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| Sujet: ♣ You're gonna hear my voice when I shout it out loud; I just wanna live while I'm alive ... [Aiden] Jeu 20 Jan - 12:27 | |
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Aiden S(ammy) Pickleburry. FEATURING. MarkhotandsexyhandsomeSalling { Mark Salling}
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Je m'appelle Aiden S. Pickleburry, je suis né à Perth le 08/09/1989, et oui, il y a bien longtemps dis comme ça. Mais c'est bon de se rappeler tout ses bons souvenirs. J'étais en fac de langue parce que je voulais concrétiser le rêve d’être journaliste et de voyager comme je le voulais. J'étais à cette époque célibataire endurci ne voulant en aucun cas de relations sérieuses, que du flirt. Mon orientation sexuelle ? Bien qu'à cette âge là, on ne sache pas vraiment encore qui on est réellement, j'étais hétérosexuel et j‘étais un vrai coureur de jupons. Pour terminer, parce que bon on va pas s'éterniser ici, j'ai une courte histoire à raconter, mais j'habitais en colocation avec une magnifique blonde à cette époque là. Dans le groupe des sportifs men.
Dans les plus beaux jours de Perth , { Septembre 1992, dans une jolie maison et adorable famille, à Perth} A cette époque, je ne me rendais pas compte de ce qu’il se passait autour de moi, j’étais trop occupé à jouer avec mes Playmobils et à tenir sur deux jambes, et pourtant, je m’en souviens comme si c’était hier. Lorsque je suis né, tout présageait que j’allais vivre une belle vie, entouré de mon père et de ma mère qui s’aimaient à la folie à cette époque là. J’avais déjà toutes les qualités pour attirer les filles dans un futur proche, un teint bulgare hérité de ma mère, les cheveux et le sourire de mon père, un homme très charismatique. Ils étaient vraiment fiers de la famille qu’ils avaient réussi à construire et rien ne semblait pouvoir changer cela, et pourtant … En ce mois de septembre 1992, ma prison dorée s’effondra et plus jamais, elle n’avait été la même. Ma mère était ce qu’on pouvait appeler, une femme fatale et aucun homme n’arrivait à lui résister, au grand malheur de mon père. Elle n’avait jamais réussi à se montrer telle une épouse aimante et comblée, il fallait toujours qu’elle se sente désirée par d’autres hommes et c’était devenu impossible à vivre aux yeux de mon père, cela faisait trop longtemps qu’il se voilait la face, plus rien n’existait entre eux. Si ce jour là fut le dernier où je vis mon père, c’est pour la simple et bonne raison qu’il venait de découvrir ma mère au lit avec un autre. Comment je sais tout cela ?! Parce que j’étais dans le salon à ce moment là, ça ne dérangeait pas du tout ma mère de me savoir à l’étage en dessous, pas le moins du monde. Lorsque mon père était rentré, il avait pris le temps de me serrer dans ses bras, il était si adorable avec moi et était monté dans la chambre voir ce fameux spectacle. En une minute, une effusion de cris avait envahit la maison et il ne se passa pas beaucoup de temps avant que mon père fasse ses valises, qu’il atteigne le seuil de la porte d’entrée en me regardant intensément et qu’il franchit le seuil sans un regard en arrière. Je n’ai plus jamais revu mon « père » à partir de ce jour. Peut-être que ma mère n’était pas parfaite mais elle était là à chaque moment important de ma vie, il n’avait pas assisté à mon entrée à l’école primaire, à mes premiers matchs de foot, à mes performances de guitariste qui m’avait valu de gagner cette coupe de jeunes talents. Il n’était rien de plus pour moi, qu’un géniteur. Vivre avec ma mère et ses multiples conquêtes que je rêvais au fond de moi d’appeler « papa » un jour avait eu une influence sur la personne que j’allais devenir, sans aucun doute. Le manque d’un père avait existé tout le long de mon enfance, supporter le bonheur de mes amis lorsque leurs pères venaient les chercher à l’école était une très grande épreuve pour