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| Sujet: LEY-T(ie) - Out of the Box [U.C.] Mar 1 Mar - 13:30 | |
| ♣ nom et prénom. Leïla Tess Meyers ♣ surnoms. Ley, Ley-T(ie) ♣ âge. 23 ans ♣ date et lieu de naissance. 23 octobre à Perth, Australie ♣ origines. Australienne ♣ situation amoureuse. Célibataire ♣ groupe. I'm a Cheerleader
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Me, myself and I .
« Si tu n'as pas grand-chose à me dire, écris 100 fois les mots Je t'aime, ce sera le plus beau des poèmes. » Un seul mot suffit pour entièrement décrire Leïla : princesse. Au niveau physique, Leïla ressemble à ce genre de petite princesse en détresse que chaque garçon souhaite secourir au moins une fois dans sa vie. De petite taille, Leïla a un poids proportionnel à sa taille, mais refuse de devenir anorexique, elle préfère de loin sembler en santé. Il faut quand même qu’elle se garde en forme pour faire partie des cheerleaders. Leïla est dotée d’une beauté qu’on pourrait qualifier de « classique » : Blonde, les yeux bleus, un visage de poupée et des lèvres claires qui laissent voir des dents blanches bien alignées lorsqu’elle sourit. Même à 23 ans, Leïla semble en avoir dix-huit. Au niveau vestimentaire, Leïla a également un style un peu plus classique. Elle n’est pas du genre à suivre la mode, elle préfère la créer. Parfois, Leïla peut sembler un peu différente des autres, se fait regarder étrangement, mais soudainement, quand ce qu’elle porte devient à la mode, elle se fait regarder autrement.
Si le mot « princesse » s’applique à son physique, il peut aussi s’appliquer à sa personnalité. Elle n’est pas du genre à s’ériger en reine sur les autres, mais elle reste quand même une princesse, ce genre de personne qui peut diriger les autres et qui n’aime pas se faire donner des ordres. Ce qui fait en sorte que Leïla soit aussi charismatique est son assurance. Leila est toujours sûre d’elle. En entrevue, quand on lui demande pourquoi on devrait la choisir elle, la réponse est simple « parce que je suis la meilleure, tout simplement », et quand elle sait qu’elle doit s’améliorer, elle fait tout pour paraître la meilleure, même si elle doit se montrer manipulatrice. Leïla est du genre à tout faire pour parvenir à ses objectifs parce qu’elle est très têtue et peut avoir l’esprit mal tourné parfois. Leïla peut sembler sympathique aux premiers abords, jusqu’au jour où une personne se rend compte que Ley’ s’est servie d’elle, alors pour cette personne, Leïla devient une véritable garde, et la jeune femme n’en a pas grand-chose à faire. Si elle semble un peu sans-cœur parfois pour certaines personnes, il est hors de question de toucher aux personnes qu’elle aime. Quand elle apprend que quelqu’un qu’elle aime, surtout sa sœur Kaya ou son frère jumeau Max’, elle s’énerve très rapidement et experte en arts martiaux depuis qu’elle est jeune, elle n’a aucun mal à enlever ses boucles d’oreille, laisser son sac à main à la première personne présente et se battre sans poser de questions. Finalement, quand l’alcool s’en mêle, Leïla n’est pas mieux. Elle aime beaucoup participer aux fêtes, et elle a un don pour mettre l’ambiance dans ces fêtes, parce qu’elle est amusante et bavarde. Finalement, malgré son mauvais tempérament parfois et sa tendance à vouloir se battre, Leïla dégage quelque chose de très féminin. On ne la retrouvera jamais habillée de façon trop masculine, aura toujours un sac à main avec elle. Même quand elle fait du sport, elle s’assure pour être féminine, il est hors de question qu’elle ressemble à un garçon manqué.
Darling, tell me a story .
« Il était une fois, une petite princesse qui voit le jour dans une belle maison à Perth, en Australie. Cette petite fille a les cheveux blonds et les yeux bleus comme l’océan. Enfant unique, elle était tant espérée par ses parents, dont elle deviendra l’unique héritière et celle qui une fois grande, sera responsable, aura un mari merveilleux et beaucoup d’enfants. »
- Chéri ! Dépêche ! Sinon je les expulse sur le plancher, je n’en peux plus !
Voilà comment mon histoire de petite princesse a officiellement commencée. De façon un peu bordélique, complètement dingue par moments. Pourtant, ce n’était pas comme si mes parents n’étaient pas habitués à avoir des enfants; ils avaient eu déjà deux filles auparavant. Par contre, ils n’avaient jamais eu de jumeaux auparavant, et même si ça restait la naissance de bébés, on dirait qu’ils n’avaient jamais fait ça avant aujourd’hui. Mon père qui court partout dans la maison pour trouver les clés de la voiture, ma mère qui se tortille par terre pour mettre ses chaussures, ma petite sœur dans les bras de ma grand-mère, mon autre sœur dans sa chambre qui pleurait, c’est à croire qu’on n’arriverait jamais à l’hôpital.
