. Car regarder, malgré le temps et le vécu, nous sommes toujours les meilleurs amis du monde, elle et moi.