moi, je me sentais abandonné. Ma mère ne s’occupait que très peu de moi, c’était une mannequin en devenir, elle servait juste à subvenir convenablement à mes besoins et j’étais presque un adulte alors que je n’avais que 6 ans. Je m’étais presque habitué à l’idée que je n’aurais jamais de « père » quand ma mère m’annonça un jour qu’elle allait se marier. Je ne rigole pas, elle me l’a annoncé tel que je vous le dis, je ne connaissais même pas ce type, je ne savais pas à quoi il ressemblait, ni comment il s’appelait et elle voulait qu’on déménage chez lui. J’avais douze ans et tout ce que je voulais à cet instant, c’était avoir dix-huit ans et m’éloigner le plus possible de cette mère indigne. Décidément, certains parents ne devraient jamais devenir des parents, ils devraient se contenter de rester dans le Pays Imaginaire avec Peter Pan et les enfants perdus pour ne jamais grandir, et ne jamais faire souffrir un enfant qui n’avait pas demandé à être si peu aimé. L’homme qu’épousa ma mère avait un fils, une tête qui ne me revenait pas du tout, peut-être qu’au fond je lui en voulais d’avoir eu la chance d’avoir un père, contrairement à moi. Néanmoins, son père n’était pas non plus un modèle de paternel très convoité, c’était un avocat qui dirigeait la vie de son fils comme si il avait programmé cela dès sa naissance. Ma mère qui était tout ce qu’il y a de plus volage auparavant ne fut jamais aussi fidèle depuis qu’elle l’avait épousé. A croire qu’elle avait trouvé la « perle rare ». Je ne vous raconte pas comment les repas à table étaient horribles, devoir supporter le visage de ce Jeremiah était trop pour moi. Combien de fois mes nerfs m’avaient lâchés et que j’avais commencé une guerre de petits pois, je ne saurais le dire. Je savais une chose, il me sortait par les yeux. Il avait un air de Monsieur-propre-sur-lui qui m’indifférait royalement et cette manière d’être si sûr de lui était insupportable. Nous n’aurions jamais pu nous entendre, nous n’avions rien en commun. Les années passèrent et l’adolescence vint faire son apparition, avec tout ce qui va avec : la puberté, les filles, les premières fois … Pour ma part, je n’avais aucun mal à trouver chaussure à mon pied, j’étais un vrai coureur de jupons et j’attirais les filles comme des mouches. Le fait d’être populaire devait aussi jouer en ma faveur, depuis le collège, mes plus fidèles amis et moi faisions partis de l’élite. A quatorze ans, j’avais déjà vécu ma première fois, avec une fille dont je ne me souvient même plus du nom, ce dont je me rappelle, c’est que j’étais vraiment maladroit mais j’ai pu m’améliorer par la suite. Je n’avais jamais été amoureux, je ne voulais pas souffrir pour rien et mes parents en étaient un très bon exemple. J’étais un écorché vif de la vie, peut-être et c’est même sur que je dois cela à mes foutus parents. Pourtant, j’avais beau être volage, coucher avec n’importe qui, avoir des histoires sans lendemain, une seule fille arrivait à me rendre différent. Je la connaissait depuis le collège et elle était une de mes plus proches amis, elle était mon essentielle, j’étais son protecteur. Elle avait ce merveilleux sourire et ces yeux qui m’aurait rendu littéralement fou d’elle si elle n’était pas si importante à mes yeux. C’est bête à dire mais je ne voulais pas compromettre notre relation si unique pour une histoire d’amour qui gâcherait tout si elle se finissait mal. Il n’en était pas question, j’avais besoin d’elle dans ma vie, je ne pouvais le nier, mais pas comme ça. Enfin, du moins, c’est que j’essayais de me dire. Les années lycées sont arrivées et notre relation devenait étrange. On était attirés l’un par l’autre, c’était indéniable et quand on se retrouvait tous les deux, il y avait cette alchimie hors du commun qui existait et dont on ne pouvait nier l’existence. Je continuais à coucher avec n’importe qui, même si je voyais qu’au détour d’un couloir, quand je me baladais main