Mais finalement, quelques heures plus tard, ma mère en avait plein les bras, encore une fois, mais avec quelque chose de bien différent; deux bébés. Ma mère mit du temps à trouver des prénoms, comme si elle n’arrivait pas à se décider, ou à nous différencier en nous regardant le visage, à croire qu’elle vérifiait toujours plus bas pour savoir que moi j’étais une fille, et mon jumeau, un petit garçon. Finalement, quand elle eut réfléchi un peu, elle décida que mon prénom, ce serait Leïla. Leïla Tess Meyers, voici comment je serais baptisée.
D’accord, on pourrait dire qu’après l’épisode « accouchement digne d’une comédie », ça pourrait commencer à ressembler à un conte de fées, sauf que je ne serais pas l’héritière, juste la quatrième de la famille, ce qui voulait dire que je pouvais très bien m’amuser. C’est ce que je fis, après que mes parents se soient séparés. Si je m’en souviens ? Pour être honnête, pas vraiment, parce que je n’avais que deux ans à l’époque. Ce que je sais par contre, c’est que ce divorce, qui a également mené à un déménagement, avait fait en sorte que je sois encore plus proche de mon frère, Max’, et de ma sœur, Kaya. Pour être honnête, je n’aurais jamais pensé, petite, qu’en réalité, Kaya était plus vieille que moi, parce que nous étions proches comme des triplets, comme c’est encore le cas aujourd’hui.
Si je n’étais pas l’héritière de mon royaume familial, je devins rapidement une petite princesse, voire même une reine dans certains cas, quand je commençai à aller à l’école. J’avais cette habileté à rallier les gens à ma cause, parce que j’étais sûre de moi, que je n’avais pas froid aux yeux, et parce que lorsqu’on s’en prenait à quelqu’un que j’aimais, je ne me laissais pas faire. Ma première bagarre eut lieu quand je n’avais que onze ans, quand un garçon tentait de s’en prendre à ma demi-sœur. Par la suite, on me colla l’étiquette de garçon manqué, chose que je ne pus jamais supporter.
Tout changea quand j’entrai au lycée et que je décidai de changer d’identité, complètement. Je restais la même fille qu’on aimait suivre, sauf que j’étais beaucoup plus féminine qu’avant. Il n’était pas question que je porte des vêtements dépassés mode quand je sortais ou que j’allais en cours, pas même pour faire du sport. Pour le sport, je m’étais découvert un nouveau passe-temps, à savoir la gymnastique et la danse. Déjà charismatique, je n’eus donc aucun mal à rentrer dans l’équipe des cheerleaders de mon lycée. Comment j’ai fait ? Facile. Je me présentai à l’audition en disant aux capitaines de l’équipe que cette audition n’était qu’une formalité, qu’à la fin, ils me prendraient. Et c’est ce qu’ils ont fait.
Entre le moment de finir le lycée et d’entrer à l’université, j’ai pris une année sabbatique. Pourquoi ? Parce qu’à la fin du lycée, j’étais tombée follement amoureuse de ce garçon, et j’étais prête à le suivre jusqu’au bout du monde. Malheureusement, tout a mal tourné le jour où il m’a brisé le cœur. Maintenant, j’ai décidé de suivre ma sœur et mon frère et d’étudier en stylisme à l’université de Perth, là où j’ai vu le jour. Je ne compte pas donner ma confiance à un autre homme avant encore bien longtemps.
♣ Prénom. Marilyne♣ Comment as-tu connus le forum ? Par Kaya♣ Quel est ton niveau de RP ? Je dirais assez bon. En fait je suis capable de m'adapter à toutes les longueurs.♣ Le code du règlement; Okay By Oct ♥♣ Un dernier mot ? Ce forum semble super et je suis impatiente d'y jouer !!♣ EXEMPLE DE RP. - Spoiler:
Aujourd’hui se trouvait probablement à être une des pires journées que je passais depuis que j’étais arrivée aux Bahamas. Avant d’arriver ici, je devais admettre que les journées durant lesquelles se déroulaient le procès contre la mère d’une enfant que j’avais sauvé de la noyade, où tout le monde me regardait, me pointait du doigt, n’étaient même pas comparables à ce que j’étais en train de vivre, et la journée ne venait même pas encore de commencer. Je me sentais mal, physiquement et mentalement. En plus, je ne pouvais pas faire quoi que ce soit pour me changer les idées, parce que je ne travaillais pas. Quoique dans un certain sens, le fait de ne pas travailler était quelque chose de mauvais et bon à la fois. Mauvais, parce que normalement, travailler me permettait de me changer les idées, mais aujourd’hui, c’était presque une bonne chose, parce que je n’aurais pas à me rendre à l’hôtel, donc je ne le croiserais pas…
Peu de temps auparavant, j’avais appris à James que j’étais enceinte. Il était hors de question que je garde cela pour moi plus longtemps. Le lendemain après avoir appris moi-même la nouvelle, c'est-à-dire hier après-midi, j’avais décidé de lui annoncer la nouvelle. Non seulement, cela avait été un choc pour moi, mais je savais que ce serait probablement pire pour lui, parce que moi, j’avais des doutes depuis un moment, et j’en avais parlé à ma mère et à ma sœur. J’avais décidé durant ma pause de lui annoncer, parce qu’il avait deviné que je n’allais pas bien, une autre raison pour ne pas lui cacher plus longtemps. Dans tout cela, ce qui m’avait blessée, c’était sa réaction, ou plutôt son manque de réaction; il était parti, tout simplement. Durant toute la journée, je n’avais pas eu de ses nouvelles. Pas un message, pas un appel, rien du tout. Il aurait pu prendre le premier avion en direction de l’Angleterre, je ne l’aurais probablement jamais su.