dans la main avec une fille, Quinn le prenait mal et se sentait trahie. Je ne pouvais pas lui faire endurer cela, je l’aimais trop pour ça. Aimer, c’est un bien grand mot qui désigne des tas de choses. On aime le chocolat, les films, la musique et plein d’autres choses, cela ne signifie pas qu’on est amoureux. Oui, je l’aimais mais je ne voulais pas me résigner à envisager que je l’aimais d’un amour profond. Je ne pouvais pas lui infliger ma présence comme ça. Pourtant, ce qui devait arriver arriva. Un soir où je l’avais invité à venir chez moi écouter mes nouvelles compos ( oui car la musique, la guitare, c’est toute ma vie. Je m’y réfugiais toujours quand ça n’allait pas et c’est devenu essentiel à ma vie, je ne pouvais m’en passer, tout comme je ne pouvais me passer d’elle), nos regards ne pouvaient se détacher l’un de l’autre, on était si proches et en une fraction de secondes, elle avait posé ses lèvres sur les miennes. Je ne m’y attendais pas le moins du monde et j’ai voulu arrêter mais j’ai préférais écouter mon cœur, plutôt que ma conscience. Cette nuit-là, Quinn avait eu sa première fois et au détour d’un baiser, j’avais prononcé les mots fatidiques « je t’aime » mais plus jamais je ne les ai prononcé. Il est trop dur pour moi de m’attacher à quelqu’un et de le voir partir parce qu’il ne trouve rien d’intéressant chez moi. Je préfères maintenir une certaine distance et pourtant depuis cette nuit, le nombre de fois où nous avons partagé le même lit ne se compte plus. Nous aimons tous les deux coucher ensemble et je dois avouer que quand je voyais Quinn avec certains mecs, je ne pouvais m’empêcher d’être jaloux. A vous de voir comment cette histoire a pu se terminer, vous savez toute l’histoire de ma vie ou du moins une grande partie. La partie université et tout ce qui va avec reste à découvrir ;D
WHO'S BEHIND THE SCREEN ? » Angie pour vous servir (aa) ... » Qu'est-ce qui t'a plus sur le forum ? J’ai eu un véritable coup de cœur, le thème, le scénario, l’activité, le fait que Markounet était libre et surtout que vous soyez tous vraiment adorables. » Quel niveau de rp t'estimes-tu ? 14/20 ! Je ne dirais pas que je suis une « boss » mais on me dit souvent que je fais de bons et longs RP’s, donc il ne vous reste plus qu’à le découvrir. » Fraise ou chocolat ? Fraise, mon fruit préféré et puis, avec Noel, j’ai fais une surdose de chocolat ;D » Le petit code ? Okay By Oct » Petit mot de la fin Je suis ravie d‘être parmi vous, j‘ai hâte de pouvoir RP parce que vous avez l‘air tous adorables Je vous aime déjà (a) /div> - Spoiler:
Il était minuit pile, si l’on plongeait le regard dans le ciel, on pouvait constater qu’il était des plus calmes et il laissait présager une belle journée à venir. Le destin en avait pourtant décidé tout autrement. Une silhouette longiligne fit brusquement son apparition devant le panneau d’entrée de la ville de Mystic Fall. Personne n’était dans les parages, aucun bruit ne subsistait. Un calme à glacer le sang. Cela ne semblait pas déranger la silhouette inconnue, bien au contraire, elle fixait intensément la route qui menait à l’entrée de la ville comme si elle se préparait mentalement à quelque chose. Si seulement … Cette dernière s’avança d’une démarche des plus gracieuses , passant de l’ombre à la lumière et dévoilant un visage d’une beauté stupéfiante. Chevelure longue bouclée et noirâtre, visage aussi blanc que la craie , regard à la fois sombre et intense, la nouvelle venue était d’une beauté mortelle. Elle possédait toutes les qualités pour charmer tout homme et obtenir ce qu’elle voulait de lui. Elle était d’ailleurs là pour cela, elle savait ce qu’elle voulait et elle ferait tout pour l’avoir. Tellement d’années s’étaient écoulées depuis son départ que revenir l’a bouleversait même si elle ne se l’avouerait jamais. Tellement d’évènements s’étaient déroulés ici, elle ne pouvait le nier. Elle ne serait pas revenue si elle