La soirée précédente avait donc été un véritable cauchemar, et la nuit n’avait pas été mieux, même si j’étais allée parler à ma sœur entre temps. Je m’étais sentie encore plus nauséeuse et fatiguée qu’à l’habitude, donc quand je me réveillai le matin, je ressemblais à une véritable épave. Peut-être ce n’était pas le cas, mais moi, c’était l’impression que j’avais. Je me levai, je n’avais même pas faim. Pourtant, je ne pouvais pas ne rien manger, ce n’était pas dans mes habitudes. Il faut dire que ma vie en ce moment sortait complètement de mes habitudes. Je ne pris même pas la peine de me changer pour me lever, gardant mon short et le vieux t-shirt de mon université un peu trop grand que je portais toujours pour dormir. Pieds nus, je me rendis à la cuisine, et je pris un bol de céréales et un verre de jus d’orange. Puis, en regardant la télé, chose que je faisais que très rarement, je mangeai mes céréales presque sans m’en rendre compte. J’étais perdue dans mes pensées. La veille, j’avais voulu l’appeler, tenter de m’expliquer, m’excuser d’avoir été brusque, m’excuser d’être ce que j’étais à la limite. Je savais que l'idée d'avoir une famille unie n'était probablement ce dont en quoi James avait le plus confiance... Mais d’un autre côté, était-ce vraiment ma faute ? J’aurais pu le bouder, lui dire que je ne voulais plus lui parler, mais je l’aimais. Il m’avait fait mal, c’est sûr, en partant ainsi sans rien dire, mais sans lui, j’avais le cœur complètement brisé, je ne savais plus quoi faire, je ne voulais pas le perdre. Toutes ces pensées me donnèrent envie de pleurer, si bien que pour me retenir, je décidai de me coucher sur le canapé, mais je n’arrivai pas à me rendormir, même si mon nombre d’heures de sommeil la veille avait été largement débalancé, beaucoup même. Autant dire que je n’avais presque pas dormi de la nuit…
Je regardai l'heure; si ça continuait, j'allais arriver en retard au travail. Je me rendis donc là-bas, et heureusement, ma meilleure amie, Taylor, avait été là pour me remonter le moral, surtout que j'avais besoin d'elle en ce moment. Ça, Taylor l'avait également compris. Quand je lui avais dit que je n'allais pas bien, elle m'avait obligée à sortir avec elle, histoire de me remonter le moral. Est-ce que ça allait marcher ? C'était loin d'être certain, parce que dès que je rentrai chez moi, me rendant compte que j'avais oublié mon téléphone à la maison, lorsque je regardai que je n'avais aucun message, et voyant finalement la photo de James et moi qui était mon fond d'écran, je craquai de nouveau et je me mis à pleurer.
Rapidement, je cherchai le numéro de James pour lui envoyer un message. Quoi écrire ? Je n’en savais rien, mais tout ce que je voulais, c’était que je ne voulais pas qu’il parte. Peut-être était-il trop tard ? Je ne fis que tenter un simple « Je t’aime », et une fois qu’il fut envoyé, je me couchai sur mon lit, prenant entre mes mains une peluche qu’un client m’avait offert après que je me sois occupé presque exclusivement de ses enfants durant un mois à la piscine, puis je regardai dans le vide, le regard complètement absent, oubliant que j’avais laissé la porte d’entrée déverrouillée. Je ne savais plus quoi faire. En ce moment, ma première envie aurait été de faire mes valises et rentrer chez mes parents, peu importe ce que les gens pouvaient dire de mon retour. Pourtant, j'étais attachée à cet endroit, j'étais attachée à James, j'étais complètement perdue...
Dernière édition par Leïla Tess Meyers le Ven 11 Mar - 0:36, édité 4 fois |
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