n’avait pas eu connaissance de ce qu’il se passait ici. Il semblerait en effet qu’elle ne soit plus la seule à arborer ce joli visage , ce qui fit naître une très grande jalousie en elle. Elle savait qu’elle en avait déjà perdu un depuis longtemps et elle s’en fichait mais elle ne voulait pas perdre l’autre. Celui qui avait toujours su l’accepter comme elle était et dont elle n’avait pas eu besoin de le charmer pour qu’il fasse ce qu’elle désire. Elle aimait se sentir désirer même si elle ne le rendait pas, et depuis un moment, elle ne ressentait plus cette euphorie comme si il s’était enfin résolu à avancer, à ne plus espérer la revoir, à ne plus l’aimer. Certes, elle avait fait croire à tous qu’elle était enfermée comme les autres alors qu’elle se promenait librement où elle le voulait mais elle s’était assurée que cela ne se sache pas. Il n’y avait donc aucune raison qu’il soit au courant. Pourquoi ne lui avait-elle rien dit sur les plans qu’elle avait ?! Pourquoi était-elle partie sans aucune explication ?! Seule elle avait la réponse. Elle ne semblait pas prête à la donner. En une fraction de secondes, d’une grâce dont elle seule avait le secret, elle disparut. Elle réapparut devant un chemin sinueux, entouré d’une épaisse forêt d’arbres. Aucun lampadaire n’éclairait la rue, seule la pleine lune faisait office d’éclairage. La nouvelle venue regardait droit devant elle, et ne semblait en aucun cas, douter de ce qu’elle allait faire. Aucune hésitation dans son regard, juste une très grande impatience de le revoir, lui si dévoué autrefois. Etrangement, elle sentait qu’il avait changé et que ce ne serait plus le même, durant toutes ces années, elle n’avait pas cherché à savoir ce qu’il devenait car au fond d’elle-même, elle le savait déjà. Un lien s’était crée entre eux et cela lui permettait d’avoir une emprise sur lui. Mais en serait-il toujours de même ? Non sans penser à cette éventualité, elle s’aventura d’une démarche assurée dans la propriété qu’il lui faisait face. Elle s’arrêta pour admirer les fleurs du jardin, les roses étaient sorties. Les roses, un symbole pour elle et lui, seuls eux deux en savaient la signification. D’un geste rapide, elle arrangea les quelques mèches de cheveux qui lui semblaient rebelles et sure d’elle, sonna à la porte de la demeure. Elle attendit quelques secondes avant qu’une voix féminine lui arrive aux oreilles. Elle avait beau être la plus sereine possible, entendre une voix de femme dans cette demeure l’emplissait de colère. Cette voix douce et forte à la fois lui disait d’attendre qu’elle arrive. Usant de ces pouvoirs d’ouïe développée, elle ne réussit à entendre que les pas de cette personne, cela l’intriguait, se pouvait-il qu’ils aient changé de domicile ? Non, elle pouvait sentir qu’ils étaient toujours ici. Quelques minutes plus tard, elle entendit la clé tourner dans la serrure et se prépara à faire face à celle qu’elle considérait déjà comme sa rivale. Lorsque la porte s’entrouvrit, il ne fallut qu’un seul croisement de regard entre les deux jeunes femmes pour qu’elles se mettent toutes deux à crier jusqu’à ne former qu’un seul cri. {Extrait de " The Past Return's", écrit par mes petits doigts }
Dernière édition par Aiden S. Pickleburry le Jeu 20 Jan - 17:18, édité 1 fois |
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Messages : 551 A Perth depuis : 20/11/2010 Age du perso : 34 Localisation : Derrière le buisson à jouer aux petites voitures! (a)
| Sujet: Re: ♣ You're gonna hear my voice when I shout it out loud; I just wanna live while I'm alive ... [Aiden] Jeu 20 Jan - 18:05 | |
| - Aiden S. Pickleburry a écrit:
- "It's my life", c'est une bombe comme chanson
+1000000000000000 Bon encore une fois bienvenue hein ^^ Je te valide, j'aime beaucoup ton histoire et ta façon d'écrire Enfin bref, bon jeu parmi nous, et encore désolé pour ton ancienne fiche |
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